La bataille du Col Vert .

Le soleil était couché lorsque Rodrigo fit une halte au lac non loin des murailles du château de l'ordre, après une dure journée d'entrainement , quelques heures à observé la nature , écouter les grillons chanter et regarder le reflet de la lune sur l'eau cristalline du lac était l'équivalent d'une nuit de sommeil.

Il était sale ... la poussière faisait comme une pommade sur son visage , le Castillan plongea la main dans l'eau et se frotta les joues .
Il observa alors longuement autour de lui , quelques paysans du village bordant le castel de l'ordre étaient aussi assis au bord de l'eau à lire un livre ou encore jeter des cailloux dans le lac mais rien à part les bruit habituels de la nuit ne venait interrompre le silence qui régnait à se moment là .

L'espagnol s'allongea dans l'herbe et contempla les étoiles ... si mystérieuses et en même temps si belles ,il avait sur le moment l'impression que rien au monde ne pourrait interrompre cette quiétude .

Soudainement , une voix vint interrompre son sommeil éveiller ... une voix gémissante , Il se redressa rapidement , balaya le paysage et vit une silhouette courbé à une vingtaine de mètres s'appuyant visiblement contre un arbre .

Il alla vers la silhouette ... au fur et à mesure de son avancé , Rodrigo distingua peut à peut que la personne était une femme et bientôt , la noirceur de la nuit laissa apparaitre une tache de sang sur l'épaule de l'inconnue , il se mit alors a courir

- Que c'est-il passé ? ! Allez vous bien ?

La jeune femme tomba alors au pied de l'arbre ou elle était appuyé et répondit en gémissant :

-Blessée ...Foutus voleurs...se contentent pas de voler, faut aussi qu'ils frappent...

Sans un mot , Rodrigo posa le genoux gauche à terre et n'ayant rien d'autre sous la main , il décrocha un ruban de sa ceinture et appuya sur la blessure dans le but d'arrêté le saignement . Un instant , il décrocha le regard de la plaie pour le poser sur le visage de la blessée ... Elle avait des traits de visage d'une extrême finesse ,les dents serrés derrière ses lèvres humides , sa longue chevelure blonde reflétait la lumière de la lune et ses yeux bleu à moitiés ouverts fixaient le chevalier avec fascination . Ne pouvant la regardé droit dans les yeux une seconde de plus , Rodrigo dévia son regard vers la blessure qui semblait avoir arrêté de saigné , il enroula alors le ruban autour de l'épaule amochée de la belle et le serra d'un nœud solide . Par la suite , une fois qu'il eut redevenu calme , il repris :

-Ces hommes seront punis d'une façon ou d'une autre , croyez moi .

Elle se contenta de sourire , sans détourné ses yeux de l'espagnol qui se présenta .

-Je me nomme Rodrigo de Utrera , j'aimerais vous avoir rencontré dans d'autres circonstances mais il semble que les voies du seigneur restent impénétrables .

Elle répondit avec un léger sourire paraissant quelques peux forcé .

-Je suis Welwenn , enchantée messire Rodrigo ... m'aideriez vous à me lever ?

Il s'exécuta sur le champs avec toutes la galanterie dont il pouvait faire preuve . Lorsque ceux-ci furent enfin face à face , il s'en suivit un long regard silencieux ,seul le chant des grillons animait les alentours du lac . Welwenn approcha son visage de celui du Castillan figé par le regard de la belle et l'embrassa longuement et amoureusement . Il passèrent la nuit dans la chaumière de la belle , non loin du village . Celle-ci avait eut la malchance de tombé né à né avec des brigands près du lac mais avait eu la chance de rencontré celui qu'elle aima une nuit .

Rodrigo n'y vit là qu'une conquête de plus et encore fût elle endormie qu'il partit pour le château de l'ordre après un dernier regard sur la jeune femme endormie .

[HRP : Héhé ,juste une nuit le trouble d'une vie ... juste une nuit qu'aussitôt il oubli . un peut "d'amour" dans ce monde de brute , voilà qui va renforcé l'image chevaleresque qu'a Rodrigo , pour mieu la détruire mwuahaha . Voilà ce que mon inspiration de 2h du matin m'a donnée ... En espérant que la lecture vous plaise et attendant quelques avis . La suite , ou plutôt la bataille sera pour ... je ne sais pas trop quand ]

Trop classique à mon gout,la femelle blessée,le petit bandage et une promesse en l'air et pop la

C'est voulus et puis c'est plus pour m'occuper qu'autre chose mais au niveau de la narration qu'en pense-tu ?

Tu sur doses un peu la ponctuation à certains moments je trouve,enfin c'est pas vraiment qu'il y ai trop de ponctuation,c'est les syntaxes qui sont étranges,elles sont correctes mais bizarre ^^
Fin,ca te donne un style bien à toi,c'est une bonne chose,mais essaye aussi de faire des tournures plus littéraires,ca rendra ton texte encore plus attractif,par exemple,au lieu de :
"mais rien à part les bruit habituels de la nuit ne venait interrompre le silence qui régnait à se moment là ."

Tu fais un truc du genre:

"Cependant,nul murmure ne vint briser cette brève quiétude"

Tu vois le genre ?

Mais bon,ce ne sont que des conseils qui me semblent il pourrait t'aider,tu peux très bien continuer à écrire à ta manière,c'est juste au cas ou tu voudrais profiter de mon expérience,ca n'a rien de négatif hein

non , non , je vois bien que çe n'est pas négatif mais pour moi ces tournures sont plus un automatisme qu'autre chose , quand j'écris , j'imagine la scène et je la décris sous les premiers mots qui me passent par l'esprit
Merci de tes conseils

Pas de problèmes,un plaisir de pouvoir se rendre utile;j'ai aussi parfois le coups quand j'écris trop vite et que j'ai de l'inspiration d'un coups,on met les choses comme on le pense,sans trop faire attention ^^

pour ça que nous sommes une communauté, pour nous corriger mutuellement et échanger conseils et expérience

Parfaitement

Rodrigo marchait lentement au milieu de la végétation presque luxuriante qu'offrait la seigneurie de l'Ordre , l'herbe verte se balançait sous le vent et les arbres prenaient un bain de soleil . La main sur le pommeau de son épée , il retournait au château accompagné d'un héraut venus le prévenir que Bertrand de Lorraine l'avait fait demandé .

-Pour quelle raison m'a t'ont fait demandé mon brave ?Cela faisait fort depuis notre arrivée en France que le Seigneur ne m'avait pas offert un ciel aussi proche que celui de ma terre natale et j'aurais aimé en profité .

-Je ne sais point messire , j'applique seulement les ordres . Pardonnez moi monseigneur si ma venue vous a été déplaisante .

-Ne vous tracassez donc pas , je comprends .

-Et je vous en remercie monseigneur.

Lorsque ceux-ci passèrent l'enceinte de la forteresse , le Castillan vit le lieutenant Ceri de Glamorgann qui était entrain de bavarder avec un guerrier inconnu au pied des escaliers menant à la salle de réunion des chevaliers de l'Ordre .Le gallois interrompit la conversation avec celui-ci lorsqu'il vit l'Espagnol arrivé .

-Ah ,messire Rodrigo , vous voilà ! Nous n'attendions plus que vous ! Allons-y le briefing va commencer .

Ils entrèrent dans une salle casi pleine à craquer d'hommes portant des blasons différent et présentant visiblement chacun une nationalité différente . Parmi eux , Rodrigo ne reconnus que seulement le Grand Écossais qu'il connaissait sous le nom d'Adrian , Bertrand de Lorraine et d'autres chevaliers qu'il avait put croisé à Constantinople dont une femme qui d'après son souvenir portait une grande hallebarde lors des mêlés, elle patientait, le dos droit et fière tel une amazone .Lorsque le silence fut complet , le Seigneur De Lorraine commença à énoncé l'état de la citation .

Le Lendemain , vers midi .

Il était assis sur un banc du réfectoire , encore compagnie de Ceri de Glamorgann avec qui il avait tissé quelques liens , il c'était même mit depuis peux à le tutoyé .

-[...]et donc tu n'as pas idée de qui devrais-je suivre lors de la bataille ?

-Et bien ... j'avou que non mais Adrian recherche des cavaliers paraitrait-il, adresse toi à lui ou bien au Commandant Bertrand de Lorraine .
Répondit Ceri calmement .

-Qu'il en soit ainsi . Il se leva je te souhaite bonne chance pour cette bataille , bien que je sache que tu n'a pas besoin de chance pour venir à bout de quelques brigands .

-Ne sous-estime jamais ton adversaire Rodrigo ... jamais. Répliqua le Gallois avec sagesse. Tu trouvera Adrian sur le terrain d'entrainement .

-Je tacherais de ne point l'oublier mon ami . Puis il se retira laissant une écuelle à moitié pleine .

Rodrigo trouva le Géant en compagnie de quelques guerriers et de la femme vus précédemment au briefing . Il s'approcha dans le dos du Lieutenant .

-Serriez vous le lieutenant Adrian, sire ?

L'écossais se retourna , jeta un regard presque méprisant sur le Castillan pour répondre sèchement .

-Lieutenant Gordon, le nom vient avant le prénom lorsque tu t’adresses à un supérieur, c’est bien moi, que me veux-tu ?

Rodrigo fut frappé par le manque de tact du Nordiste , ils ne se connaissaient pas mais semblaient tout deux avoir d'or et déjà porté un jugement sur l'autre .

-Je suis le sergent Rodrigo de Utrera, et l’on m’a dis que le lieutenant Adrian, car c’est ainsi qu’on vous a désigner pour m’informer, cherche des cavaliers pour se lancer à l’assaut de la racaille rebelle !

L'homme fronça des sourcils .

-Cette racaille en question pourrait bien s’avérer coriace, de quelle monture dispose-tu ?

-Je n’ai actuellement plus de cavale, mais il est logique que mon supérieur me la fournisse si je dois risquer ma vie en luttant sous ses ordres ! Répondit-il étonné du tutoiement de son interlocuteur , il se demanda alors si il devait prendre cela comme un manque de respect .
Après un large soupir le Lieutenant Gordon conclus :

-Trouve toi une monture qui te convienne dans l’écurie, et soit prêt à rejoindre mon unité à chaque instant, soldat.

Rodrigo partit alors à la découverte des écuries de l'ordre qu'il parcourut en regardant les montures des deux côté du chemin qu'il suivait , attendant d'être séduit par un destrier . Au bout de quelques minutes , il s'arrêta devant un cheval noir moyennement maigre qu'il apparenta aux pur sang espagnoles sans en être sûr . Il s'adressa au palefrenier .

-Je prends celui là !


[HRP : Beaucoup de dialogues , j'espere que vous m'en excuserez , Vos avis sont toujours bienvenus . ]

ooooh, très fier, le nobliau !

Je trouve tes dialogues assez réussis. Moi même j'ai énormément de mal, à ce sujet, donc bon...on attend la suite, voir ce que vaux ton Espagnol en pleine mêlée

As-tu lus mon récit de Sombre Retour , tu aura là un avant gout de ce que vaut Rodrigo dans la mêlée
Je ne vais pas trop accordé d'importance à cette mission pour faire avancer le personnage de Rodrigo , je vais surement attendre une mission plus compliquée

Par la suite , le Lieutenant Gordon avait fait rassemblé tout les cavaliers , un petite centaine pour leur donné les directives à suivre lors de la bataille qui approchait à grands pas .Il se tenait fièrement aux côté de sa garde d'highlanders , réclamant le silence avec autorité de sa voix grave .

-Comme vous le savez,nous serrons chargé de mener la charge sur le flanc droit de nos ennemis,ce que vous ignorez c’est la position de ses troupes ainsi que leurs compositions,ainsi que la tactique que nous allons utiliser…

Rodrigo , dès lors enjoué à l'idée qu'une bataille se profilait clama haut et fort sans bien réfléchir à ses paroles :

-Une charge puissante et pleine de bravoure, voila la tactique qui convient à de vrais chevaliers !

L'Écossais fronça les sourcils , se retourna pour voir quel était l'homme qui l'avait pas tourné six fois la langue dans sa bouche avant de parlé , lorsqu'il eut reconnus le Castillan , il lui lança une fois de plus un regard méprisant avant de poursuivre :

-Vus le temps qu’il faudra à notre armée pour se mettre en position,il serra aisé pour nos ennemis de découvrir notre plan de bataille,par conséquent,ils renforceront sûrement leurs flancs avec des unités de vougiers ou de piquiers,tandis que le centre de leurs lignes serra constitué des guerriers les plus compétents…

Il marqua une pause puis repris :

-Nous devons donc justement éviter de foncer tête baissée au milieu des lances, nous devons faire croire à nos opposants que tels seront nos intentions, mais un petit contingent d’une trentaine de cavaliers se dégagera juste un peu avant le moment de l’impact et profitera de la confusion pour contourner les troupes ennemis et les prendre à revers, l’effet de panique doit suffire à écourter le combat, sans quoi nous devrons battre en retraite.

Lorsqu'un chevalier , après avoir demandé l'autorisation intervint :

-Mais nous ne sommes que 100 pour lutter sur ce flan, 70 au moment de la charge donc,à combien d’adversaires devrions nous faire face ?

-L’armée ennemie est estimée à 600 soldats,le gros de la troupe serra au centre,sans doute 300 ou 400,donc sur les deux flans,seront répartis le reste,soit 100 ou 150 combattants sur chaque flans…

Rodrigo, comme beaucoup d'autres protesta dès lors pensant que foncer tête baissé sur des ennemis deux fois plus nombreux serait du suicide , le chevaliers répondit :

-Nous ne sommes pas suffisamment pour briser leurs défenses,sur le temps ou le deuxième groupe contournera les ennemis,ceux qui auront chargé auront étés anéantis,c’est presque lutter à deux contre un !

Mais le géant su trouvé les mots pour flatté et enjoué ses hommes :

-Nous sommes les chevaliers divins, la majorité d’entre vous à déjà survécus à bien des combats, nous avons toujours su vaincre, malgré notre infériorité numérique, et face à nous, ce ne seront que des pillards, des paysans trop ambitieux ou plus certainement, des simples voleurs de poules, chacun d’entre nous vaut cents de ces hommes ! Nous sommes des guerriers choisis par dieu, nous accomplissons son œuvre et il nous offrira la victoire sur cette racaille !!

-Fortes in fide !!! hurla Rodrigo de toute sa fougue .

Par la suite , Gordon ordonna à L'espagnol ainsi que d'autres recrue de suivre la femme à la hallebarde qu'il désigna sous le nom de Shiva lors de cette bataille .Prétextant qu'ils ne sont pas près pour une charge de front et que cette bataille serait un test . Dès lors , tous protestèrent , notamment le Castillan qui se sentit insulté par ce prétexte , comme-si il n'avait pas déjà fait ses preuves à Constantinople .Lorsqu'il comprit qu'il ne pouvait pas remédier à cette décision , il s'y plia bien que vexé .

[HRP : Casiment copié-collé du récit d'Adrian mais il fallait bien que j'inclus le briefing , je me met à la suite tout de suite . ]

On, donna alors une nuit à tout les soldats de l'ordre pour se préparé à la bataille , Rodrigo prit le temps de soigner son épée ainsi que son bouclier , non sans avoir une pensée nostalgique pour sa terre natal en lustrant le blason de Castille .On lui avait assigné une petite chambrée qu'il partageait avec un autre Espagnol , le courant passa facilement entre les deux hommes , il s'appelait Alfonso et venait apparemment également du Royaume de Castille mais était issus d'une famille bien moins aisé que celle de Rodrigo .Bien qu'il n'était pas noble , c'était un vétéran âgé d'une quarantaine d'année ,il portait une côte maille en dessous d'un tabard portant les couleurs de l'Ordre .

-[...]Aurons-nous donc l'occasion de combattre côte à côte demain ?Demanda Rodrigo anxieux .

-Je crains que non , venant tout juste d'arrivé , le Commandant Bertrand de Lorraine à préféré me laissé de côté pour cette bataille pensant que je devrais me reposé après un tel voyage .

Bien qu'il prétendait le contraire , ses yeux bleu ainsi que les traits de son visage exprimait sa fatigue dès le premier coup d'œil . Ce qui ne manqua pas d'esquisser un sourire à Rodrigo .

-Et bien profite-en pour t'entrainer et prendre connaissance des lieux , je pense que tu n'aura pas à attendre le combat très longtemps .

Il répliqua sagement :

-Dieu seul le sait ...

Le lendemain , peux après le crépuscule .

Le Castillan se tenait fièrement sur sa monture , s'étant munis d'un heaume spécialement pour l'occasion , il était en compagnie de vingt cavaliers visiblement peux aguerries et faiblement équipés mais malgré tout semblant déterminé à éliminé la menace rebelle . Ils étaient dirigés par l'amazone , Shiva placé devant eux et derrière la première ligne composé d'environs 70 hommes et commandée par Adrian Gordon , le titan écossais .Rodrigo admira alors un déluge de feux provenant des mangonneaux alliés s'abattre sur l'ennemi , les projectiles mirent le feu à certaines parties du fort et les hurlements de ceux qui furent brûlés vifs se faisaient entendre jusque dans les rangs de l'Ordre .Bientôt , ces terrifiantes armes de siège cessèrent de tiré .

A leur droite , on ordonna au gros de l'infanterie de l'ordre de commencer à marché vers la colline ou se dressait de fort ennemis ." Que la Bataille commence " Pensa le Castillan impatient d'en découdre .Tous purent bientôt admirés la désorganisation des brigands qui , à peine l'infanterie eut elle commencé à gravir la pente , chargèrent , ignorant les ordres de leur chef , fonçant sur les soldats de l'Ordre qui reculèrent jusqu'à terrain plat pour se mettre en position défensive .
Sans plus attendre , Shiva se retourna et ordonna à ses hommes de la suivre , comme ordonné par le lieutenant Gordon , Rodrigo suivit la guerrière qui avait pour consigne de prendre l'ennemi par le flanc lorsque le gros de la cavalerie aura entamé le bain de sang . Il talonnait sa monture pour se faire à l'allure fulgurante qu'imposait Shiva à sa troupe , il baissa la visière de son heaume puis tourna la tête vers la gauche pour observé le géant mené ses hommes à la charge des brigands qui avaient déjà engagés les fantassins .Quelques minutes à peine s'écoulèrent avant que l'amazone change de direction , ils fonçaient désormais sur le flan de l'ennemi bien plus nombreux mais tombant déja par dizaine sous les coups de l'Ecossais et de ses guerriers .

Le Castillan dégaina son épée et serra son bouclier contre ses côtes , suivant Shiva de près . A vive allure , le petit groupe vint s'invité dans la mêlée en s'introduisant par une charge dévastatrice qui désappointa les rebelles occupé à combattre . Rodrigo balaya les rangs ennemi , tranchant ses opposants visiblement sans armure .

Il se penchait de chaque côtés de sa monture sans perdre l'équilibre pour porté des coups circulaires au niveau du cou de ses adversaires qui s'écroulaient chacun leur tour , pour les uns morts sur le coup et pour les autre dans un cri strident de douleur .Entre deux coups d'épée , l'Espagnol porta un regard vers Adrian qui à chaque frappe tuait au moins deux hommes ayant eu la malchance de se trouvés sur son chemin .Distrait par son admiration des talents de l'Ecossais , il s'y prit juste à temps pour paré un coup de hache avec son bouclier avant de , tel un éclaire faire fondre sa lame sur le fou ayant cru pouvoir tué le noble espagnol .Gardant pour une fois son sang froid , Rodrigo fut indigné lorsque Gordon donna l'ordre de ne pas faire de quartiers.Il hurlait qu'on laisse les fuyard se retirés , sans que l'on ne lui obéisse , dès lors , il descendit de son cheval et planta son épée à terre , se refusant à achevé les blessés et poursuivre les survivants .

Bientôt, Bertrand de Lorraine se présenta pour félicité ses hommes :

-Chevaliers,vous avez combattu comme il le sied à de vrais braves,tels des lions,tout en restant néanmoins disciplinés et prudents,vous avez remportez une victoire bien mérité et ce soir nous festoierons pour fêter cette glorieuse bataille !!

Le Castillan se refusa a applaudir ,toujours indigné par l'attitude impitoyable de son supérieur Ecossais.
De Lorraine conclus en désignant le fort de la pointe de son épée :

-Il reste néanmoins un obstacle sur notre route,et nous allons le briser…

[HRP : Pas très inspiré aujourd'hui , Des avis sont plus que bienvenus ]

C'est simpa, mais le truc qui me derange le plus, c'est le coup de l'italique quand c'est de la narration et du gras pour les textes...

J'aurais un poil plus décrit le passage avec les mangonneaux, vu qu'apperement c'est vraiment très joli^^ et la bataille. MAis pares, faut aps forcer l'inspiration. Ca donne du mauvais resultat^^

Ben,tu retranscris vraiment bien ce qu'il s'est passé,à tel point que ca fait un peu copier/coller tout le long,heureusement que tu inclus de petits trucs que je n'ai pas cité,mais bon,tu auras plus de liberté pour la suite,donc je te fais confiance

C'est vrai que ça m'a assez frustré mais faut bien être réaliste Jme un peut à la suite de suite et je finis demain .

en même temps, lui avez pas donné trop de liberté...
moi j'aime bien, c'est réaliste et bien écrit

Je ne saurais mieux dire mon bon Delphinou.

Rodrigo était assis dans l'herbe la tête baissé et la main agrippant toujours fermement son épée , ignorant les cris de douleur des blessés autour de lui et ignorant la puanteur de la mort qui se faisait de plus en plus nauséabonde . Il reprenait son souffle avant que l'assaut sur la forteresse de bois soit donné . Tous savaient que les brigands tremblaient de peur caché derrière leur mur en proies au flammes , ceux-ci sentaient probablement leur fin arrivé ... peut être Adrian Gordon avait-il participé à forger cette frayeur dans le cœur de rebelles .
Lorsque soudain , on entendit hurler le lieutenant ecossais :

-Les nouvelles recrues,une dizaine pour faire avancer le bélier,les vétérans,je veux un mur de bouclier compact,exécuteurs,placés vous derrière les porteurs et tenez vous prêt à charger dés que les portes s’ouvriront !!

L'espagnol se leva alors avec quelques difficultés puis ce plaça aux côtés de quelques hommes aguerrit formant d'or et déjà un mur de bouclier à l'image des anciennes phalanges grecs .La centaine d'homme, tous désormais au stade de fantassin commença à gravir la colline sans avoir le déplaisir de recevoir quelconque projectile . En effet , les ennemis de l'ordre ne semblaient pas possédé d'arc , tous étaient armée d'armes paysanne tel que des fourches , haches et autres . Mais aucun n'arborait une arme noble tel que l'arc ou l'épée .

Tandis que le bélier se plaçait devant les portes de la partie gauche de la forteresse , Rodrigo baissait son bouclier pour se préparé à charger les brigands qui semblaient s'être rassemblés à l'enceinte . Les soldats de l'Ordre purent presque entendre leur dents claqués , sentaient-il l'emprise de Satan peut à peut les étreindre ? ou simplement était-il effrayés à l'idée d'affronter le démon écossais ainsi que ses hommes ? La porte ne tarda pas à cédé , tous s'engouffrèrent alors dans la faille brandissant leur arme , hurlant des jurons où des devises . Le castillan frappa un homme sur le haut du crane avant de voir celui-ci s'écroule plus probablement assommé que mort , il enfonçait hardiment les position ennemis à grand coup d'épée , coupant bras et tête pour se frayer un chemin en compagnie de ses compagnons . Lorsque que beaucoup furent mort , la mêlé se fit alors moins épaule à épaule , Rodrigo exécutait de grands cou circulaire entaillant souvent fatalement ses adversaires visiblement peux protégé .Il para un coup de hache de son bouclier pour éventra son agresseur en serrant les dents pour s'empêche d'hurler un juron à gorge déployé .

Bientôt , les chevaliers divins virent leur opposant tenter de fuit dans la forteresse en proie au flamme par endroits . Les mangonneaux avaient largement remplit leur part du travail .Adrian Gordon ne perdit pas une seconde pour donner ses instructions aux hommes restants :

-Que les recrues gardent les prisonniers, les autres, fouillez tout le fort pour vous assurer qu’aucun bandit ne se cache, exécuteurs, suivez moi

Rodrigo vit le Lieutenant partir vers la partie centrale de la forteresse , ainsi s'exécuta t-il et pris les escaliers de bois pour atteindre le niveau supérieur aux côtés de quelques hommes d'arme , trois brigands les attendaient , brandissant avec folie leur arme précaires . Le castillan en frappa alors un avec fulgurance à la jambe puis lui coupa sa main armée en se protégeant des deux autre avec son bouclier .Les deux autre qui ne tardèrent pas à être neutralisés .Certains étaient alors déjà mort brûlés vif ou d'autre se rendaient en conjurant les chevaliers divins de les épargnés , ils ne trouvèrent rien d'encore vivant dans les étages qui n'étaient pas encore en feu .

En se retirant de la forteresse qui commençait à se faire trop irrespirable , le Castillan surprit quelques hommes à pillé les cadavres ou encore achevé des blessé , acte qu'il empêcha autant qu'il put , sermonnant les fautif mais passant plus pour un fou qu'un bienfaiteur , lorsque celui-ci apprit que le Lieutenant Gordon en avait donné l'ordre avant de partir à la chasse au fuyards , il se retira du champ de bataille , épuisé , maudissant la cruauté de son supérieur .

[HRP : Pas très inspiré pour cette fin ]

Tant qu'a,pour faire plus long,tu aurais pu développer plus la partie psychologique ou tes principes sont opposés à ceux de ton supérieur mais soit !
Tout le monde à finis sa mission

C'est vrai , ça aurait été interessant à développer
Y aura t-il une critique ?

Faut voir avec sopla

Là je sens bien la période ou l'ordre va se rendormir --'

les Chevaliers ont une vie ^^
et d'autres ont perdu leur dada, sans lequel ils ne peuvent pas aller au front....( je parle de problemes d'internet )

Alors ,

(j'enchain les lectures de missions depui 30min)

Je ne reviendrai pas sur les petites critiques (et tes auto-critiques), mais plutôt apporté deux nouvelles "critiques" (dans un sens neutre) à ton récit.

Un (gros) bon point et un (mini) mauvais (qui dans un sens est un bon):

->

Je trouve franchement que, et d'autant plus si on compare avec tes récits des "Premiers Âges" de l'Ordre, tu fais de réel progrès, tant dans la narration (agencement des idées, fils conducteur, etc) que dans le descriptif (persos, "scènes", etc).

->

Parallèlement, on gagne en qualité mais on perd en quantité. Non pas que la nos textes devrais tous faire 30 pages word (et qui plus est, je préfère 4 pages très bonne à 40 feuilles de choux), mais...oui, franchement, on sent que t'en garde sous le pied ! Je pense vraiment que t'as de la marge.

Roh, et puis à la fin j'étais dedans..et d'un coup je me retrouve au point final! Argh! c'était délicieusement frustrant.