La Saga Hongroise

Première mission : L'épée et le roc

Le grand jour était arrivé, j’allais enfin pouvoir combattre pour l’Ordre. J’étais tellement excité et impatient de combattre que j’en oubliai presque que je risquai de mourir comme plein d’autres soldats. Je faisais parti de l’escouade qui combattrait en première ligne et j’étais fier que le chef m’ait confié la bannière de l’Ordre à planter au sommet du donjon ennemi.

Mon escouade était commandée par un membre important de l’Ordre : le sergent Peter von Soukhen. Pendant la disposition de notre unité, je me mettai derrière lui comme m’avait demandé le chef. Avant la bataille, il nous galvanisa en nous disant d’une voix forte : <>
J’avais entendu dire que des espions de l’Ordre s’étaient infiltrés dans le château et que normalement, ils devaient avoir réussis à ouvrir les portes. Ce n’était donc pas la peine de se charger inutilement de béliers et d’échelles.

C’est alors que la bataille commença, Peter von Soukhen nous donnant l’ordre d’avancer ou plutôt de faire un sprint. On m’avait prévenu que c’était un fougueux mais je ne devais pas trop m’épuiser, la bataille risquait d’être longue. Heureusement il ralentit un peu le rythme pour le bonheur de plusieurs soldats. Les hérétiques nous attendaient à la première porte, ils voulaient vraiment se faire tuer.

Peter von Soukhen nous donna l’ordre de charger l’ennemi. Je tendis mon vouge vers l’avant et courus le plus vite possible en criant vers un soldat ennemi qui n’avait pas eu le temps de se préparer à notre charge. Il paya cette erreur de sa vie. J’engageai ensuite le combat avec un autre soldat que je tuai en lui plantant mon vouge dans sa tète. Parfois, je jetai un coup d’œil furtif à mon sergent, il se battait très bien, envoyait en enfer les hérétiques un par un. Une épée m’embrocha un petit peu la cuisse droite mais je transperçai le ventre de mon agresseur.

Les rebelles commençaient à reculer peu à peu et ils finirent par se replier derrière la deuxième porte qui, à leur plus grande surprise ne voulait pas se fermer. Peter von Soukhen nous ordonna de les poursuivre mais les rebelles se remirent en position de combat. Juste avant d’arriver à leur contact, nous fûmes accueillis par une pluie de flèches. Je levai la tète et vis des archers ennemis en haut des murailles. Nombres de mes compagnons tombaient autour de moi, je me protégeai avec mon bouclier tout en avançant mais ça n’empêcha pas une flèche de venir se planter dans mon genou.

Pendant que je retirais la flèche planté dans mon genou, le sergent m’interpella moi et 3 autres soldats. Il nous donna pour mission de monter sur les remparts et de tuer tous les archers ennemis qui faisaient des ravages dans nos rangs. Lui et les autres hommes continueraient leur marche en avant et nous devions les rejoindre le plus vite possible. Je me dirigeai en premier vers les escaliers suivi par les autres soldats.

Les archers ne nous virent pas arriver en haut des murailles, ils étaient toujours occupés à tirer des flèches sur les autres soldats. Je saisis mon poignard et le lançai sur un des archers. L’homme s’effondra devant ses compagnons ébahis par cette attaque éclaire, les autres soldats de l’Ordre combattant déjà les archers au corps à corps. Les hérétiques n’avaient pas eu le temps de se préparer au combat et un quart d’entre eux avaient trouvé la mort. Je récupérais mon poignard et me dirigeai vers un soldat ennemis que je tuai facilement.

Même s’ils étaient en supériorités numériques, les archers ne faisaient pas le poids avec leurs minables couteaux face à nos vouges. Malheureusement ils reprirent peu à peu confiance malgré de lourdes pertes et tuèrent 2 des 3 soldats qui m’accompagnaient. Il restait 6 archers et nous étions encore 2, le combat s’annonçait rude. Je tuai un soldat, me dirigeai vers un autre et vis mon compagnon glissait et tombait par-dessus le rempart après avoir élimé 2 hérétiques. Un archer profita de mon inattention et me planta son poignard dans mon épaule. Je poussai un cri de rage avant d’envoyer mon vouge dans la gorge de mon agresseur. Je courus vers un autre archer que je bousculai et qui s’écrasa au pied des remparts. Enfin je lançai mon poignard dans le dos du dernier soldat qui fuyait.

Mon épaule me faisait atrocement souffrir mais je devais rejoindre le sergent. Je vérifiai que la bannière de l’Ordre était toujours dans mon dos et descendis les escaliers. Je ne voyais pas mon escouade et je courus le plus vite possible. En passant sous la troisième porte, j’aperçus au loin près du donjon, le sergent et une dizaine d’hommes se battant contre des soldats ennemis. Je leur vins en aide en tuant quelques soldats même si la victoire était acquise, les rebelles n’abandonnaient pas, ils furent tous tués et le donjon était sans défense. Peter von Soukhen comprit que j’étais faible et il ordonna à 2 soldats de me porter en haut du donjon. En montant les escaliers, nous rencontrâmes quelques hérétiques que le sergent tua sans aucune difficulté.

Quelques minutes plus tard, je me mis debout et dans un dernier effort, je plantai la bannière de l’Ordre et après, tout devint flou…

je vais encore etre dernier a poster moi
bon alors hop déja comme pour le camarade c est pas tres longs ce qui est dommage
ensuite tu n utulises pas word et ca se sent un peu par des fautes par importantes mais répetées
et un petit probleme:si je compte bien tu as une blessure a la jambe,une fleche dans la jambe,un couteau dans le bras ...
ca fais beaucoup pour les batailles a venir tu ne seras pas en bon état Shocked

enfin content quant meme d avoir une nouvelle recrue ,bonne chance pour la suite Very Happy

je doute que mes critiques soient partagé par le chef donc ne t inquiete pas mais bon si tu prens en compte nos remarques ce sera encore beaucoup mieu Smile

Ok je prend en compte pour les prochains récit.

J'ai corrigé pas mal de fautes.

Deuxième mission : Chaos

Après ma petite virée à la taverne l’autre jour, j’étais revenu à l’infirmerie. L’infirmière était folle de rage, elle me dit que c’était dangereux que je sorte dans cet état, que je pouvais me faire agresser… Comme ci j’avais 10 ans, et que je savais pas me défendre. Elle me questionna pour savoir où j’étais parti et quand je lui racontai que j’étais allé à la taverne et que j’avais bu 10 litres de bière elle faillit avoir une crise cardiaque. Elle me cria dessus, affirma que j’étais inconscient et que la bière ne ferait que ralentir ma guérison. C’est bizarre mais je m’étais senti beaucoup mieux quand j’eus fini la bière. Ah les femmes toujours à s’inquiéter pour des bricoles qui n’ont aucune importance.
Enfin… ça fait maintenant une dizaine de jours que je m’ennuis dans ce lit inconfortable, que je mange de la nourriture dégoûtante, maintenant elle me surveille 24h/24h et je ne peut plus aller à la taverne. La belle vie à l’envers.

Le lendemain, l’infirmière m’enleva mon bandage à l’épaule, la blessure avait cicatrisée ainsi ma blessure à la jambe, je ne boitais presque plus. Je lui demandai si je pouvais sortir, elle hésita mais comme je pense qu’elle commençait à en avoir mare de moi, elle me laissa partir. Je voulus aller fêter ma liberté à la taverne en prenant un peu de bière sauf que, qu’en j’ouvris la porte, la taverne était étrangement vide, il n’y avait même plus de tavernier. C’est à ce moment là que j’aperçus la foule de civils et de soldats qui écoutaient le discours d’un homme. Ce dernier portait une couronne et il était accompagné par le commandant de l’ordre. Je devinai qu’il s’agissait du roi hongrois Guy, il était jeune et n’avait pas la carrure d’un combattant et encore moins d’un roi. Je me demandais s’il avait au moins participé à une bataille, je le trouvais pathétique et pitoyable sur son cheval. Je n’entendais pas ce qu’il disait même si je compris clairement qu’il voulait massacrer la population de Kastély.
Quel cruauté chez cette homme, heureusement que ce n’était pas le roi du Danemark !
Il parlait sois disant au nom de la chrétienté et les soldats de la caste des Pénitents l’applaudissaient ainsi que les soldats de la caste des Séraphins qui étaient aussi cruels et agressifs que lui. Les membres de la caste des Affranchis préférés eux, que l'Ordre garde le contrôle de la ville pour lui et donc décidé du sort de la population. C’est alors qu’un soldat intervint et s’opposa au massacre de la population. Il fut saisi par 2 gardes qui l’emmenèrent devant le roi. Ce dernier pris son épée et le pourfendis.
L’homme appartenait à la caste des Paladins et ses compagnons protestèrent. Les partisans de Guy sortirent leurs armes et ils engagèrent le combat face aux Paladins. La boucherie venait de commencer.

En même temps, le roi ordonna d’exterminer la moitié des membres de chaque famille. Le commandant de l’Ordre n’essayait même pas de résonner le roi ni même d’empêcher ce massacre, il était soumis. Je ne pouvais rien faire pour éviter cette tuerie, je doutais même, j’étais le soldat d’un ordre qui servait un tyran. Je ne pense pas que le seigneur Sopraluk parti je ne sais où approuverait cela à son retour. Je retournai à la taverne, perturbé par ce qui venait d’arriver et le lendemain, les cadavres des habitants furent brûlés. J’étais traumatisé par ce qui venait d’arriver, j’avais rejoint l’ordre pour l’aventure et aussi pour tuer les assassins de mes parents même si je savais que je ne les retrouver jamais. Mais je n’avais pas rejoint l’ordre pour voir des populations entières se faire exécuter.

Dans l’après midi, un homme m’apporta un message, je devais aller me rendre au QG de l’Ordre, le commandant voulait me voir, j’en profiterais pour avoir une petite explication avec lui sur les dernier évènement. Sur le chemin, j’aperçus le sergent Adrian Gordon accompagné d’une jolie demoiselle, peut-être un mariage dans quelques semaines ! J’entrai dans la tente qui était gardé par 2 soldats, le commandant était assis derrière son bureau et un homme se tenait à ses cotés.

-Bonjour Skapty, je tenais d’abord à vous féliciter pour votre excellente bataille ici même.
-Bonjour commandant j’aimerais vous parler des événements d’hier...
-On discutera de tous cela plus tard, en attendant j’ai une mission à vous confier. Vous serez sous les ordres du lieutenant Bertrand de Lorraine ici présent.

Il désigna l’homme à ses cotés.

- Vous ferez parti de sa garde rapprochée, vous irez où à Bucarest où la guerre civile fait rage pour le contrôle de la ville. Vous devrez prendre le contrôle de Bucarest, contacter les résistants hongrois et vous devrait pacifier les différents quartiers de la ville ou les résistants hongrois sont confrontés aux hérétiques et aux rebelles de Philippe. Quand la ville sera débarrassée de ses infidèles on pourra la rendre au roi Guy
-Vous n’allez tout de même pas lui remettre la ville, il massacrera la population comme il l’a fait ici, je suis désolé de vous dire ça mais je ne veux pas servir ce fou.
-Moi non plus je ne l’aime pas mais je suis obligé de suivre les ordres.
-Les ordres de qui ? Sûrement pas ceux du seigneur Sopraluk.
-Vous êtes encore trop jeune pour comprendre ce qui se passe, je vous demande juste d’obéir.
-Je vous préviens que si le roi Guy exécute encore un seul paysan je l’étrangle de mes propres mains.

Je sortis de la tente en colère et le lieutenant me rattrapa. Il était encore très jeune, peut-être 3 ans de plus que mois.

-Je comprends ta colère mais nous ne pouvons rien faire sauf attendre le retour du seigneur Sopraluk qui réglera les choses. Je n’aime pas le roi, il ne respecte personne, je ne comprends pas pourquoi le Pape le soutien et comment il a pu être roi.
-Vous faites parti de la caste des Justes n’est-ce pas ?
-Bien deviné, tu veux aussi en faire parti ?
-Je ne sais, j’ai peur d’être un pion entre les mains d’homme puissant qui ne pense qu’à leurs intérêts, pour l’instant je préfère rester indépendant, je vais y réfléchir.
-Comme tu voudras, pour la mission, je voudrais que tu ailles prévenir les résistants hongrois. Tu devras passer par les zones des hérétiques et celle des rebelles de Philippe. Ensuite, avec les renforts tu pacifieras les quartiers de ton côté du fleuve. Je ferai l’autre coté du fleuve avec les soldats.
-Mais je dois veiller à ce qu’il ne vous arrive rien, je fait parti de votre garde rapprochée.
-Ne t’inquiète pas pour moi, j’ai d’autres hommes à mon service. On part demain à l’aube, rejoint moi devant la taverne. A demain.
-A demain lieutenant.

Suite et fin

Le lendemain matin à 6h30, j’allai à la taverne où le lieutenant m’attendait comme prévu, les troupes étant à l’extérieur de la ville. Nous partîmes tout de suite vers Bucarest, nous devions mettre fin à cette guerre civile le plus vite possible. Le voyage durait normalement 10 jours, sur notre route nous croisâmes quelques fermes mais très peu de village, en ces temps de guerre les paysans migraient, leurs villages étant souvent pillés par les hérétiques en ce moment.
Le sixième soir, nous nous arrêtâmes dans un bois à côté de la route, je n’aimais pas cet endroit, je savais que les rebelles pouvaient s’y cacher et nous tendre une embuscade. Cela me rappelait l’attaque que l’armée danoise avait subie quand nous étions parti en croisade et que le Prince danois, ce couard, avait fuit la bataille pour laisser ses soldats à une mort certaine. Je ne souhaitais vraiment pas que cet évènement se reproduise ce soir, de toute façon les hommes expérimentés qui nous accompagnaient, connaissaient le danger et rester sur leurs gardes. Un de nos éclaireurs avait vu une auberge non loin de là, le lieutenant décida d’y aller pour peut-être obtenir quelques informations et il me demanda de venir avec lui. J’étais très heureux de la proposition du lieutenant et j’acceptai sans hésitation.

J’entrai dans l’auberge en premier suivie du lieutenant qui alla s’asseoir à une table pendant que je commandais de la bière. Je rejoignis le lieutenant et quelques minutes plus tard, l’aubergiste nous apporta la bière, le lieutenant posa plusieurs pièces d’or, suffisant pour payer une bonne centaine de litre de bière. C’était le moment de le cuisiner un peu l’aubergiste.

-Bucarest est à combien de jours de marche ? demanda le lieutenant.

L’homme se méfiait mais il craqua en voyant les pièces d’or, il répondit :

-Vous êtes à environ 3 jours de marche de Bucarest, je ne comprends pas pourquoi vous voulez y aller, la guerre civile fait rage là-bas.
-Justement on y va pour pacifier la vile. Nos hommes campent dans la forêt en ce moment.
-Ce sera difficile de pacifier la ville, 3 clans s’affrontent, les hérétiques, les partisans de Philippe et ceux du roi Guy. Les hérétiques appartiennent à l’ordre du Svarog et en temps normal, l’ordre du Svarog est allié avec Philippe mais là, il semblerait que ce soit chacun pour soi pour le contrôle de la ville. J’ai aussi appris que depuis quelques semaines, les partisans de Guy reculaient dangereusement.
-Qu’est-ce que l’ordre du Svarog ? demandais-je
-Je ne sais pas trop répondit l’aubergiste qui commençait à perdre patience avec toutes ces questions, heureusement que le lieutenant sortit une dizaine de pièces d’or en plus sur la table.
L’aubergiste continua :

-Les membres de cet ordre croient en une ancienne religion païenne, ils détestent le christianisme, l’accusant d’avoir tenté de détruire leur religion. Pour se venger, ils veulent éradiquer le christianisme et les autres religions de la surface de la Terre. Comme vous l’avez sûrement remarqué, ils sont très bien organisés et ils comptent beaucoup de fidèles aussi bien en orient qu’en occident et même en Afrique.
-Eh bien merci de votre hospitalité répondit le lieutenant à l’aubergiste.

Nous sortîmes de l’auberge et nous rentrâmes au camp, je méditais sur les révélations que nous avait fait l’aubergiste et il fallait prévenir le seigneur Sopraluk de cette nouvelle menace. Je le suggérai au lieutenant qui approuva ma décision et envoya de suite un messager à Kastély, le seigneur Sopraluk devait être rentré maintenant.
Je fus pris d’un doute, l’aubergiste en savait beaucoup, beaucoup trop même pour un simple aubergiste. Il nous avait révélé des choses sur l’ordre du Svarog que la moitié des officiers de l’Ordre des chevaliers divins ne savait. Il faisait justement peut-être parti de l’ordre du Svarog ce foutu aubergiste. Je fis part de mes doutes au lieutenant, lui aussi avait trouvé ça bizarre et il était d’accord avec moi. La colère m’envahit et je ne pus la contenir plus longtemps, je criai :

-Cet enfoiré va me le payer de sa propre vie.

Je retournai vers l’auberge en courant le plus vite possible et j’entendais à peine la voix du lieutenant :

-Arrête Skapty, c’est sûrement un piège.

Je n’écoutais plus ce que disait le lieutenant, trop absorbé par ma colère, je continuai de courir le plus vite possible. Arrivé devant l’auberge, je donnai un coup de pied dans la porte qui s’écrasa par terre. L’aubergiste me regarda surpris par mon intrusion, il afficha ensuite un grand sourire sadique.

-Espèce de salop, vous faites parti de l’ordre du Svarog, vous allier partir pour Bucarest prévenir ces idiots d’hérétiques, je vais faire en sorte que votre mort soit des plus douloureuse.
-Vous avez tout à fait raison sauf que je pense plutôt que c’est vous qu’il allait mourir répondit-il avant d’exploser de rire.

A ce moment là, une trentaine de soldats sortirent de nulle part et se dirigèrent vers moi, je n’avais aucun doute sur leurs identités, ils appartenaient à l’ordre du Svarog. Je compris immédiatement que j’allais mourir mais ce salop devait payer, je saisis mon poignard et je le lançai sur le fameux aubergiste. Avant d’être assommé par un des soldats, j’aperçus brièvement l’aubergiste s’effondra sur le bar, un poignard entre les 2 yeux, le poignard de mon père tué par des enfoirés d’hérétiques comme les membres de l’ordre du Svarog. Je mourrai, j’allais enfin pouvoir rejoindre mes parents dans l’au-delà.

bin dis donc il est chaud bouillant karl ^^ il s'énerve pour un petit rien.....lol mais pas mal ton recit...il reste qui de ceux qui sont partis en mission ? chaos ?

bien

Merci

Je me réveillai, que s’était-il passé ? J’avais un horrible mal de tête, je mis quelques minutes à réaliser que j’étais encore vivant et que j’étais attaché à une chaise. Devant moi se dressaient 3 hommes, l’homme au centre avait l’air assez âgé, à sa gauche, un homme terrifiant venu de contré très lointaine, au-delà de l’orient, et enfin la dernière personne devait avoir 10 ans de plus que moi, j’avais l’étrange impression de l’avoir vu quelque part, peut-être à Kastély… Le vieil homme se présenta :

-Bonjour, je m’appelle Veraldus, je suis le chef de l’ordre du Svarog, à ma gauche tu peux voir Kyojiro et à ma droite le seigneur Daleva.
-Daleva…ça me dit quelque chose…j’ai déjà entendu ce nom là.
-Tu as sûrement croisé mon frère Sclavo à Kastély, il faisait parti de l’ordre des chevaliers divins, comme toi.
-Faisait parti…il en fait toujours parti à ma connaissance.

Même si Sclavo avait de nombreuse cicatrice et un œil en moins, la ressemblance était frappante, il fallait juste oublier les blessures de Sclavo.

-Oh non, Sopraluk a été assassiné par un de nos meilleurs espions, son voyage était une embuscade que nous lui avions tendu et avec sa mort, l’ordre a été détruit répondit Veraldus.
-C’est faux, criai-je. Je suis sur que le lieutenant Bertrand de Lorraine a réussi à pacifier la ville de Bucarest et je parie que le siège de Budapest n’est plus.
-Tu as tort, un de nos messagers avait prévenu nos soldats de l’arrivée d’une armée pour tuer nos partisans à Bucarest et nous leur avons tendu une embuscade, tout le monde a été tué. Et vos compagnons n’ont pas réussi à briser le siège de Budapest et ils se sont repliés à Kastély où ils sont assiégés en ce moment même par nos armées.
-Je ne crois pas un mot de ce que vous dîtes !
-Crois ce que tu veux, maintenant tu as 2 solutions, soit tu rejoins l’ordre du Svarog où alors, tu seras exécuté dans 10 jours proposa Veraldus.

Je répondis sans hésiter :

-Je préfère encore mourir que rejoindre des hérétiques.
-Comme tu voudras.

Veraldus appela 2 gardes, ils me prirent et ils allèrent me jeter dans les cachots. J’avais 10 jours pour trouver une solution et m’en sortir.

ha merde non en perdant a busapest impossible qu on sois direct prix en siege sinon c est a 200 contre 5000 Shocked

Vous n'avez pas perdu à Budapest et je pense que Bucarest a été pacifier ( Squall décidera de l'avenir de cette ville ) , Veraldus voulait me raconter n'importe quoi pour que je rejoigne l'ordre du Svarog. Et Sopraluk n'a jamais était assassiné.

PS: dépécher vous de venir je suis executer dans 10 jours Sad