mission alternative pour Peter von Soukhen

Mission.De vieille connaissances



Nos eclaireurs nous ont prevenus que les hérétique et les rebelles sont sur le point de recevoir des renforts depuis la Bohème, heureusement l’Empereur Germanique à réunis une armée pour contrer ces félons .Hélas la coalition rebelle semble avoir fait plus de dégats que l’on ne pensait en Germanie si bien que beaucoup trop de seigneurs et princes amis des rebelles se sont abstenu de rejoindre cet ost, c’est pourquoi nous avons décider de vous envoyer avec les réserve disponible rejoindre les Impériaux et les soutenir lors de ce combat ,vos origine Germanique vous aideront dans cette tâche . Rappelez vous que la victoire est loin d’être assurés si ses renforts rejoignent les assiégeant de Budapeste.

C'est quoi une mission "alterative" ?

grunt

jj'en déja fait une belle partie , je fait le reste demain et je postes l'ensemble

tu devrais demander l autorisation avant de faire une mission
enfin bonne chance pour ton récit

*chaos* a écrit:

tu devrais demander l autorisation avant de faire une mission
enfin bonne chance pour ton récit

Ca a été fait par MP.

désolé un surplu de travail innatendu m'a empêchere de finir cette mission,peut être pourrai-je le faire demain

en tout cas je dit tout de suite que c'est long et qu ej'abandonne pour la mission de la Saga Hongrois car là je suis fatiqgué

OK, tant pis...

neeamoin dans cette mission je vais faire mes raison "RP" pourquoi je ne vais pas à budapest

dommage mais bon on ne fais pas toujours ce qu on veux

Mission, de vielles connaissances

-Quand y serons-nous sergent ? demanda un homme d’arme
-Nous devrions déjà y être …

Mais ou donc était cette armée ? Peter était bien contents de retrouver des compatriotes après tout ce temps passé en Hongrie, mais cette absence totale de personne dans cette zone de guerre l’inquiétait. Depuis qu’il avait passé la frontière du Duché de Bohème ils avaient essuyé nombre d’embuscade de la part des rebelles et à présent qu’ils étaient enfin tranquilles, Peter s’inquiétait, l’ost du Kaiser avait t-il été vaincu avant son arrivée ?

<<Regardez là ! Hurla un homme.
-c’est horrible, fit un autre
-non c’est la guerre dit Peter >>

Sur un arbre trois corps avaient été pendu près du sol et manifestement carbonisés sur un bûcher fabriqué sous eux. Un écu barbouillé de sangs avait été placé en hauteur, on distinguait encore le lion argent sur pourpre de Bohème. Des soldats impériaux devaient être dans le coin car les cadavres n’étaient pas là depuis longtemps et le bûcher fumait encore. Alors que Peter inspectait les corps il avait oublié qu’il s’était séparé de son groupe, cela lui fût fatal. Une forme jaillit d’un buisson, instinctivement Peter sortit son épée mais elle lui fût arrachée d’une parade incroyablement rapide. Un froid aciers fût placé sous sa gorge et il pût enfin contempler la situation. Une dizaine de soldat l’entourait, ces propres hommes s’étaient immobilisés en le voyant en danger,

« Alors chien de rebelle on a vu ces petits copains volants ? ricana l’homme qui retenait le Germain.
-vous faites une grossière erreur.
-et t’es quoi alors ?
-Je suis Peter de la maison soukhen ,fils du Baron Heinrich de Castel-Soukhen, et chevalier de l’Ordre Teutonique.
-hein ?! s’exclama l’autre en me relâchant brusquement
Peter se releva en le regardant ,c’était un grand chevalier teutonique ,le plus grand qu’il eût jamais vu .
-Les fils du Reich ne sont t-il plus capable de reconnaître leurs ennemis ? s’exclama Peter avec mauvaise humeur
-Désolé frère ,mais nous sommes tous sur les nerfs avec ces embuscades, je suis Ulrich de Magdebourg ajouta t-il.
-Nous avons connu la même chose rassurez-vous.
-Et que venez vous faire là ?
-J’ai été envoyé avec cette petite armée rejoindre les forces de notre Kaiser ,et je pense que vous allez nous y aider
-Bien sûr suivez-nous ,de toute façon c’est l’heure de rentrer au camp pour nous. »

Peter et sa troupe suivirent ce chevalier et ces hommes-tous des sergents teutoniques apparemment- il remonta sur sa monture et l’emmena à hauteur de Ulrich et lui demanda ce qu’il s’était passé en Germanie depuis sa dernière visite. << La situation ne cesse d’empirer, bien que votre passage en Wurtemberg avec vos Chevaliers Divins ont empêché les rebelles de s’emparer de la province, le majeur partie du sud de l’empire et toujours en guerre, à l’Est le faible roi de Bourgogne à perdu tout pouvoir et laisse ses vassaux s’entretuer, il est fort probable que les regels en quelque chose avoir les dedans, le duc de Lorraine a un comportement de plus en plus étrange chaque jours et bien que il est convoqué se troupes, elles n’ont pas rejoins notre ost ce qui laisse présager le pire. Bien que les Autrichiens suivent l’empereur, leurs nombreuses indélicatesses à l’égards du peuple menace de provoquer une révolte générale qu’ils ne semblent pas prendre au sérieux .Le Nord et relativement stable mais les rois de Scandinavie échange encore plus d’émissaire que d’habitude ,nous avons pas d’information là-dessus mais les petite gens colportent les pire rumeur dans les ports :les Danois auraient afrêter trois cent navires pour les envoyé assiéger Hambourg, les Polonais ont incendié des forteresse de l’Ordre Teutonique en Prusse –ce qui est totalement faux-et on dit même qu’une armée de vikings morts vivants a attaqué le Brabant .Tout ceci ne fait qu’ajité le pays plus qu’il ne le devrais .Oui ,frère les temps vont être dur par ici. ». Peter fût silencieux le reste du voyage, ces informations l’avait bien chamboulés et il méditait sombrement dessus à présent.

La nuit tombait quand ils arrivèrent au camp impérial,4000 mille homme s’activaient dedans ,cherchant de la nourriture ou s’occupant de leurs armes .Peter distingua parmi les bannière l’aigle rouge de Brandebourg, le strié bleu-blanc de Bavière ,les aigle noires de l’Empire et des Habsbourg et bien d’autre encore .Au centre du camp se trouvait une grande tente noire et jaune devant laquelle des paladins se tenaient en factions ,il n’était pas difficile de savoir quel genre d’homme se trouvaient dedans. Ulrich et ses hommes les quittèrent en leur souhaitant au revoir et Peter entra accompagnés de ces seconds .L’intérieur de la tente contenait un grand meuble, une table sur laquelle était disposé une carte de la régions, et une magnifique armure de plates sur un ports ,seul les nobles les plus riche du monde pouvaient se permettre de payer les maître forgerons qui avaient crée une telle merveille ,Peter se senti bien faible dans son haubert de maille lourde et son simple heaume .Il se força a détourner les yeux de l’armure pour regarder l’assistance, le Kaiser et tous sont état-major étaient là..

L’empereur Rodolphe de Habsbourg était un robuste personnage d’une bonne cinquantaine d’année ,dans sa barbes qui devait jadis être d’un roux éclatant se voyais surtout le gris de la vieillesse néanmoins il restais quand même un homme robuste et un formidable chef au combat, mais hélas un piètre politicien comme l’auguraient toutes ces mauvaise nouvelles.

« Alors, je vois que ce damné Pape et ces maudit cardinaux ont enfin daignés m’envoyés l’aide que je leur réclamais depuis si longtemps. et un de ces beau Chevaliers Divins en plus !
-Vous dites faux sire, je n’ai pas été envoyé par ces requins du Vatican, ce n’est que le grand maître toujours prêt à aider ceux qui combattent l’hérésie qui…
-Assez !rugit un noble dont la tunique était frappé des couleurs de l’Alsace, ou donc était votre bon Grand Maître lorsque le bourgogne sombra dans le chaos ?,ou était il lorsque les Lorrains saccagèrent mon fiefs ?ou était il lorsque le seigneur fit décapiter le sire mon père et jeter sa dépouille en pâture aux hérétique ?
-Calmez-vous ser, ordonna le Kaiser et l’autre se tût tout en continuant à fusiller du regards Peter et ses hommes. Votre aide aurait pût être plus rapide mais nous devons nous satisfaire du moindre ces temps temps-ci ,ajouta t-il à l’égard de Peter
- les dernière délibérations sur le plan de bataille seront faite demain ,en attendant nous vous conseillons de vous reposer » termina un autre noble.

Peter fût congédié et un homme qui devait être l’Intendant montra à ses hommes ou il devaient prendre leurs quartiers ,le Teutonique en profita pour visiter le camp.

Ses yeux furent irrésistiblement par un étendard strié de noir et jaune barré du couronne verte, la bannière du duc de Saxe. Peter s’approcha en cherchant à distinguer les bannière des vassaux saxons le vit enfin, sur une tente de simple couleur blanche flottait un drapeau blanc de neige sur lequel étaient 2 corbeaux noires, les armoiries du seigneur de Castel–Soukhen. .Sur son chemin des soldats qu‘il avait jadis cotoyé dans sa jeunesse le regardait avec des yeux rond en le reconnaissant .Le garde en faction était un chevalier qui s’écarta immédiatement devant Peter .En entrant dans la tente il regarda autours de lui et vit un homme en haubert par dessous une tunique blanche .

« Peter ,content de te voire fit-il avec un sourire las
-Willhem, répondit l’autre en serrant son frère dans ces bras, que fait-tu ici ? le sire notre père ? »
Wilhem s’assombrit. « Depuis que sa trahison est connue ,le duc de Bohème n’acessé d’assaillir ses voisins, la Saxe à aussi été touchée ,plusieurs de nos vassaux ont été carbonisés dans leur propre château ,Père avait rassemblé les survivant chez nous et nous pûmes vaincre les rebels sous nos murs mais il dernier emportèrent tout ,jusqu’au brin de blé ,au dernier brebis ,ne nous laissant qu’un désert à défendre, père voulu châtier ces pillards et il tomba dans une de leur embuscade, il repose à présent dans les cave du Castel-Soukhen»
-C’est donc toi qui dirige nos armées ?Fit Peter le visage blêmit par cette nouvelle
-Oui tous nos survivants sont ici ,notre fief à été abandonné aux félons pour un temps. Une grande campagne se prépare et j’ai rassemblé le peu de puissance qu’il me reste pour accompagner notre Kaiser.

Peter s’en alla le visage assombrit, le bonheur qui l’avait ressenti à retrouver des gens de son pays s’était évanouis en même temps que ces sombres nouvelles était arrivées. Comment tout cela avait pût arriver ?Gordon avait –il finalement raison lorsque ‘il disait qu’il y avait des problême dans notre Ordre ?Peter alla machinalement dans sa tente ,se coucha et la fatigue l’emporta.

Il fut brutalement tiré de son sommeil par des cris dans le camp ,un cor hurlait, des bruits de chevaux et des cliquetis d’épée et de maille .Sortant de sa tente il demanda à un sergent se qui se passait : « c’fichu rebs sont là !Qu’il sont venu tout vent ! ». Rapidement les hommes de guerres sortaient des tentes et s’armaient, des chevaliers beuglaient des ordre à leurs écuyers et Peter fit de même « rassemble tout nos hommes ! ». Ulrich de Magdebourg déboula dans le coin suivi d’une vingtaine de ses frères monté sur le plus monstrueux destrier que Peter eût jamais vu « Soukhen !Le Kaiser m’a dit que vous deveniez venir avec moi sur l’aile gauche !venez ! »Suivi de tout ses soldats Peter monta sur son cheval et fila vers le Nord.


L’Aube arrivait lorsqu’ils furent enfin sur ce qui devait être le futur champ de bataille, Peter se mit à l’avant de ces hommes pour pouvoir le contempler pleinement. Sur l’Aile droite, 400 chevaliers qui formaient les trois quarts de la cavalerie lourde attendaient impatiemment le début des hostilités, au centre, 2100 lanciers et archers s’alignaient en bon ordre, prêt à tenir le gros de la charge, derrière eux la réserve de 700 hommes avec le reste de la chevalerie ainsi que la milice professionnelle, et sur l’aile gauche les forestiers, paysans, francs-coureurs, mercenaires, redorés uniquement par la présence des soldats de l’Ordre des Chevaliers Divins ainsi que les Chevaliers Teutoniques,800 hommes en tout.

Enfin il vit l’ost ennemi .8000 guerriers rebels .De toute les armée rebs qu’il avait vu ,c’était la plus grande. Devant trottait les nobles félons sur leur destriers ,arborant fièrement les armes de leurs maison sur les écus, ensuite la masse de fantassins, heureusement l’armée ennemi devait être fatiguée par la marche forcée et était ,excepté les chevaliers en grande partie formée de paysans et forestiers .Même si les Impériaux deux fois inférieur en nombre devait perdre la bataille ,au moins les Bohèmiens en souffrirai autant.

Bientôt des cors hurlèrent des deux côtés et l’armée rebelle se jeta sur ses ennemis . Une rivière séparait l’aile gauche Impériales de ces assaillants, Peter la montra à Ulrich de Magdebourg qui acquiesca « si nous tenons cette rivière ,nous pourrons peut-être empêcher les gueux que nous commandons de s’enfuire » . et d’un coup il brandit son épée et galopa vers le cour d’eau « soldats avec moi !pour Dieu et le Reich ! » hurla Peter et tout son Les Chevaliers Teutonique chargèrent un mur de piques et de boucliers frappé de l’aigle d’argent .Au dernier moment la moitiés des chevaux freinèrent et s’écrasèrent sur les pique, celui d’Ulrich s’effondra en écrasant plusieurs hommes de sa masse. du naufrage le chevalier teuton émergea en brandissant une gigantesque claymore qui faisait le vide autours d’elle maniée par les mains expertes. Profitant de la brèche, Peter se mêla à sont tours du combats suivi de ses propres guerriers .A présent ,sur tout le champs de bataille, les deux groupe se jeta contre les rebelles . s armée avaient engagés une terrible mêlé ,dans les bannières qui se mélangeaient on croyait voire un grand combat aèrien :les aigle noires de l’empire se mélaient à ceux d’argent se laserraient et volant les uns dans les autres. Peter déploya toute sa maîtrise du métier des armes ,tuant l’un après l’autre les hommes qui lui barraient la route ,un chevaliers maniant une hache tenta de le transpercer mais Peter fila vers lui et lui écrasa le heaume sous sa masse d’arme puis celle -ci se perdit dans le cadavre qui tomba dans l’eau et Peter dégaina son épée frappant d’estoc et de taille .Un chevaliers au couleurs du Thuringe le dépassa une lance dans le ventre ,on ne pouvait plus rien pour lui mais Peter se lança quand même contre la demi douzaine de rebelles qui lui prenait la bride ,20 secondes plus tard ils étaient morts. Peter profita d’un bref répit pour juger la situation ,la rivière étaient à présent loin derrière lui ,il s’était laisser tourner. Rassemblant ce qui lui restait de force Peter y retourna tentant vainement d’empêcher les rebels de passer ce cours d’eau .Mais hélas les paysans et autres gueux de l’armée Impériale commençaient à s’enfuir ,d’abords un hommes, puis un autres ,puis deux autres et ainsi de suite l’aile gauche fût balayé .Peter tomba assomé par le plat d’une épée et perdit connaissance.

Lorsqu’il se réveilla ,les bruit du combat étaient au loin et des soldats de l’Ordre Divins l’entouraient.

« Que s’est t-il passé ? demanda le Germain .
-Au dernier moment l’Empereur à chargé ceux qui nous avaient balayé avec toute sa réserve. Toute l’aile ennemi s’est désagrêger et les Bohèmiens qui avaient perdu beaucoup de leurs chefs se sont repliés
-La manœuvre semblait prévus ,fit un sergent.
-Et bien évidemment ils n’ont pas jugé utile de me prévenir, Peter d’un aire sarcastique.


Il passa une bonne heures chez les chirurgiens avant de pouvoir sortir de l’infirmerie aménagée sur le champs de bataille. Il aperçu un paladin de la garde Impériale dont la plate était couverte de sang : « ou est ton maitre ? » demanda Peter . « Je n’en aie pas messire « se contenta l’autre. Peter alla perplexe vers la tente de commandement, une foule personne s’était rassemblé là et le chevalier divins envisagea le pire .

Le Kaiser était là, dans un lit, couvert de sang, une horrible blessure de hache à la tête. Néanmoins il était vivant et appela Peter.

« Venez chevalier, dépêchez-vous la faucheuse n’attendra pas longtemps.
-Sire je …
-taisez-vous ser ,puis le mourrant fit venir un autre homme, celui-ci devaient avoirs une trentaine d’année, portait une gigantesque barbe rousse et avait des yeux d’un bleu profond et hypnotisant : « Voici mon héritier ,je veux que votre ordre, s’il lui reste un temps soit peu de noblesse, le protège contre tous ses ennemis .
-Je ne suis pas habilité à une telle décision hélas ,mon seigneur.
-Je veux que mon empire soit guéris du mal que mes stupidités de jeunesse lui ont fait et il est le seul qui puisse le faire.
-Quand savez-vous ?lui demanda Peter méfiant
-Je le sais c’est tout ,puis le Kaiser se retourna vers l’autre :Frederic ,promet-moi de tout mettre en œuvre pour la réunification.
-J’y mettrait mon existence et toute ma volonté sir ,vous le savez pertinemment, répondit celui-ci
- Même si je ne puis corriger des erreurs de mon ordres, j’accepte pour un temps de l’accompagner puisque c’est votre volonté monseigneur ajout Peter, décidé.

Alors le Kaiser ferma les yeux et s’immobilisa . Un héraut arriva et dit d’une voix forte

« L’Empereur est mort !vive l’Empereur !
-vive l’empereur !,hurla la foule présente.
-voici votre nouveau souverain messeigneurs ! Frederic de Hohenstaufen !
et tout les hommes présent hurlèrent d’une seule voix

Frederic !
Barberousse!
Barberousse !
BARBEROUSSE!






Francfort ,hiver 1152


« -C’est fait Peter ,je le suis.
-oui sir. »

Du haut du trône ,l’empereur Frederic dominait tout le monde ,lui qui même habillé en robe de damoiselle était capable de rester imposant. Que de chemin parcouru !La route jusqu'à la capitale de l’empire était périlleuse du fait de la guerre civile et des seigneurs félons qui refusait d’accepter Barberousse en tant que Empereur. Mais maintenant c’était réglé .

« Sire, permettez-moi de retourner auprès de mes frères ,je suis absent depuis trop longtemps, et mon serment ne vaut plus grand chose maintenant que vous avez une armée pour vous protéger.
-Je t’en libère camarade, va en paix.
-Un jour j’espère, je reviendrais pour vous aider à reconquérir votre empire.
-Je l’espère aussi. Essaye de rallier tes maîtres à notre cause, chaque épée de plus réchauffera un peu plus mon cœur dans cet hiver.
-Au revoir sire, que Dieu vous protège.
-Qu’il me protège surtout de ses représentants à Rome. »

Peter retourna auprès de son ordre, et peut importe si il avait bafoué ses ordres, il avait fait se que sa conscience lui dictait pour une fois .et en était heureux. Peut-être que lorsque’il reviendrait la guerre en Hongrie serait finie…

Un très très bon récit ma foi !

désolé j'avais oublié d'enlever ma signature quand j'ai posté sa fout le bordel un peu

c'est dingue !pour une fois que je fait un récit plus long et varié que le sautres tout le monde s'en fout

Peter von Soukhen a écrit:

c'est dingue !pour une fois que je fait un récit plus long et varié que le sautres tout le monde s'en fout

Pourtant il est excellent ! Venez le féliciter bande de malpolits !

Il est superbe et originale ton récit, je l'avait lu ce matin mais j'ai du oublié de mettre un commentaire.

Quant à moi je viens de le lire et je le trouve vraiment pas mal! j'aimerais bien en faire des aussi longs, mais j'ai peur de me perdre dans des détails inutiles et que ça devienne incompréhensible... ce qui n'est pas le cas avec celui ci bravo!

je te conseillerai de lir le Trone De Fer de G.RR.M ,une sagga assez célèbre dont je m'en inspire beaucoup (peut-être trop hem...)

j'aime bien ton récit...mai quelle idée de charger un mur de piques quand meme......a moins que ton perso soit suicidaire ^^

mais s'est pas moi c'est mon pote teuton,moi je suis arrivé quand y avait la brêche

merci quand même (^_^')

mouais les teutons tous les meme de toute façon