La Taverne [RP]

'tin jreviens et je vois ke ça à grav avancé..
(merci Delph' d'avoir été le seule faire une suite pour la taverne et le pot e miel)

Jvai damé et ensuite je reviens pour te donner le change...Mais, pour la taverne, il seré bon que le principal interessé vienne y mettre une ligne...

effectivement ça serait préférable.....mais pour le pot de miel franchement je vais galérer ^^

putin mais quand est-ce qu'il case sa réplique Geoff qu'on enchaine!!!

ralala les italiens hein......

je m'excuse, mais je rompt la convers qui de toute façon etait morte, pour commencer un nouveau RP

Athanasios déboula dans la taverne. Aujourd'hui n'etait pas un jour comme les autres..... Ils devaient marquer le coup. Lui et les autres Chevaliers tenaient a organiser une fete grandiose...car aujourd'hui Geoffroy terminait une année, et en commençait une nouvelle au service de l'Ordre. Il était en leur devoir de faire quelque chose...
Avisant le tavernier, il courut le rejoindre, et lui expliqua de quoi il s'agissait.
Le visage rougeaud de l'homme fut traversé par un sourire, son esprit calculant sans doute les bénéfices qu'il ferait dans la soirée.
Ayant expliqué au tavernier ce qu'il devrait faire, Athanasios lui rapelle que tout devait etre pret pour la soirée....
Une fois ceci fait, il sortit de la taverne, ou il faillit se cogner a Ceri, qui lui aussi semblait pressé

_ Athan ! alors t'as parlé a ce bon vieux Bill ?

_ Oui....il m'a assuré que tout serait pret pour ce soir....

_ Tu lui as ien fait comprendre que c'etait d'une grande importance ?

_ T'inquiète pas.....et toi as tu fait ce que tu devais faire ?

_ Oui.....j'ai croisé Karl en chemin, lui aussi accomlisait son boulot...

_ Bon, Peter sa chargera des boissons....parait qu'il a l'intention d'en faire venir de Germanie...

_ Ca serait vraiment quelque chose ce soir...

_ T'as rasion..mais je te laisse j'ai une dernière chose a faire

_ A ce soir alors, et n'oublie pas de te faire beau...parait qu'il y aura de la donzelle

_ Ceri !

_CA va ça va.......n'empeche que......

_ A ce soir ! coupa Athanasios, se detournant de son ami et partant en courant en direction..........du bordel du coin

( on n'aime pas les filles ma tappette grec )

Otto traversa à la hâte la rue bondé de monde et tomba nez à nez avec Athanasios, le grec qui s'était entraîné autrefois et qui embêttait bien Sclavo. Il lui dit bonjour et lui demanda si une fête allait se préparer pour fêter dignement l'anniversaire de Goeffroy?

( aten c'est qui qui proposait une stripteaseuse dans la gateau ?? )

Athanasios jura....Il lui restait une dernière chose a faire, et cet idiot de teuton le retardait.....le temps manquait....

_ Oui Oto, nous préparons quelque chose de grand pour ce soir..on prépare ça depuis ce matin, et je te prierai d'essayer de te retenir et de ne pas tout faire capoter en parlant a tort et a travers....vois tu, c'est une surprise...et je te prierai de mettre tout le monde au courant, sauf Geoffroy bien entendu, que ce soir on fait une fete a la taverne

Sur ce, Athanasios prit congé de son interlocuteur, et partit en courant

(pas vu mais je rigolais )

Otto regarda le grec partire et se hâta à son tour d'aller prévenir Miroslav de se festin. Cela faisait quelques mois qu'ils n'avaient plus fêter de vrai fête et la bière lui manquait.

Ceri venait de quitter Athanasios, le sourire au lèvres. Apparement, le byzantin avait parfaitement prévu son coup et tout aller comme sur des roule...disons des sabots roulant :
Pether s'occupait de la boisson, Bill Moran dit "Barrique", le tavernier (tiens, un PNJ?!), leur réservé et préparé la salle, Karl s'occupé de distraire Geoff, et lui venait de terminer sa pénible tâche, qui était de prévenir tous les chevaliers de l'heure à laquelle il devait se rendre à la taverne, et quel chemin il devrait empreinter pour ne pas croiser Geoff.
Désormais, il ne lui resté plus qu'à se faire beau pour les damoiselles et à se préparer mentalement pour le marathon de levé de coude (c'est plus clair? >>> ) qui l'attendait....C'est alors qu'apparus Adrian. Il était tout transpirant et semblait paniqué.
-"Ba Adrian? Que se passe-t-il?!" s'étonna-t-il. L'écossais lui répondi
t difficilement, la fatigue de la course lui ayant fait perdre halène
-"C'est...les...bières...le convoi...a...était attaqué...par des maraudeur!"

Ceri écarquilla les yeux. Désormais lui aussi était paniqué. Il ne fallait pas gâcher cette soirée exceptionnel pour tous.
-"Vite, allons trouver les autres! Et surtout, pas un mot à Geoff!"

Il s'en allèrent en courant vers le bordel.

Athanasios avait fini de regler son affaire avec la tenancière de la maison de joie, quand il vu debarquer Ceri et Adrian, hors d'haleine...

_ Athan, commença le gallois, on a un gros pobleme.....

Le ton de son ami inquieta Athanasios.

_ QU'y a t'il ? tout est pret pour la fete ?

_ Bin justement.....
Le pauvre gallois smelbait peiner a trouver ses mots....Adiran lui vint au secours

_ Le convoi de bière a été attaqué par des maraudeurs....

Cette nouvelle sonna le byzantin....comment pouvait il y avoir uen fee sans biere ?

_ Quand cela s'est il passé ?

_ Je vois de voir Peter, il y a meme pas quelques minutes.....

_ Bien....pensez vous avoir le temps d'aller rpendre la bière ? sans elle ce ne sera plus une fete....

_ Peter nous a dit que les autres étaient nombreux...

_ bin prenez quelques hommes !!! nous devons récupérer cette bière...sinon Peter fera une crise...Karl devra rester aupres de Geoffroy, et moi je m'occupe de prevenir tout le monde de sortir les florins etd'acheter autant de bière possible....

_ Nous n'allons quand meme pas nous battre pour de la bière !!!!!s'exclama Adrian, horrifié.....

_ Nous n'avons pas le choix....( lol les gros accros ^^ )

_ Bien, decida Ceri, nous irons tuer ces maraudeurs...mais nous risquons d'arriver en retard...

_ Du moment que le biere arrive...mais depechez vous nous ne pourrons pas retenir Geoff trop longtemps sans attirer son atention...il est meme possible que nous devions commencer sans vous...

_ Raison de plus pour nous dépecher !

Sur ces mots, Ceri et Adrian se précipitèrent dehors...Athanasios les suivit, et les vit courir vers l'entrée de la ville, demandant a tous ceux qu'ils croisaient de se joindre a eux....Ce fut une petit compagnie d'une vingtaine d'hommes qui partit recupérer la bière...
Athanasios, lui, alla prévenir le tavernier qu'il était possible qu'ils aient a piocher dans ses reserves d'alcool, puis fila se changer...

Athanasios jubilait ....les chevaliers avaient réussi a récupérer la bière !! la fete pourrait commencer ! Vetu de son uniforme aux oulcuers de l'Ordre, il enfila sa cape aux meme couleurs et alle chercher Ceri dans ses appartements...

Je me permets de relancer un RP dans la taverne, le précédent semble mort... et puis faut bien qu'on se tape sur la gueule avec Squall quand même! (enfin nos persos vont se taper sur la gueule, moi j'ai rien contre toi Squall )


Après avoir réfléchi calmement à la situation, Al Assel était venu à la conclusion que Sclavo lui avait réellement sauvé la vie... même lui, à trois contre un, aurait été tué par des adversaires entrainés à tuer froidement. Sur le moment il avait été trop vexé et honteux pour le reconnaitre, mais il devait des escuses à Daleva. Ils s'étaient quitté sur des menaces de mort, il fallait mieux se rencontrer à la taverne où tout duel à mort était impossible à cause de la fréquentation.
Comme il le pensait, Sclavo était assis à une table en train de ruminer ses pensées, comme à son habitude. Al Assel s'approcha de la table silencieusement et s'assit en face de lui. En le voyant, l'Italien dirigea sa main vers son arme, mais il l'arrêta:

-"Si j'avais voulu vous tuer aujourd'hui vous seriez déjà mort. De plus, vous tuer ici ne me servirait en rien." Daleva sembla surpris par ces derniers mots, Al Assel lui expliqua donc: "Trop de complications: écriture du rapport, élimination des témoins gênants... trop de victimes innocentes, vous comprenez?"

Sclavo ouvrit la bouche pour répondre mais Al Assel ne lui laissa pas le temps. Il était là pour s'escuser de son comportement, mais il refusait de courber l'échine devant ce borgne défiguré, et la phrase sortit presque involontairement de sa bouche.

-"En parlant de victimes innocentes, comment va votre frère? toujours en train d'achever des esclaves pour le compte des Svarogs?"

mais quel enfoiré ce Al Assel !!!! je ne plaisante qu'a moitié ^^

(Je l'avais compris depuis le début que tu n'avais rien contre moi, no problème , inutile de te justifier à chaque fois)

Je vais essayer de finir "Retour dans le sang" et après je réponds.

PS : Trop fort Al Assel, les relations humaines il connait vraiment pas !

Adrian n'est pas le seul associal bizarre manière de s'y prendre pour excuser...^^

Sclavo profitait du mieux qu’il pouvait de cet instant de calme et de tranquillité, après une journée infernale au cours de laquelle Alicia n’avait cessé de le harceler, il avait enfin réussi à s’en débarrasser en trouvant refuge dans la taverne. Assit à une table isolée, Sclavo buvait tranquillement quelques petites gorgées dans sa flasque sous l’œil irrité du tavernier qui ne semblait pas apprécier que l’on vienne dans son établissement pour boire autre chose que ce qu’il servait.
La porte de la taverne s’ouvrit et Sclavo vit entrer une personne qu’il ne s’attendait pas à voir ici, Al Assel, l’un des assassins les plus compétents de l’Ordre, et accessoirement, l’une des personnes qui détestaient le plus Sclavo. Ce dernier ne savait pas ce qui pouvait motiver un tel mépris et n’en avait que faire, choisissant de l’ignorer tout en le haïssant aussi en retour, mais à un degré moindre, Sclavo aimait penser qu’il était naturellement tolérant.
Voyant l’assassin s’approcher de lui, Sclavo approcha lentement sa main libre de la garde de son cimeterre, de l’autre qui tenait sa flasque, il l’approchait du bord de la table pour pouvoir se saisir du poignard accroché à sa ceinture en cas de besoin également. L’arabe avait énoncé quelques menaces envers Sclavo lors de la bataille de la veille, et Sclavo s’était laissé dire qu’Al Assel était un homme de parole.

-Si j’avais voulu vous tuer aujourd’hui, vous seriez déjà mort. Dit l’arabe en s’asseyant, Sclavo nota le aujourd’hui, avait-il peut-être l’intention d’attendre le lendemain, qui sait, peut-être trouvait-il que certains jours se prêtaient mieux à l’assassina. De plus, vous tuer ici ne me servirait à rien.

Sclavo leva un sourcil interrogateur, il ne voyait pas trop en quoi le tuer dans une étable par exemple pourrait être plus utile que de le tuer dans cette taverne.

-Trop de complications : écriture du rapport, élimination de témoins gênants…trop de victimes innocentes, vous comprenez ?

Sclavo était légèrement surpris, était-ce une impression où l’arabe venait d’essayer d’être drôle ? De plus, Sclavo trouvait passablement étonnant que le terme d’innocence fasse partie du vocabulaire de l’assassin, et surtout qu’il puisse éprouver le moindre remords à tuer quelqu’un qui ne le méritait pas. Il se rendait compte qu’à mesure qu’il le voyait et l’entendait parler, Sclavo ne ressentait que de plus en plus d’animosité envers Al Assel.

-En parlant de victimes innocentes, comment va votre frère? Enchaina presque immédiatement l’assassin. Toujours en train d'achever des esclaves pour le compte des Svarogs ?

Cette phrase provoqua chez Sclavo l’effet d’un coup de poing, lui coupant la respiration sous le choc. Il savait, comment savait-il pour Livio ? Sclavo était pratiquement certain que personne dans l’Ordre ne connaissait l’existence de son frère, où du moins quel lien de parenté les unissait. La colère gagnait de plus en plus Sclavo qui, mâchoire et poings fermement serrés se força à garder son calme, où du moins à ne laisser paraître aucun sentiment sur ses traits, au moins, ses cicatrices et son bandeau avaient pour effet de rendre plus difficile l’évaluation de ses émotions sur son visage.

-Oui je suppose. Répondit Sclavo d’une voix miraculeusement sereine mais tout de même empreinte de mépris, laissant apparaître un faux sourire courtois sur son visage. Mais je suppose qu’en matière de meurtre de personnes innocentes et d’esclavage, vous aussi y êtes initiés d’après vos origines et ce que j’ai entendu dire. Peut-être devrais-je vous mettre en relation avec mon frère pour qu’il vous engage, les svarogs vous conviendraient très certainement mieux en terme d’honneur et de morale.

L' absence de colère dans le ton de la voix de Sclavo surprit un peu Al Assel, mais il put tout de même noter un brin de mépris dans le sourire de Daleva.

-"Contrairement aux Svarogs, il ne m'est pas encore arrivé de réduire des populations entières en esclavage et de les tuer au travail. Je considère plus mes activités comme... Al Assel avait pris une pause et semblait réfléchir au mot juste ...de la politique. Je maintiens l'équilibre entre les forces, vous comprenez? Sans les gens comme moi, dans toute l'Europe et en Orient, le pouvoir de certains nobles ou autres seigneurs deviendraient trop important et les conflits internes provoqueraient la chute de bien des royaumes. Il y a de fortes chances pour que j'assassine des personnes innocentes, mais je pense que vous pouvez comprendre que ces "dommages collatéraux" sont nécessaires... De plus je n'ai pas encore tué autant de gens, coupables ou non, qu'il n'en meure chaque jour à Svarga. Alors évitez de me parler d'honneur et de morale, car l'ennemi n'en montrera pas: ce n'est pas en libérant des prisonniers et en faisant de beaux discours que l'on gagne une guerre."
Le fait d'être comparé aux Svarogs avaient passablement irrité l'Egyptien et il n'avait pas réussi à le cacher.

Sclavo se mordit les lèvres un bref moment, chassant se mouvement nerveux en espérant qu’il n’ait pas été perçu par Al Assel. Il afficha un sourire en coin condescendant et baissa les yeux en faisant semblant de réfléchir pour donner plus de crédibilité à sa petite mise en scène.

-La fin justifie les moyens hein ? Fit Sclavo comme un parent se montrant indulgent face à un enfant particulièrement lent. Je suis ravi de constater que vous parvenez sans mal à vous arranger avec votre…conscience en ce qui concerne vos exactions, tous les hommes n’ont pas la même capacité à passer outre des fantômes du passé avec autant de dédain, je vois aussi à quel point vous vous montrez humble vis-à-vis de votre rôle. Quoique, je trouve louable que vous vous perceviez comme un serviteur du monde plutôt qu’à notre maître…une telle ferveur est admirable, si ce n’est que certaines mauvaises langues pourraient remettre en cause votre indéfectible loyauté.

L’ironie résonnait à merveille dans ses propos et Sclavo constatait à mesure qu’il parlait que son maître avait parfaitement fait son devoir en lui enseignant l’étiquette et l’art de la rhétorique. C’est alors que Sclavo comprit ce qu’il détestait tant chez Al Assel, il reconnaissait en lui l’instrument de mort qu’on avait essayé de faire de lui, il constatait également une certaine ressemblance avec Livio, Al Assel et lui partageaient le même cynisme.

-Quand à l’esclavage, à ce que je sache, ce ne sont pas les Svarogs qui l’ont inventé. Venise, Milan, Paris, Jérusalem, Constantinople et j’en passe, dans toutes ces villes on y trouve des esclaves…en plus où moins grandes quantités, il est d’ailleurs étrange que plus l’on se rapproche des terres de vos ancêtres, plus on en trouve. Apparemment, le peu de valeur que vous semblez attacher à la vie des autres est partagée par votre peuple.

Sclavo se mordit les lèvres à nouveau, il s’était montré trop ouvert dans ces dernières insultes et fut consterné de voir qu’il avait fait fit de sa tolérance dans le seul but de répondre à la provocation. De plus, il se rendit compte qu'il avait prit la défense des Svarogs de la même manière que Livio l'avait fait lorsque lui-même s'était révolté de l'esclavage qu'ils pratiquaient.

-Mais assez de paroles courtoises pour le moment. Enchaîna Sclavo avant de pouvoir laisser son interlocuteur lui répondre. Je suppose que vous n’êtes pas venu à ma rencontre dans le simple but d’échanger quelques paroles anodines sur nos divergences d’opinion sur l’honneur entre autre…

Pancho entra dans la taverne.Il revenait de la salle de chirurgiens et c'était fait mettre un simple bandeau sur sa plaie,au mollet.
Son attention fut alors attirée par Al Assel,un assassin dont il avait entendu parler,et Sclavo,qu'il avait vaguement reconnu dans la salle des chirurgiens.
Pancho s'approcha,amusé à l'idée d'avoir capturé l'un des confrères d'Al Assel.
Ces deux hommes parlaient vivement,et Don Pancho s'assit à une table,non loin de la leur,et commença à écouter la conversation,tout en n'ayant l'air de rien.

Al Assel s’apprêtait à répondre aux paroles limites injurieuses de Sclavo lorsque tous deux remarquèrent un nouvel arrivant qui s’installa à une table voisine. Les deux assassins remarquèrent immédiatement que l’homme les écoutait malgré qu’il tenta de ne paraître occupé que par l’état de ses ongles.
Sclavo et Al Assel s’échangèrent un regard entendu afin de stopper provisoirement leur discussion, cet homme était de toute évidence un espion, médiocre peut-être, mais espion quand même. Avant même que quiconque de réalise que les deux hommes s’étaient levés, Al Assel planta son poignard dans le ventre de l’espion et Sclavo le décapita d’un coup de cimeterre, à peine une seconde après. La tête de l’espion alla rouler aux pieds du tavernier qui l’arrêta en posa un pied dessus et la récupéra, il pourrait l’utiliser pour sa recette de tête de veau ravigote, remplaçant la tête de veau par une tête humaine.

Al Assel de son côté se hâta de baisser le pantalon du corps décapité et lui coupa d’un geste vif les testicules pour ne pas gâter la viande, l’égyptien lança les attributs de l’espion aux enfants de l’aubergiste qui pourraient les rouler dans la farine puis les faire cuire. Sclavo lui éventra le corps et en retira les boyaux qu’il lança à deux autres chevaliers qui s’étaient lever, avec le sang, ils pourraient en faire du boudin. Une fois la bête vidée de ses entrailles, des deux assassins se mirent à découper des morceaux de viande qu’ils partagèrent entre les clients de la taverne, se réservant tout de même les joues et le fessiers, la meilleure partie de l’animal.
Pour finir, Sclavo céda les os à un paysan qui traînait là qui pourrait en faire de l’engrais, et en moins de cinq minutes, il n’y avait plus une trace du corps de l’espion et ses vêtements ainsi que son équipement furent vendu à la crié pour pas moins d’une vingtaine de florins.
Les deux assassins se remirent à leur table et reprirent leur conversation.




Pas d'inquiétude, ce message est le fruit d'un simple délire qui m'est passé par la tête dans un moment de folie. Il ne sera pas prit en compte dans la véritable scène.
Mais quand même qu'est-ce que j'ai deliré quand ça m'est venu à l'esprit.

et,soudain,un grand éclair frappa la taverne tuant tous ceux qui y résidaient,et,apparut...le FANTOME DE L'ESPAGNOL PAS CONTENT...

ceci est aussi un délire
bon,soyons serieux...

Dommage sa serait cool si sa arrivait vraiment

c'est vrai,j'aurais pu devenir celèbre..."la légende du fantôme de l'espagnol pas content"...
mais et si nous reprenions l'RP?

Sclavo se reveilla lorsqu'un poivrot laissa tomber sa choppe de bière sur le sol. S'étirant en baillant, Sclavo regarda avec espoir Al Assel, priant pour qu'il soit sortit de son mutisme.
Malheureusement, l'arabe était toujours immobile, les yeux grands ouverts, de la bave dégoulinant sur son menton. Depuis près d'une semaine, l'assassin avait subitement bugé, peut-être Sclavo avait-il dit quelque chose qui ne lui convenait pas...

-Ho putain tu vas bouger oui ?! S'exclama Sclavo irité en frappant le crâne d'Al Assel sur le côté.

N'obtenant aucune réaction, le vénitien décida d'aller au bar boir quelques bières le temps que Al Assel débug...saleté de Bill Gates.