2 eme mission individuelle

Peu de temps après les événement de Kastély, je fus nommé commandant général de l’armé de Philipe, cet avancement étant le résultat de mes deux missions mené a bien avec un minimum de pertes, je devenais bon ami avec le roi qui me traitait avec respect et considération, il faisait de son mieux pour que je me sente a ma place et oublie les funestes événements.
Mais oublier que son incompétence a coûté la vie a un amis est une chose quasiment impossible et ce même en cas de beuverie quotidienne destiné a noyer le chagrin, je peux en témoigner…
Pendant plusieurs jours j’étudiais la stratégie et m’entraînait aux armes, le roi quant a lui réfléchissait a la manière dont il pourrait continuer sa lutte, il n’eut pas a réfléchir longtemps vus que moins d’un mois après la prise de Kastély, une armée conjointe du Svarog et des partisans de Guy faisait marche vers nous.
Le roi fit construire de nombreux trébuchets, il fit forger de nouvelles armures et cottes de mailles pour nos troupes et s’assura d’une voie de ravitaillement en cas de siège, il fit de nombreux préparatifs en vues de l’assaut et finis par me confier une mission.
Je devais, accompagné de 100 archers montés, évaluer les forces ennemies et les harceler de notre flèche le plus régulièrement possible afin de ralentir leur marche, un espion nous accompagnerait pour nous faire savoir le nombre d’ennemis présent dans l’armée adverse.
Je choisis soigneusement les meilleurs archers montés que notre armé possédait et les mis au courant de notre mission, ma garde personnelle composé de 25 soldats nous accompagnerait afin de veiller sur ma personne, je laissais 3 jours de repos aux soldats avant de nous lancer dans notre mission.
Durant ces trois jours je m’entraînais à manier l’arbalète, je n’aimais guère les armes a distances que je considérais comme lâches mais je devais avouer que la puissance de ces engins valaient celle de ma lame, je m’équipais donc pour le voyage, je m’armais d’une lance portant mon blason, de ma Claymore ainsi que de mon arbalète et d’une hache semblable a celle utilisé par mon amis danois, en hommage a sa bravoure.
Un chariot nous accompagnerait dans notre mission, il contiendrait de quoi nourrir mes hommes, la mission promettant d’être longue et éprouvante je ne pouvais pas trop charger mes hommes de provisions.
J’ordonnais a tout les soldats de s’équiper seulement d’une arme de contact et de leurs arcs, mis a part ma garde qui étaient équipé plus lourdement et armé d’arbalètes, je fis la connaissance de notre espion : un jeune homme a l’apparence anodine, ne possédant rien de particulier dans l’allure et pouvant se confondre facilement au milieu des soldats hongrois néanmoins il était particulièrement rusé.
Son plan d’infiltration était simple, se vêtir des hardes d’un des soldats ennemis tombé sous nos flèches afin de s’intégrer a l’armé durant l’un de nos assauts, il se promis même d’égorger autant d’ennemis que possible dans le camps adverses, je craignais un peu qu’il ne se fasse repérer car sa manière de parler fort élégante contrastait avec son apparence fort simple…
Finalement accompagné de notre ravitaillement nous primes la route, le roi me préconisa la prudence et m’ordonna de prendre soin de moi, je lui rendis ses vœux et lui rappela la manière dont était déjà tombé la citadelle, préconisant une surveillance attentive afin de lutter contre les assassins svarogs.
Apres une dizaine de jours de marche, nous finîmes par voir au loin la gigantesque armé ennemie, elle semblait composer de plusieurs milliers de soldats a vue de nez et leur campement recouvrait une immense plaine, j’envoyais plusieurs éclaireurs afin de trouver un endroit nous servant de QG.
L’un de mes hommes me fis savoir qu’à environ 4 kilomètres se trouvait une grande grotte, suffisamment spacieuse pour que tout les hommes et chevaux y tiennent, de plus la foret avoisinant l’endroit pourrait abriter et nourrir les montures,nous fîmes route vers le lieu dis .
La grotte en question était asser profonde et permettais en effet de nous abriter tous et d’établir un campement asser commode, de plus le foret nous protégeait et nous dissimulait, le cavalier ayant trouvé cet endroit fut grassement récompensé et le campement fut monté.
Je planifiais l’assaut du lendemain avec mes troupes, l’espion ne s’infiltrerait que plus tard quant l’ennemis serait habitué a nos assauts, j’ordonnais aux hommes de se coucher tôt en prévision de la dur journée a venir.
Le lendemain nous lancions les assauts, la grande colonne d’ennemis s’étalait sur plusieurs kilomètres, a l’avant les généraux et toutes les unités de cavalerie, nous dissimulant dans un bois proche des ennemis nous attaquâmes les dernières troupes situé tout au bout de la colonne.
Galopant dans les plaines, nous enchaînions les tirs, nos flèches fendaient l’air, de nombreux ennemis tombaient, surpris aucun ne réagis, nous longions la colonne au galop, vidant nos carquois sur les ennemis situé non loin.
Les ennemis commencèrent a réagir, déjà une grande suite de cadavre longeait la colonne de soldats, les ennemis se mirent a courir vers nous, j’ordonnais la retraite, continuant a tirer sur les ennemis nous poursuivant.
Nous entendîmes un clairon de cavalerie venant de l’avant de la colonne ennemies, nous continuâmes a fuir et a abattre des ennemis, ne rentrant pas directement a notre base afin d’éviter d’être pris en chasse.
Les journées passant nous pratiquions la même attaque plusieurs fois par journée, les ennemis devenant de plus en plus vigilant je divisais mes troupes pour les attaquer en plusieurs points et variais les techniques d’assaut,au bout du cinquième jour l’ennemis arma ses cavaliers d’arcs et devinrent plus vigilants ,nous fumes donc obligé d’attaquer de nuits ,ne laissant ainsi aucun moment de repos a nos ennemis je divisais mes troupes en petits groupes qui attaquaient a différents moments de la journée.
Notre abris nous permettait de nous reposer autant que nécessaire et l’abondance de provisions et de gibiers nous permettait de ne manquer de rien, notre espion parvint a s’intégrer a l’armé ennemis et nous laissa plusieurs messages dissimulé aux endroits ou les ennemis avaient campés.
Il estimait le nombre d’ennemis à environ 7000 ennemis, des soldats de métier bien armé et expérimenté, nous avions déjà infligé prêt de 1000 morts aux adversaires,il nous restait environ 4-5 jours afin de diminuer leurs nombres ,passé ce délai ils seraient aux portes de Kastély.
Je fis envoyer un message au roi afin de le prévenir de la situation, la garnison de Kastély était composé de seulement 1500 hommes, et il ne pouvait distraire aucunes autres troupes pour nous assister, le roi nous demandais de faire encore diminuer un peu le nombre d’ennemis et de rentrer au château afin de nous préparer a le défendre.
Au cours des journées suivantes je perdis 27 hommes, les ennemis devenant plus prudent ils s’armèrent presque tous d’arcs et parvinrent a repousser leurs assauts, nous tuions malgré tout environs 200 hommes sur la journée suivante et 400 la dernière journée d’assaut.
Finalement au bout de 9 jours d’assaut incessant nous quittâmes notre grotte afin de rejoindre la garnison de Kastély, les ennemis avaient été réduits de plus de 1500 hommes, moins du quart, de leur armé, néanmoins nous avions réussis notre mission et avions laissé les ennemis dans un état de fatigue et de découragement absolu.
Nous fumes accueillis en héros a notre retour,les portes de la citadelle avaient été fortifiés,de nombreux trébuchets trônaient maintenant le long des murailles ,garnies de plusieurs centaines d’hommes,les soldaient étaient bien armés et équiper ,le moral semblait bon et notre venue ne fis que conforter leurs confiances.
Le roi m’accueillis, avec joie me félicitant longuement pour mes récentes prouesses, il semblait vouloir s’assurer ma fidélité d’après la manière dont il me congratulait, du moins c’est ce que je pensais mais en réalité je pense qu’il me jalousait un peu …
Pour un tel homme, éternellement forcé a rester a l’arrière pour ne pas risquer de perdre la vie et détruire sa ligné, le fait de pouvoir se faire trouer la peau a chaque combats, de pouvoir se faire éviscérer a chaque combat par une bande de fanatiques était la plus grande des chances, le roi bien que plus âgé que moi aurait donné beaucoup pour pouvoir lutter insouciamment …
Ce roi était vraiment un être étrange, malgré son indéniable charisme et son sens stratégique il gardait un coté enfantin,les récits de combats le captivaient autant que dix ans auparavant,je suppose que c’est sans doute le fait d’une enfance difficile ou inexistante.
Quelques jours après les ennemis étaient aux portes de la ville, ils furent accueillis par des tirs de trébuchets et de catapultes avant de commencer la confection d’engin de siège, de nombreux arbres furent abattus et dans les semaines a venir de nombreuses tours de siège et échelles firent leur apparition.
Les soldats commencèrent a perdre de leur assurance au fils des jours, l’armée ennemie était asser puissante pour attaquer le château, chaque jours plusieurs de leurs hommes tombaient sous les lames d’assassins envoyé dans leurs rangs, cela les motivaient d’autant plus a accélérer les manœuvres et a se presser de lancer l’assaut.
Les murailles du château étaient asser haute, ce qui rendait l’ascension des échelles plutôt difficiles, le vrai problème venait des tours de sièges,les trébuchets étaient puissant mais pas asser précis pour toutes les abattrent et une fois placé,il n’y avait rien a faire pour les déloger.
Les murailles ne tiendraient pas longtemps aux assauts, ainsi les troupes devraient se replier à chaque fois a l’enceinte suivantes, les ennemis seraient toujours a découverts et les archers auront de quoi s’en donner a cœur joie, les villageois étaient regroupés au centre des fortifications, en cas de prise de la citadelle il n’existait aucun moyen de s’enfuir, ainsi ils devraient lutter jusqu'à la mort …
La victoire semblait difficile mais faisable, les tours de sièges bien que redoutable étaient excessivement lente, si l’ennemis en utilisait 10, au maximum 2 d’entre elles parviendraient aux murailles et une fois la première enceinte prise, seul les béliers et les échelles pourraient leurs ouvrir la voie vers la place et ce sous une tempête de flèches.
Je me portais volontaire pour mener les troupes de la première enceinte, cette situation bien que la plus dangereuse était sans doute la plus prestigieuse, je devrais faire battre en retraite les hommes au moment opportuns et retenir les ennemis afin de laisser fuir mes troupes, malheureusement pour cela je devrais lutter a pied et non pas a cheval, je prendrais donc place sur les murailles.
La nuit précédant le premier assaut je me baladais sur les murailles, j’observais au loin les feux illuminant le camps ennemis, a entendre les cris, les soldats devaient être passablement soul, signe énonciateur prouvant que l’assaut aurait lieux le lendemain, je n’étais pas quant a moi d’humeur fêtarde, je pensais mélancoliquement a Siegfried et sa bien aimé, ils étaient mort par ma faute, demain combien d’autres tomberont a cause de moi …
La vie de plusieurs centaines de personnes dépendaient de ma force,je contais me battre avec mon courage et ma puissance,emmitouflé dans ma cape je songeais encore quelques temps au combat avant d’aller me reposer et de vider quelques pintes au milieu de ma garde .
Dés le lever du soleil, les ennemis firent avancer leurs engins de sièges, ils furent rapidement repéré et l’alerte fut donnée, les trébuchets se mirent a tirer de lourds bloques de pierres et des amphores de feux grégeois acheté une petite fortune aux byzantins.
Enfilant ma cotte de maille ainsi que mes jambières et brassières,je surmontais le tout de ma tunique noir ,ainsi qu’une cape portant aux dos le blason de l’ordre,mon arbalète en bandoulière,ma claymore au dos et ma hache a la mains,je m’empressais de rassembler ma garde et de prendre place sur les remparts .

c'est super, mais il faudrait espacer un peu...
je vois que tu écris à la première personne...

quel observateur ce Pancho
toujours aussi...pavéique ^^
mais tres bien

mouais mais bon,c'est juste la transition words au forum qui est plutot médiocre
Pancho :ca varie ,a la mission précédente j'ai fais un passage la la 3 eme et un a la 1 ere mais je ne sais pas trop quoi choisir donc bon c'est selon les envies ^^

lol oui j'ai remarqué que tu changeais de la premiere a le troisième personne....perso je te conseillerai la premiere, ça rend mieux avec le profondeur que tu sembles vouloir ateindre dans ton récit

mouais mais le probleme est que bon ca limite un peu la description de la bataille et tout ca et puis si c'est un témoins je peux dire a quoi mon perso resemble,faire quelques petits commentaires et tout ca ^^
mais bon je vais essayer de continuer a la premiere personne ,on verra si ca me convient

a bin tu peux pas avoir le beurre et l'argent du beurre.....

je suis le seul a écrire a la premiere personne non ?

Karl aussi le fait

moui mais bon il a disparu

j'adore c'est un très bon début

merci petit peth !

c'est ce qui s'apelle une réaction tres controversée Peter

*chaos* a écrit:

merci petit peth !

"petit pet"

Espaces et 3ème personne et tu feras de moi le correcteur le plus heureux du monde.

On dit que j'ai DISPARU ??? Un nain ne disparait jamais, j'ai juste était très occupé ce week-end. Sinon excellent début, très captivant.

Squall si je n'avais pas de point a améliorer tu ne pourrais pas etre le meilleur et tu serais complexé

*chaos* a écrit:

Squall si je n'avais pas de point a améliorer tu ne pourrais pas etre le meilleur et tu serais complexé

Je n'avais pas dit que tu serais parfait en faisant cela.

arf éffectivement tu ne serais pas heureux d'etre n°2

*chaos* a écrit:

arf éffectivement tu ne serais pas heureux d'etre n°2

Je crois que tu n'as pas saisi tous les sous entendus que mon post impliquait...

bah ,cherche pas on va dire que je suis un peu crevé

bon pas tout ca mais depuis le temps j'essayerais peut etre bien de finir cette mission vus que je suis en vacance

Grâce à la lenteur des tours de sièges, nos trébuchets purent en détruire une bonne partie, sur le 12 tours, seule 4 d’entres elles parvinrent à atteindres les murailles, de plus j’avais largement eu le temps de positionner mes hommes en estimant ou les murailles seraient attaquées.

Aux endroits ou les tours de sièges prirent place, se tenaient a chaque fois deux groupes de 20 lanciers, derrière eux le même nombre d’archer, ainsi quant les lourdes portes des tours s’abattirent, les premiers soldats a posé le pied dehors furent balayé par des nués de flèches tandis que leurs suivants étaient empalé sur les lances.

Personnellement je tirais sur les ennemis portant des béliers, bien que je ne fus pas particulièrement doué avec une arme a distance, ils étaient si nombreux que je pouvais tirer n’importe tout et être certain de toucher un ennemis…

Malgré le courage de mes troupes, le flot d’ennemis sortant des tours était si intense, qu’ils ne purent les contenir bien longtemps, je fus donc obliger de révéler mon arme secrète, les frondeurs Grégeois, j’avais recruter parmi plusieurs de nos soldats, des hommes habiles a manier la fronde et les avais équipés de boules d’argiles acheté en même temps que les carafes de feu grégeois, quant ces capsules explosaient ,elles libéraient le mélange qu’elles contiennent afin de brûler vif l’ennemis.

Sous mes ordres, les frondeurs firent leurs apparition et se mirent a pilonner les soldats sortants d’une tour situé non loin, les ennemis s’embrasant instantanément dans une nué de cris finirent par détruire leur tour : les cadavres continuant a brûler, réduirent en cendre la porte par la quels les troupes sortaient.

J’ordonnais aux rares soldats encore vivant sur cette partie du rempart d’aller prêter assistance aux autres guerriers, pendant ce temps suivis de ma garde et de mes frondeurs je me lançais dans la direction de la tour la plus proche.

La garnison sensé défendre la muraille la plus proche avait été complètement balayé et seuls des ennemis se tenaient sur les remparts, dégainant ma lame et suivis de ma garde je me jetais sur le petit groupe d’un trentaine de soldats ennemis déjà présent sur le mur, j’ordonnais en même temps aux frondeurs de viser la tour.

Poussant un cri de guerre avant d’empaler mes premiers ennemis sur ma lame, je fus rapidement rejoint par des soldats d’autres garnisons du mur ayant eux ; aussi réussi à détruire la tour les attaquant.
Les ennemis pris en pressing entre ma garde d’élite et les alliers furent rapidement exterminés, tandis que la tour commençait elle aussi à s’embraser, j’entendais les cris de paniques des soldats piégés au sommet de celle-ci et ne pouvant faire marche arrière, leurs alliés continuant a grimpés.

Je rassemblais les soldats et faisait le point sur la situation : deux tours de sièges étaient encore présente sur nos murs, il fallait les détruire au plus vite tant que les ennemis n’étaient pas trop nombreux.

Les deux tours étaient situé aux deux extrémités des remparts, je divisais rapidement mes soldats en deux groupes afin que chacun aille apporter son soutien aux garnisons, en même temps, j’entendis un bruit sourd : un bélier avait atteint les portes et commençait a les frapper.

Je prenais la direction du rempart droit, suivis par ma garde et mes frondeurs, en chemin nous repoussions les cadavres obstruant déjà notre progression sur les murailles, nous passâmes devant une des tours encore en train de brûler, ces décombres dégringolant parmi les ennemis agglutinés devant les murailles.

De nombreux archers alliés étaient encore présent sur nos murs et faisaient pleuvoir la mort sur les ennemis, versant de l’huile bouillante par dessus les fortifications et décochant leurs flèches, finalement après plusieurs minutes de courses nous atteignons la dernière tour,les ennemis étaient déjà nombreux mais étaient sous le feu des archers situés dans la cour et les empêchant de trop s’avancer sur nos murs.

La tour était situé trop loin pour que mes frondeurs puissent l’atteindre mais les ennemis étaient encore trop peu nombreux pour tenter une sortie, les flèches commencèrent a se faire moins nombreuses, les carquois commençant a s épuiser, je pus voir un ennemis portant une armure de bonne qualité et une cape, je compris que c’était un commandant ennemis, celui-ci ordonna a ses hommes de prendre les cadavres des guerriers tombés afin de s’en servir comme bouclier contre les flèches.

Les ennemis obéirent et commencèrent a sortir de la tour, tout en s’abritant derrière leurs morts, j’avançais et ordonnais a mes frondeurs de se placer en position pour tirer, tandis que je me plaçait devant ma garde qui forma un mur de piques, prêt a subir les assauts ennemis, finalement mes tireurs commencèrent a pilonner les ennemis,

Les adversaires, subissant l’assaut des flèches et des frondeurs commencèrent a reculer mais sous les ordres de leur capitaine se lancèrent dans ma direction, s’empalant sur les lances et s’exposants pleinement aux projectiles ; cependant, leurs nombres était tel que mes soldats commençaient a avoir du mal a les contenir et tombaient les uns après les autres.

J’envoyais un messager donner l’ordre aux trébuchets de viser la tour, ils risqueraient d’abîmer aussi nos murs mais ils tueraient de nombreux ennemis vus la manière dont ils étaient compressés dessus.

Je tirais sur les ennemis a l’aide de mon arbalète, encourageant mes troupes a tenir, poussant des cris de guerres et ordonnant de garder la position, malgré tout, mes soldats étaient trop peu nombreux et reculaient, de plus les munitions de mes frondeurs s’épuisaient et je ne pouvais compter sur eux au corps a corps, je leur ordonnais donc le repli sur la deuxième enceinte.

Un soldat arriva en courant ,haletant afin de m’informer que la garnison défendant l’endroit ou l’autre tour était avait du battre en retraite et que les portes étaient sur le point de céder ,je lui ordonnais de battre en retraite et de faire mettre en position les troupes .

Quelques secondes après, un morceau de rocs tomba du ciel, il fracassa le mur, créant une grande secousse, il fut bientôt suivis d’un déluge de projectiles, l’un d’eux s’écrasant au milieu de ma phalanges et broyant la moitié de mes hommes, je maudissais ces crétins d’artilleurs mais un autre roc parvint a atteindre les ennemis, une bonne dizaine fut balayé, simultanément un projectile atteint le sommet de la tour qui éclata sous l’impact.

Il restait une vingtaine d’ennemis face a nous et nous n’étions plus que 15, je lâchais mon arbalète et dégainait ma claymore, mes soldats abandonnèrent leurs vouges et prirent leurs épées, je me plaçais devant eux et me ruait a l’assaut des ennemis, abasourdis par les tirs de trébuchets.

Je frappais une grand coups qui décapita deux soldats,mes guerriers se jetèrent avec rages sur les ennemis hébétés qui reculaient,bientôt ils furent acculé contre une tour et se préparèrent a se battre,leur capitaine situé en première ligne,derrière lui moins de dix soldats étaient encore en vie.

Je pris ma hache et la lança sur un opposant, celui-ci atteint en pleine tête tomba par-dessus le rempart et nous attaquions les survivants, j’empalais un ennemi et en poussait un autre, celui-ci tomba de la muraille et s’écrasa bruyamment au milieu de la cour.


Les ennemis étaient mort a part leur commandant qui luttait tel un diable et avait déjà abattu plusieurs de mes hommes, les autres reculaient devant lui et bientôt je m’approchais de lui par derrière et le frappa un grand coups dans le dos, il tomba a genoux et je le décapitais.
Les hommes me jetèrent un regard incrédule

-Qu’importe l’honneur dans ce combat, nous n’avons pas les moyens de nous montrer chevaleresque, maintenant battons en retraite les gars, je crois que nous sommes les seuls a encore lutter sur ces murs.

En effet,les soldats affluaient en désordre vers la deuxième enceinte,les ennemis ayant pris pied sur les remparts et les portes étant presque ouverte,je rengainais ma lame et me mis moi aussi a courir vers la porte ,mes soldats me suivant au pas de course.

Au moment ou nous franchissions le portail, un grand fracas se fit entendre : les premières portes étaient tombés, nous étions les derniers encore présent dans la première enceinte et la porte fut verrouillé juste après notre entrée.

Je reprenais mon souffle et disait a mes soldats d’aller faire panser leurs blessures et pendrent un peu de repos avant que nous ne devions combattre a nouveaux, quant a moi je prenais le chemin de l’armurerie ou je m’équipais de deux épées asser longues destiné au combat a cheval je prenais ensuite la direction de la place ou le roi avait établis son quartier général.

bon,voila ce que j'ai fais depuis hier,j'ai essayé d'espacer un peu plus que d'habitude pour que vous ne vous plaignez plus
je sais que c'est asser confus mais bon,je veux qu'on arrive a imaginer le tout donc ca demande pas mal de descriptions de la situation

un truc que j'ai pas compris, ta narration change d'un récit à l'autre...tu oscilles entre la première personne et la troisième....
sinon euh....c'est la siège de Kastély ça non ?

yep,le siege de Kastélly vus par les partisans de Phillipe,je sais que ca date un peu mais c'est la ou j'en étais...
Bah tu m'as toi meme conseillé a la page précédente d'utuliser la 1 ere personne
disons que je me tate...