Les Guerres de l'Ordre

c'est le genre de subtilités étrangères à Chaos...

Les grecs connaissent bien mieux les subtilités pour détourner les choses et prendre les gens en traitre

exactement, c'est CA, la classe

Non,non la sodomie ce n'est pas la classe

La bataille du Vallon aux Vergers


Messieurs, les Champs Dorés n’étaient qu’un aperçu de ce que la guerre contre Toulouse sera durant les prochains mois. Si vous avez combattu avec tant d’acharnement ces derniers jours, c’était en prévision de cette bataille que nous nous apprêtons à livrer.

Une ligne de front assez stable a été tracée à coup d’épées et de lances, jalonnée des corps de nos camarades, ayant donné leurs vies afin de refuser à ces porcs de toulousains l’accès jusqu’à l’intérieur de nos terres. Mais, un front n’a pas pour vocation de perdurer dans une guerre, non, pas dans un conflit auquel je prends part. Ce front, nous allons l’enfoncer de toutes nos forces, nous allons balayer les lignes ennemies, les disperser aux quatre vents et marcher droit sur Toulouse afin de mettre fin aux ambitions de notre ennemi !
Ce combat décisif, il aura lieu à cet endroit : le Vallon aux Vergers. Cette petite vallée creusée dans les collines par un fleuve est le lieu où se décidera le déroulement de cette guerre. Allons nous subir les assauts inlassables de l’ennemi jusqu’aux portes de Castelfort ? Ou bien passerons nous à l’offensive et irons nous frapper Raymond de Toulouse en plein cœur, à sa capitale ? Mes amis, je vous le dis de suite : je n’accepterais pas de devoir flancher face à notre adversaire, je l’affronterais à vos côtés sur le champ de bataille et serais le premier à partir au combat. Pourquoi me demanderez-vous ? Parce que vous m’avez choisit pour être le Maître de l’Ordre, parce que vous m’avez demandé de vous guider, d’être votre général, votre voix, votre protecteur ! Je serais le premier à pourfendre un toulousain lors de cette bataille, je mènerais la première charge, et si Dieu le veux, je mènerais la dernière.
Le Vallon aux Vergers est actuellement en train d’être occupé par l’ennemi, nous l’attaquerons avant qu’il y ait installé des lignes de défenses trop importantes. Ce lieu a été pendant des années la propriété des paysans qui y faisaient pousser de nombreux pommiers et des vignes, d’où son nom. Lors de cette bataille, nous devrons prendre d’assaut plusieurs lieux clés avant de pouvoir nous permettre de charger le camp adverse, situé à l’extrémité nord ouest du vallon.

Tout d’abord, il sera nécessaire de prendre le contrôle d’un petit hameau à l’extrémité sud du vallon, cette demi-douzaine d’habitations a été désertée par leurs précédents locataires et je suis sûr que l’ennemi ne tardera pas à se les approprier. Je dirigerais personnellement cet assaut donc, à la tête de cinquante de mes gardes et d’autant de soldats montés à cheval. Ces lieus ont été les derniers à être investis par les toulousains, je doute donc qu’ils auront eu le temps d’y ériger leurs défenses efficacement.

Parallèlement à cette attaque, j’enverrais une troupe sécuriser le seul pont enjambant le fleuve traversant le vallon, situé à seulement un kilomètre au nord du hameau sur lequel je mènerais mon raid. Ce pont est l’une de nos cibles les plus importantes, celui qui le contrôle aura l’ascendant sur l’autre camp. Il est surplombé par un moulin situé sur la rive opposée à nous, inutile de préciser qu’il faudra également s’en emparer.
J’insiste sur le fait que ces deux premières attaques devront avoir lieu simultanément, ainsi, si l’ennemi est attaqué au pont, il sera dans l’incapacité d’envoyer des renforts à ses troupes situées sur notre versant du fleuve et nous aurons l’avantage. Une fois le hameau conquis, je guiderais mes troupes jusqu’au pont en renfort afin de prendre pied sur l’autre berge et préparer le terrain au gros de nos forces.

Une fois le pont sous contrôle et sa rive méridionale conquise, nous lancerons notre armée contre le reste de l’armée toulousaine qui marchera sans aucun doute sur nous lorsque leurs généraux auront réalisé que nous sommes en train de prendre l’ascendant sur cette bataille.
Nul doute qu’il s’agira d’une bataille rangée où nous devrons combattre la redoutable infanterie et cavalerie lourde ennemie. Inutile de le cacher, Toulouse possède dans ses rangs de nombreux hommes de valeurs, très bien armés en entrainés, ils sous tout aussi forts que nous, endurcies par des années de conflits face à l’Aquitaine, aux Anglais et à Aragon. Ils sont adeptes des charges dévastatrices, tout comme nous. Cependant, l’Ordre a apprit de ses erreurs passées, en Hongrie et à Constantinople, nous avons affronté des hommes rapides, légers, frappant là où l’on ne s’y attend pas, là où après un coup d’une force suffisante, on ne s’en relève pas. Autrefois, nous étions incapables de combattre de tels hommes, aujourd’hui nous le pouvons, et nous pouvons également les imiter, grâce à des soldats tels que ceux de la compagnie du vent du capitaine Athanasios de Rhodes, ou les Pisteurs du capitaine Harold Harper.

Lors de la bataille, nous lancerons au centre notre infanterie lourde contre celle de l’ennemi, ainsi que notre aile gauche où je placerais nos meilleurs éléments d’infanterie afin de tenter de bousculer une partie des lignes ennemies. Je compte sur nos archers et nos tirailleurs pour appuyer nos piétons, les régiments de pisteurs suivront de près notre infanterie d’élite sur la gauche afin de harceler l’ennemi à distance sur son flanc tandis qu’il sera en prise avec nos hommes.
Pendant ce temps sur notre aile droite, notre cavalerie lourde tentera de contourner la masse et de charger le flanc gauche de l’ennemi. Mais, je compte bien sur Toulouse pour intercepter cette charge avec sa propre cavalerie lourde. Sachez que je mènerais moi-même la charge à la tête de notre cavalerie lourde, car je compte battre en retraite une fois que nous aurons engagé le combat contre l’ennemi, mon emblème et mon panache devrait les attirer comme des mouches autour d’une charogne en un éclair. Ainsi, je compte dépouiller l’aile gauche ennemie de sa cavalerie afin de laisser le champ libre à notre cavalerie légère, restée en retrait jusque là, afin que celle-ci puisse contourner les combats et prendre l’ennemi à revers.
Lorsqu’ils se seront aperçu de la supercherie et abandonneront la poursuite, je reviendrais à la tête de mes cavaliers afin de soutenir nos troupes.

Si tout se passe bien, notre infanterie au centre ne devrait pas subir de pertes trop importantes, grâce à nos soldats d’élite sur la gauche, menés par le commandant De Lorraine, qui devront faire reculer le flanc droit adverse, appuyés par les pisteurs, leurs archers et javeliniers devraient faire un carnage dans les rangs ennemis. Et ainsi, tandis que j’occuperais le gros de la cavalerie ennemie, notre cavalerie légère, menée par le capitaine Athanasios de Rhodes, avec quelques éléments de cavalerie lourde tout de même, devrait prendre à revers l’armée ennemie et balayer son moral, j’espère alors qu’une poussée générale ferait céder les rangs ennemis et les mettrait en déroute.
La bataille sera rude, je le sais, mais je compte sur chacun d’entre vous, les officiers en particulier, pour combattre avec courage, cette bataille sera un véritable duel de volonté, celui dont la détermination sera la plus grande triomphera, j’espère que vous saurez galvaniser le moral de nos hommes, même au cœur de la mêlée.

Si nous sommes vainqueurs, il ne nous restera alors plus qu’à pourchasser l’ennemi et balayer son campement au nord du vallon. Si nous l’emportons, nous pourrons alors mener une grande offensive avant que l’hiver ne s’abatte trop durement sur nos terres. Et peut-être aurons-nous le privilège de diner au printemps dans la grande salle du château à Toulouse.
Messieurs, je vous souhaite bonne chance, que Dieu et saint Christophe soit avec nous. Pour l’Ordre, Fortess in fide.

La bataille du Vallon aux Vergers

Messieurs, les Champs Dorés n’étaient qu’un aperçu de ce que la guerre contre Toulouse sera durant les prochains mois. Si vous avez combattu avec tant d’acharnement ces derniers jours, c’était en prévision de cette bataille que nous nous apprêtons à livrer.

Une ligne de front assez stable a été tracée à coup d’épées et de lances, jalonnée des corps de nos camarades ayant donné leur vie afin de refuser à ces porcs de toulousains l’accès jusqu’à l’intérieur de nos terres. Mais, un front n’a pas pour vocation de perdurer dans une guerre, non, pas dans un conflit auquel je prends part. Ce front, nous allons l’enfoncer de toutes nos forces, nous allons balayer les lignes ennemies, les disperser aux quatre vents et marcher droit sur Toulouse afin de mettre fin aux ambitions de notre ennemi !
Ce combat décisif, il aura lieu à cet endroit : le Vallon aux Vergers. Cette petite vallée creusée dans les collines par un fleuve est le lieu où se décidera le déroulement de cette guerre. Allons-nous subir les assauts inlassables de l’ennemi jusqu’aux portes de Castelfort ? Ou bien passerons-nous à l’offensive et irons-nous frapper Raymond de Toulouse en plein cœur, à sa capitale ? Mes amis, je vous le dis de suite : je n’accepterai pas de devoir flancher face à notre adversaire, je l’affronterai à vos côtés sur le champ de bataille et serai le premier à partir au combat. Pourquoi me demanderez-vous ? Parce que vous m’avez choisi pour être le Maître de l’Ordre, parce que vous m’avez demandé de vous guider, d’être votre général, votre voix, votre protecteur ! Je serai le premier à pourfendre un toulousain lors de cette bataille, je mènerai la première charge, et si Dieu le veux, je mènerai la dernière.
Le Vallon aux Vergers est actuellement en train d’être occupé par l’ennemi, nous l’attaquerons avant qu’il y ait installé des lignes de défenses trop importantes. Ce lieu a été pendant des années la propriété des paysans qui y faisaient pousser de nombreux pommiers et des vignes, d’où son nom. Lors de cette bataille, nous devrons prendre d’assaut plusieurs lieux clés avant de pouvoir nous permettre de charger le camp adverse, situé à l’extrémité nord-ouest du vallon.

Tout d’abord, il sera nécessaire de prendre le contrôle d’un petit hameau à l’extrémité sud du vallon. Cette demi-douzaine d’habitations a été désertée par leurs précédents locataires et je suis sûr que l’ennemi ne tardera pas à se les approprier. Je dirigerai personnellement cet assaut donc, à la tête de cinquante de mes gardes et d’autant de soldats montés à cheval. Ces lieux ont été les derniers à être investis par les toulousains, je doute donc qu’ils auront eu le temps d’y ériger leurs défenses efficacement.

Parallèlement à cette attaque, j’enverrai une troupe sécuriser le seul pont enjambant le fleuve traversant le vallon, situé à seulement un kilomètre au nord du hameau sur lequel je mènerai mon raid. Ce pont est l’une de nos cibles les plus importantes, celui qui le contrôle aura l’ascendant sur l’autre camp. Il est surplombé par un moulin situé sur la rive opposée à nous, inutile de préciser qu’il faudra également s’en emparer.
J’insiste sur le fait que ces deux premières attaques devront avoir lieu simultanément. Ainsi, si l’ennemi est attaqué au pont, il sera dans l’incapacité d’envoyer des renforts à ses troupes situées sur notre versant du fleuve et nous aurons l’avantage. Une fois le hameau conquis, je guiderai mes troupes jusqu’au pont en renfort afin de prendre pied sur l’autre berge et de préparer le terrain au gros de nos forces.

Une fois le pont sous contrôle et sa rive méridionale conquise, nous lancerons notre armée contre le reste de l’armée toulousaine qui marchera sans aucun doute sur nous lorsque leurs généraux auront réalisé que nous sommes en train de prendre l’ascendant sur cette bataille.
Nul doute qu’il s’agira d’une bataille rangée où nous devrons combattre la redoutable infanterie et cavalerie lourde ennemie. Inutile de le cacher, Toulouse possède dans ses rangs de nombreux hommes de valeurs, très bien armés en entrainés. Ils sont tous aussi forts que nous, endurcis par des années de conflits face à l’Aquitaine, aux Anglais et aux aragonais. Ils sont adeptes des charges dévastatrices, tout comme nous. Cependant, l’Ordre a appris de ses erreurs passées, en Hongrie et à Constantinople. Nous avons affronté des hommes rapides, légers, frappant là où l’on ne s’y attend pas, là où après un coup d’une force suffisante, on ne s’en relève pas. Autrefois, nous étions incapables de combattre de tels hommes, aujourd’hui nous le pouvons, et nous pouvons également les imiter grâce à des soldats tels que ceux de la Compagnie du Vent du Capitaine Athanasios de Rhodes, ou des Pisteurs du Capitaine Harold Harper.

Lors de la bataille, nous lancerons au centre notre infanterie lourde contre celle de l’ennemi, ainsi que notre aile gauche où je placerais nos meilleurs éléments d’infanterie afin de tenter de bousculer une partie des lignes ennemies. Je compte sur nos archers et nos tirailleurs pour appuyer nos piétons, les régiments de pisteurs suivront de près notre infanterie d’élite sur la gauche afin de harceler l’ennemi à distance sur son flanc tandis qu’il sera en prise avec nos hommes.
Pendant ce temps sur notre aile droite, notre cavalerie lourde tentera de contourner la masse et de charger le flanc gauche de l’ennemi. Mais, je compte bien sur Toulouse pour intercepter cette charge avec sa propre cavalerie lourde. Sachez que je mènerai moi-même la charge à la tête de notre cavalerie lourde, car je compte battre en retraite une fois que nous aurons engagé le combat contre l’ennemi. Mon emblème et mon panache devrait les attirer comme des mouches autour d’une charogne en un éclair. Ainsi, je compte dépouiller l’aile gauche ennemie de sa cavalerie afin de laisser le champ libre à notre cavalerie légère, restée en retrait jusque là, afin que celle-ci puisse contourner les combats et prendre l’ennemi à revers.
Lorsqu’ils se seront aperçus de la supercherie et abandonneront la poursuite, je reviendrai à la tête de mes cavaliers afin de soutenir nos troupes.

Si tout se passe bien, notre infanterie au centre ne devrait pas subir de pertes trop importantes, grâce à nos soldats d’élite sur la gauche, menés par le commandant De Lorraine, qui devront faire reculer le flanc droit adverse, appuyés par les Pisteurs, leurs archers et javeliniers devraient faire un carnage dans les rangs ennemis. Et ainsi, tandis que j’occuperais le gros de la cavalerie ennemie, notre cavalerie légère, menée par le Capitaine Athanasios de Rhodes, avec quelques éléments de cavalerie lourde tout de même, devrait prendre à revers l’armée ennemie et balayer son moral. J’espère alors qu’une poussée générale fera céder les rangs ennemis et les mettra en déroute.
La bataille sera rude, je le sais, mais je compte sur chacun d’entre vous, les officiers en particulier, pour combattre avec courage. Cette bataille sera un véritable duel de volonté, celui dont la détermination sera la plus grande triomphera. J’espère que vous saurez galvaniser le moral de nos hommes, même au cœur de la mêlée.

Si nous sommes vainqueurs, il ne nous restera alors plus qu’à pourchasser l’ennemi et balayer son campement au nord du vallon. Si nous l’emportons, nous pourrons alors mener une grande offensive avant que l’hiver ne s’abatte trop durement sur nos terres. Et peut-être aurons-nous le privilège de dîner au printemps dans la grande salle du château à Toulouse !
Messieurs, je vous souhaite bonne chance, que Dieu et Saint Christophe soient avec nous. Pour l’Ordre, Fortes in Fide.








Mission d’Adrian Gordon : La Prise de Fort Guède

Depuis le début de ce conflit, Fort Guède, une forteresse située sur notre frontière nord avec Toulouse, est assiégée par l’ennemi. Après de nombreux affrontement, la plupart des chevaliers occupant le fort ont été tué où capturé, ne restent à présent sur place que les écuyers des précédents maîtres du fort.
Votre mission sera de briser le siège de Fort Guède, de repousser l’envahisseur et de vous établir sur place. Vous connaissez les détails de votre mission, je sais que vous accomplirez votre devoir avec panache comme toujours.

Prenez la tête de Fort Guède, formez de nouvelles troupes, et soyez prêt à combattre Toulouse à n’importe quel moment. La suite ne dépendra plus que de vous.
Prenez votre envol Capitaine, et vous serez très bientôt la pointe de l’épée de l’Ordre.

Objectifs :

Briser le siège autour de Fort Guède
Repousser l’assaillant jusqu’à la frontière
Renforcer votre position
Si possible, lancer une attaque contre une position ennemie de votre choix


Mission d’Athanasios de Rhodes : Bataille du vallon aux vergers

Capitaine, vous avez récemment reçu votre promotion, j’espère que vous en serez digne. Au court des prochains jours, le Vallon aux Vergers va se transformer en véritable champ de bataille. Les combats seront continus et j’aurai besoin d’hommes tels que vous et ceux de votre Compagnie du Vent.
Avant la grande bataille qui nous opposera à l’armée Toulousaine, je souhaite que vous meniez un raid préventif contre un avant-poste ennemi aux alentours du pont du vallon où auront lieu certains combats.

Les toulousains ont érigé au milieu des vergers une tour de garde afin de guetter notre arrivée. Au pied de celle-ci, l’ennemi a également planté un petit campement qui pourrait très vite se transformer en un gros souci s'ils décident de fortifier l’emplacement. Pour l’instant, les toulousains n’y sont qu’une cinquantaine, ne disposant que de peu de fortifications et de quelques chevaux. Lancez votre attaque au plus vite avec vos cavaliers, infligez leur un maximum de dégâts et retirez-vous afin de laisser le commandant De Lorraine finir le travail avec son infanterie.

Ensuite, vous savez ce que vous avez à faire : accompagnez le gros de notre armée jusqu’à ce que la bataille éclate. Suivez de près ma cavalerie lourde lorsque je chargerai celle adversaire, contournez les combats et fondez sur les arrières de l’ennemi. Dès que possible, je vous rejoindrai, et tous ensemble, nous lancerons une dernière charge afin d’achever l’ennemi.
L’Ordre triomphera une fois encore, et je vous promets que vous serez présents à mes côtés lorsque le jour viendra de festoyer à Toulouse.

Objectifs :

Mener un raid contre un avant poste toulousain au sud du Vallon aux Vergers
Participer à la bataille du Vallon aux Vergers :
- Suivre la cavalerie lourde dans sa charge
- Contourner les combats
- Prendre l’ennemi à revers sur son flanc gauche


Mission du Lieutenant Karl Skapty :

Vous avez fait du bon travail aux Gorges du Voleur, et vous méritez largement votre dernière promotion. A présent, j’attends que vous vous montriez à la hauteur de votre nouveau rang.

Dans la bataille à venir, vous ferez parti de l’unité chargée de prendre le pont du Vallon aux Vergers. Ce combat aura lieu en même temps que ma charge sur le hameau non loin de là, vous devrez agir vite et avec force. Guidez vos hommes, sous les ordres du Capitaine Von Kassel, et attaquez les toulousains gardant le pont et le moulin érigé à son extrémité.
Repoussez les éventuels renforts ennemis qui suivront et attendez mon arrivée.
Une fois le pont capturé, nous établirons notre campement non loin de là et attendrons que l’ennemi se décide à marcher vers nous. Là, nous rassemblerons les hommes et nous irons au combat. Vous serez toujours sous les ordres du Capitaine Von Kassel, menant sous vos ordres une vingtaine d’hommes. Vous serez posté parmi notre infanterie d’élite, équipez donc bien vos hommes en conséquence. Les combats les plus rudes auront lieu de votre côté. Suivez les ordres du commandant De Lorraine et du Capitaine Von Kassel, faîtes votre possible pour bousculer les rangs ennemis et attendez que la charge de notre cavalerie légère vienne faire fondre le moral des toulousains.
Bonne chance, et que Saint Christophe vous sourie.

Objectifs :

Prendre le pont et le moulin du Vallon aux Vergers
Participer à la bataille du Vallon aux Vergers :
- Rejoindre les rangs de l’infanterie d’élite
- Combattez et enfoncez les lignes ennemies
Prenez sous vos ordres le soldat Karl d’Evillard

Pas d’excuse Nano tu fais ta mission, quelques pages Word s’il le faut, peu m’importe la qualité et la quantité mais essaye de faire quelque chose en collaboration avec Gahaldas.

Damned ! Mais c'est que le Squallou s'imprègne de son rôle de tyran tyrannique !

Et bien soit, je suis sous tes ordres Nano !

Ah, et heureux de voir que je suis compter comme de "l'infanterie lourde" !

Gahaldas a écrit:

Ah, et heureux de voir que je suis compter comme de "l'infanterie lourde" !

On s'est tous très vite rendu compte que ton Karl était plutôt du genre lourd.

Ah bon ? Etonant ça !

voila qui va l'endurcir, le Karlounet ! rien de mieux qu'une bonne bataille rangée

Delpherion a écrit:

voila qui va l'endurcir, le Karlounet ! rien de mieux qu'une bonne bataille rangée

Faut dire ça va endurcir tout le monde, ça faisait longtemps.

pas faux....
ça pourrait faire revenir Peter, lui qui en rêvait ?

Moi je vais me faire plaisir en tout cas !

Squall, c'ets notre idée de faire une unité de soldat plus lourd dans la Compagnie du Vent que t'aime pas et qui fait que tu Separe Athan et Karl ?

Gahaldas a écrit:

Moi je vais me faire plaisir en tout cas !

Squall, c'ets notre idée de faire une unité de soldat plus lourd dans la Compagnie du Vent que t'aime pas et qui fait que tu Separe Athan et Karl ?

Non pas particulièrement, je pensais plutot que tu préfererais participer avec quelqu'un d'autre cette fois ci. Mais si tu y tiens tu peux combattre aux côtés d'Athan, pas de problème.

Non, c'est bon ^^ Mais après, on crée notre Compagnie de la Tempête ! :p

Gahaldas a écrit:

Non, c'est bon ^^ Mais après, on crée notre Compagnie de la Tempête ! :p

Non non tu as vu juste, je n'y avais tout simplement pas pensé hier soir mais il serait plus logique que tu collabores à nouveau avec Delph' sur ce coup là.

Je boirais des choppes dans ma cave tandis que vous guerroierez

Citation :

Non non tu as vu juste, je n'y avais tout simplement pas pensé hier soir mais il serait plus logique que tu collabores à nouveau avec Delph' sur ce coup là.

Donc je repars avec Delph ?

Gahaldas a écrit:

Citation :

Non non tu as vu juste, je n'y avais tout simplement pas pensé hier soir mais il serait plus logique que tu collabores à nouveau avec Delph' sur ce coup là.

Donc je repars avec Delph ?

Si tu le souhaites tu peux rejoindre Delph' en effet.

On le surnomme le pigeon voyageur,il est gris,il est gros,il est rond,il se prénomme en fait ...Gahaldas

Sinon j'avais pensé à une chose pour expliquer le fait que les deux Karl soient ensemble, mais bon, c'est comme vous voulez

Suite à quelques questions de nano par MP, dont je salue l'initiative, tant il y avait de choses que j'avais oublié de préciser, je post ici quelques renseignements sur le déroulement des événements à venir.


- Pour la date de la Bataille du Vallon aux Vergers, je pensais le 10 ou le 11, disons plutôt le 11.

- J'en ai fini avec Bertrand (donc nano, dont son Karl est sous ses ordres est libre de faire ce qu'il veux) pour l'instant, je vais me concentrer sur Rénald sur cette bataille, montrer qu'il n'ait pas juste un gros tyran mais aussi un guerrier et un tacticien

- Je pensais également que la bataille se déroulerait sur deux ou trois jours (nano pensait que si tout se passait en un seul jour ça le ferait pas trop), avec à la fin seulement la bataille rangée, et entre temps quelques contre-attaques ennemies en effet

- Von Kassel (qui a sous ses ordres Skapty) a bien un lien avec le perso de Tandem, mais comme il n'est plus, je me suis dit qu'autant s'en servir de temps en temps, ça m'évite de devoir chercher des noms à foison.

- Rénald surveille effectivement Skapty, mais aussi tous les autre officiers approchant de près ou de loin Bertrand, désolé mais (ton) Karlounet (Skapty) risque d'être très vite fiché dans les ennemis à abattre s'il se montre trop proche de notre cher commandant

- Si tu t'en sens l'envie, tu (nano) peux incorporer Warren Darhio à l'unité de Bertrand.

- Quel est le sens de la vie de Warren ? Être une source de remors pour Karl qui a tout de même tué son frère, mais aussi de sauver l'Ordre lorsque celui-ci sera au bord du gouffre...

- Quant aux Ombres, je traiterais leur cas lors de la mission de Livio, pour l'instant, je dirais seulement qu'ils ne servent plus les intérêts de l'Ordre et que leur activité récente n'est là que pour nous nuire...

Citation :

On le surnomme le pigeon voyageur,il est gris,il est gros,il est rond,il se prénomme en fait ...Gahaldas MrGreen

Non, je ne suis pas gros ! Seulement enveloppé !