Sombre Retour

15 Février 1153 , au crépuscule

Rodrigo arrivait en vue des murailles de Constantinople dans un état de grande fatigue due au nombre restreint de halte durant son voyage , il porta un regard sur sa monture aussi épuisé qu'assoiffe et décida d'y descendre pour ne pas lui en faire subir d'avantage , la bête s'était déjà plus que surpassée . Avançant lentement en tenant Alioth par la bride , l'Espagnol put bientôt entendre le vacarme d'un grand chahut provenant des portes de la ville . En effet , il assista bientôt a un spectacle terrible , une foule de paysans était entassé aux portes de Constantinople , on entendait des pleurs des enfants et même ceux des femmes , certains hommes était gravement blessés , d'autre avaient même perdus un de leurs membre . Rodrigo s'arrêta quelques secondes frappé de stupeur puis s'approcha pour en apprendre plus . Il interpella en posant amicalement la main sur son épaule un homme portant une charrette , infirme avec un bandage à la tête et utilisant un bâton en guise de béquille .

-Buenos días l'ami ! que c'est-il passé ici ? d'où viennent tout ces gens ?
L'homme ce retourna stupéfait du comportement étrange de son interpellateur , remarquant le blason sur le gambison de celui-ci , le paysan répondit respectueusement .
-Monseigneur , j'habite un village à quelques lieux d'ici , nous avons été attaqué durant notre sommeil par des brigands qui ont mis le feu à nos maison et pillé tout nos biens . Par chance , j'ai réussis à m'enfuir avec mon fils.
Il désigna alors un petit garçon âgé d'environs 6 ans qui était assis dans la charrette , grignotant une petite miche de pain . Le chevalier profondément fut apitoyer par un enfant au visage salit par la poussière et la cendre dont les vêtements étaient en lambeaux .Le paysan poursuivis :
-Nous sommes tous ici pour trouvé refuge derrière les murs de Constantinople , nous n'avons désormais nul endroit ou aller , ces grandes murailles sont notre dernier refuge monseigneur .
Rodrigo répliqua amicalement
-Merci de m'avoir éclairé mon brave, voilà qui vous aidera par la suite

Le Castillan sortit un bourse de pièces d'or d'une poche sur la selle de son cheval et l'offrit de bon cœur au pauvre homme. Posant ensuite son regard sur l'enfant ,il lui fit cadeau de son dernier morceau de viande que celui-ci prit avec méfiance avant de se mettre à le mastiqué par petits morceaux de ses dents tout juste poussées .Rodrigo poursuivis ensuite , se frayant un chemin dans la foule pour atteindre les portes .Il fut alors haleté par un garde à l'enceinte de la ville lui demandant de décliner son identité , le Castillan expliqua alors d'où il venait et dans quel but en confirmant sa personne par le blason qu'il arborait.Finalement lorsqu'il put entré en ville , il se préoccupa tout d'abord d'abreuver sa monture et de trouvé une place ou dormir.
Dans l'enceinte de la cité , c'était presque le même tumulte qu'a l'extérieur , on entendait les cris de désespoir de personnes cherchant un de leur proche ,les gardes qui essayaient de calmé les nouveau arrivants ou encore les marchands qui vantaient la qualité de leurs produits.Lorsqu'il eu trouvé le palefrenier , Rodrigo lui confia Alioth en échange de quelques pièces puis se dirigea alors vers la taverne la plus proche ou il passa la nuit , espérant recueillir des informations sur l'Ordre le lendemain.Assommé de fatigue , l'espagnol s'endormit peux après s'être couché .

[La suite plus tard voir demain ]

AHAH!

Donner une bourse au paysan, à la vue de tout les autres marrauds présent sous les murs, c'était scéller son arrêt de mort !

la suite !

C'est ce que je me suis dit aussi, pauvre paysan, à peine pense t-il arriver en sécurité qu'un chevalier lui donne de l'or pour ensuite se faire mollester par une foule en délire. Quel porte poisse ce Rodrigo !

Voyons ce que la suite lui réservera.

J'ai pas pensé à ça mais dites-moi , vous avez tous le même esprit tordu !

Sûrement, vu que j'y ai pensé à l'instant même où j'ai lu tes lignes.

Xamarius a écrit:

J'ai pas pensé à ça mais dites-moi , vous avez tous le même esprit tordu !

C'est l'esprit de l'Ordre.

Lorsque l'espagnol se réveilla , le soleil ne brillait pas bien haut dans le ciel , il se leva et contempla la ville de par la fenêtre . Il resta quelques instant bouche bée devant tant de couleurs , des constructions tel et si nombreuses que l'on se demanderait presque comment l'homme à put mettre tout cela sur pied sans une intervention divine. Il aperçut alors un groupe de soldat étrange patrouillant dans la ruelle à ses pieds , en effet , ceux-ci ne portaient pas les même couleurs que les gardes qui surveillent l'enceinte . Sans perdre une seul seconde , Rodrigo enfila ses bottes , saisit son épée au pied de son lit et dévala les escaliers pour atteindre le bas étage de la taverne , il courut à travers les tables et les ivrognes puis poussa la porte d'entrée . Il rattrapa alors les soldat pour interpellé poliment un grand homme , protégé par une cotte de maille et en dessous d'un tabard portant la croix du christ , celui-ci semblait mené la marche :

-Pardonnez moi mon brave , vous semblez porter des couleurs qui me sont jusqu'ici inconnues , à qui obéissez vous ?

-Nous obéissons à Dieu tout puissant et au seigneur Bertrand de Lorraine ,commandant des forces de l'ordre présentes à Constantinople en l'absence du commandant suprême , le seigneur Sopraluk .

Rodrigo accéléra alors le rythme de ses mots , il sentait avoir touché au but.

-De l'Ordre vous dites ?

-Oui , L'Ordre des Chevaliers Divins .

Le Castillan enchaina avec un ton qui marquait son enthousiasme

-Parfait ! Où puis-je trouvé ce Bertrand de Lorraine ?

-A l'exterieur de la ville , non loin de l'enceinte principale .

-Alegría ! Merci de votre aide !

L'espagnol s'en voulut de ne pas avoir remarqué le camp à son arrivée , bien trop occupé par le spectacle qu'offrait les portes de la cité , il n'eut pas prit la peine d'observer autour de lui . Sans plus attendre , il parcouru la rue principale d'un pas déterminé jusqu'à franchir une seconde fois l'enceinte de la ville où s'y déroulait le même chaos que le jours précédent , il y avait même deux fois plus de personnes entassé pour pénétré dans Constantinople , cela ne rendit le chemin de Rodrigo que plus difficile .
Une fois dégagé de cette pagaille , l'homme balaya le paysage du regard jusqu'à apercevoir un petit camp au milieu du nuage de poussière provoqué par la foule en folie il y flottait les mêmes couleurs que celles qu'il put distinguer le tabard des gardes croisés précédemment . Le Castillan s'approcha et posa la main sur l'épaule du premier soldat passant pour arrêté sa marche effrénée à travers le camp . D'une voix ferme et déterminée , Rodrigo lui demanda :
-Je cherche Bertrand de Lorraine , est-il ici ?
Le Soldat ne répliqua point , il se contenta de montré une direction du doigt , Rodrigo le remercia alors et se dirigea vers l'homme qui lui avait été indiqué qui fixait le spectacle de la porte de la ville d'un regard déconcertant .Le Castillan parla alors respectueusement et calmement :

-Sir, êtes vous Bertrand de Lorraine ? Commandant des Forces de L'Ordre des Chevaliers Divins à Constantinople ?

L'homme lâcha la foule du regard pour le poser sur le Chevalier
-Lui même, qui êtes vous ?

-Je me nomme Rodrigo de Utrera , Vassal du roi Alphonse VIII de Castille . Permettez moi de vous expliquer les raisons de ma présence ici ...
Lorsqu'il eut raconter tout ce qu'il avait à dire , Bertrand répliqua avec sagesse

-Vous m'avez tout l'air d'être un homme d'honneur , sir Rodrigo , c'est pourquoi j'accepte avec joie votre entrée dans l'Ordre , puissiez vous servir Dieu du meilleur de vous même .Possédez vous un cheval ?

-Oui , un noble destrier pur sang espagnol !

-Fort bien , rallier vous donc à moi , des jours mouvementés s'annonce , j'aimerais que vous fassiez partit de mes hommes lors de ceux-ci !

[Si vous remarquez quelconque problème dont vous aimeriez me faire part n'hésitez pas . La suite ce soir ! ]

Le combat ce profile...

Par contre, je trouve que Rodrigo trouve Bertrand un peu trop vite et l'approche un peu trop facilement, non ?
Et puis Bertrand ne se montre-t-il pas trop enthousiaste envers un homme qu'il connait à peine ?

Bref, la suite d'ici ce soir ?!

Je suis assez d'accord avec toi mais j'ai choisis l'option d'abrégé au plus vite . ça m'a également chiffonné mais je n'ai pas pus en parlé à Squall avant . C'est pas vraiment mon fort de faire agir le personnage des autres

Ce n'est pas vraiment mon personnage, même si je cherche de plus en plus à le développer, j'avou avoir un faible pour cet homme au prénom ridicule mais qui défend ma région natale.

Et puis je trouve que le fait d'abréger ici n'est pas trop embétant, autant aller droit au but, si les combats suivent et sont intéressant, pas de problème.
Et disons que Bertrand se montre polie tout simplement, et puis, même si il se montre enthousiaste, le fait de recruter un chevalier se disant expérimenté est tout de même mieux que de recevoir la candidature d'un pauvre paysans désarmé. Le simple fait que Rodrigo possède un cheval, une épée et tout l'attirail montre au moins qu'il possède un minimum de potentiel non ?
A l'époque, le premier manant ne pouvait pas se procurer tout ça facilement.

Content que tu n'y voie pas d'inconvénient je me suis dit un peut la même chose sauf que j'ai mis de côter la méfiance que pourrait avoir Bertrand dans un soucis d'aller droit au but .

Le Castillan était sur son lit , regardant fixement le sommet de toile de la tente qui lui avait été assigné d'un regard tourmenté .En effet , il repensait à ce jours à Alarcos , ce jours qu'il rumine toujours dans un coin de son esprit , ce rappelant du dernier regard que lui lança chacun de ses camarades avant de succomber , ce rappelant la honte qui le suivait toujours , cette honte de ne pas y être resté comme eux-tous , le déshonneur de vivre alors que tant son morts... mais Dieu avait un autre dessein pour lui , pas celui de mourir aux côté des siens mais un autre que Rodrigo imagina bien plus ambitieux .
Soudainement , un soldat vint troublé la méditation de l'Espagnol en débarquant affolé dans la tente .

-Aux Armes ! Aux Armes ! Constantinople est attaqué , des bandits incendient la ville !

Rodrigo répondit avec étonnement et fronçant les sourcils

-Attaquer ? mais aucune armée n'est passé par ici dernièrement

L'autre répondit en marquant ses paroles d'un rythme effréné

-De l'intérieur ! La ville est attaqué de l'intérieur , les maison brûlent , les gens hurlent !

Sans un mot de plus le soldat se retourna en partit en courant en direction d'une autre tente . Le Castillan se leva alors d'un bond , saisit son épée puis passa le seuil de son logement provisoire pour découvrir un nuage de fumée surplombant la citée ,il voyait des flammes et percevait comme l'avait dit le garde des hurlement stridents provenant de derrière les muraille . Rodrigo n'eut pas le temps de réfléchir à la situation , Bertrand s'arrêta devant lui accompagné d'une cinquantaine de cavaliers et lui parla du haut de son cheval :

-Où est votre monture messire Rodrigo ? Hâtez vous , allez la chercher et rejoignez nous nous passerons l'enceinte de Constantinople dans quelques minutes quand tout mes hommes seront armés .

Sans plus attendre , Rodrigo s'empara de son cheval qu'il avait pris soin de confier au palefrenier du camp et rejoignit le groupe au complet .

-En avant Constantinople nous attends ! Cria Bertrand de Lorraine

Les Cavaliers partirent dans une course effrénée en direction de la cité en proie aux flammes , Rodrigo , impatient d'en découdre ne cessait de talonner son cheval gardant une cadence extrêmement rapide . Ils passèrent l'enceinte pour découvrir le chaos de la bataille , les gardes de la ville se mêlaient aux brigands qui eux même se mêlaient aux citoyens en panique . Soudain , Rodrigo put distingué un groupe de cavalier chargeant droit sur les hommes de l'ordre , Bertrand donna à son tour l'ordre de charge sur les agresseur . Rodrigo était en première ligne , à sa gauche ce trouvait un cavalier géant maniant une grande claymore ce qui ne manqua pas d'étonner le Castillan .Celui-ci talonna sa monture pour percuté l'ennemi avant les autres , c'est alors que on le vit décapité les deux premier brigands qui eurent la malchance d'être à portée de son épée à deux main . Lorsque Rodrigo l'atteignit , il avait déjà trancher trois cavaliers , ceux-ci gisaient sur le sol hurlant de douleur .L'espagnol para une attaque puissante porté au niveau de sa hanche droite et trancha la gorge de son agresseur puis enfonça la pointe de son épée dans le dos d'un homme occupé à combattre avec un chevalier de l'Ordre . Il vit un allier tombé de son cheval envoyant une giclée de sang sur le visage du Castillan et laissé place à un cavalier le regardant avec un sourire en coin , la hache maculé de sang , enjoué par la joie d'avoir fait tombé un chevalier , celui-ci se dirigea vers Rodrigo et lui lança un coup fulgurant qui faillit bien tranché la gorge de l'espagnol si il ne c'était pas penché en arrière , le brigand étant déséquilibré par le poids de sa hache lancé dans le vent , il n'eut aucun mal à envoyé son ennemis passé le bonjour à Satan .A peine furent-ils venus à bout des brigands à cheval , que le titan à la claymore hurla :

-Commandant ! D’autres arrivent par là ! en pointant une centaine d'homme à pieds à l'extrémité de l'avenue de son arme gigantesque

Rodrigo jeta un regard vers Bertrand qui semblait être en pleine réflexion mais soudainement il tourna la tête vers le géant et cria :

-Adrian ! prend dix hommes et prends la rue des bottiers !

L'homme qui semblait se nommé Adrian ordonna a dix cavaliers de se rallier à lui et ensemble ils partirent dans la rue demandée . Bertrand hurla alors comme un dément , indiquant l'ordre de charge avec son épée . Le groupe d'une vingtaine de cavaliers chargea l'ennemi sachant que ceux-ci étaient cinq fois plus nombreux ! Le choc fut rude , les lances volaient en éclat et le vacarme du combat se faisait de plus en plus fort , Rodrigo trancha le premier fantassin qui s'offrit à lui et décapita un bras du deuxième qui s'écroula de douleur avant de se faire piétiné par ses propres camarades . Virent soudain trois vougiers qui décidèrent de s'en prendre au cheval du Castillan qui succomba après avoir été planté à maintes reprises par les hérétiques . Pris d'un élan de rage , Rodrigo laissa tombé son bouclier et saisit de la main gauche la vouge de l'un d'eux et le tira vers lui pour mieux lui trancher impitoyablement la tête en hurlant de rage . Les deux autre regardèrent l'espagnol d'un aire apeuré qui s'approcha et sans qu'ils ne puisse rien faire ,fit un pas chassé pour évité la première vouge avant de porter un coup d'estoc qui tua son porteur puis avec fulgurance éventra le deuxième en riant . En effet , il riait de la faiblesse de ses adversaires , il riait lorsque ceux-ci implorèrent sa pitié , faisant fit du code d'honneur , emporté par la rage que provoqua la mort de sa monture et le plaisir de faire coulé le sang . Lorsqu'il regarda derrière lui , il put comprendre que Bertrand et ses hommes s'étaient repliés mais ils préparaient tout de même une charge du dernier espoir .Un couard profita de la dissipation de Rodrigo pour l'attaquer , brandissant sa hache avec férocité , le chevalier n'eut pour seul réponse que de le trancher perpendiculairement au niveau de l'abdomen . Alors que Bertrand et ses hommes chargèrent au son de la corne , Rodrigo tentait tant bien que mal de repoussé à lui seul et a deux chevaliers ayant eux aussi perdu leur cheval , les assauts répétitif des brigands voulant en découdre au plus vite . La charge des cavaliers de Bertrand fut une libération , ils enfoncèrent les lignes ennemi , laissant donc le Castillan et les deux braves le temps de reprendre leur souffle . Au milieu du vacarme de la mêlée , un nouveau cor se fit entendre et l'on vit le géant suivit de ses hommes surgirent d'une rue adjacente , balayant les rangs ennemi sur leur passage , la panique se lisait dans les yeux des bandits et celle-ci fut encore plus accrût lorsque un autre groupe de soldat de l'ordre vint les prendre à revers .
Les heures passèrent et le gros du combat se déroulait désormais dans l'avenue impériale , par dessus les hurlement , les bruit strident de métal s'entrechoquant ou encore les explosions , Rodrigo entendit :

-Il faut nous replier !

A l'inverse de démoralisé un chevalier normal , cette phrase ne fit qu'amplifier la rage du Castillan qui saisit son épée de ses deux mains et porta un coup de taille qui fendit le crane d'un bandit assez courageux pour s'approcher du dément qu'est devenu l'espagnol .Bien que conscient de la supériorité numérique et la mort certaine l'attendant si il reste dans la mêlée ,il hurla sans prendre attention à ce que on l'entende ou pas

-Non ! Personne ne ce replie !

A présent complètement pris sous la marrée d'adversaire qui fondait sur eux , Rodrigo continuait la lutte en grognant , tranchant , décapitant , ignorant les implorations de ceux qu'il ne tua pas en un coups mais sa folie fut stoppé lorsque les rang ennemi reculèrent . Il regarda autour de lui , l'épée en avant et lut sur tout les visage la lassitude du combat et la fatigue extrême.Il restait moin d'une trentaine d'hommes allié dont Bertrand et Adrian .Le Castillan était en sueur , sa respiration se faisait extrêmement rapide et son tabard était presque devenu entièrement rouge pourpre lorsque l'on entendit derrière les rangs ennemi :

-Qui commande ces troupes ?

-Moi ! Hurla Bertrand . Je suis le commandant Bertrand de Lorraine de l’Ordre des Chevaliers Divins.

L'espagnol comprit alors qu'il y allait avoir des pourparlers, ce qu'il vu comme la meilleur solution pour mettre un terme à ce combat sans recevoir le déshonneur du replie . Un homme sortit des rangs ennemi, d’une stature moyenne, âgé d’une cinquantaine d’année sans doute un noble . Bertrand se présenta également arme au fourreau . Eut lieu une discussion entre les deux chef quand soudain ,lorsque l'aurore se fit voir , des cornes sonnèrent , annonçant l'arrivée de renforts pour l'ordre , on vit le visage des chevaliers s'illuminer , une soudaine revigoration crée par ces sons . Bertrand de Lorraine , profitant de l'imprudence du général bandit sortit son arme du fourreau et planta son opposant , perçant sa cotte de maille , celui-ci siffla quelque chose que Rodrigo ne put entendre avant de ce faire décapité par Bertrand complètement revitalisé . La matinée ce fut alors sanguinolente et riche en retour de force , les brigands se retrouvèrent cloitrés derrières de grandes barricades faites de pavés , chaises ou autres meubles .La Victoire paraissait acquise ...

[La suite fera part de la mort de sopraluk et du retour J'ai voulu tout mettre dans le même post mais ça faisait trop long ]

Des avis , Des avis !

Les combats sont bien décrits,et asser amusants,la fin uniquement à l'air un peu baclée,enfin pas vraimment baclée,mais on à vraimment l'impression "hop,ca c'est fait !"

En effet , j'ai eu une petite envie d'en finir vers la fin

Compréhensible,tu as essayé de faire le plus vite possible,normal

Plutôt sympa. On sent que sur la fin t'étais pressouille, mais sinon all good.

Dommage pour la fin mais c'est compréhensible, des fois on a qu'une envie c'est d'en finir.
Quant au reste c'est vraiment très bien je trouve !

Oui, y a du progrès...et puis citer et faire agir les persos, c'est vraiment un des must dans nos récits je trouves!

Je suis vraiment content que ça vous plaise , en revenant dans l'ordre j'avais des doutes sur mon amélioration niveau RP mais on dirait que quelques mois sans RP sérieux m'aura fait du bien

Ba généralement, suffit juste d'écrire sans vouloir "en mettre des tonnes". Plus t'écris naturellement et mieux ça passe.
Et puis après, les plus c'est :

- faire des récits pas trop court, prendre la peine de détaillé un minimum.
- utiliser des réferences aux autres personnages, distingué leur attributs (attention! ne pas en abusés au risque de trop limité la marge de liberté créatrice des autres joueurs !)
- essayeé de développé un personnage à "caractère", qui s'éloigne au moins un peu des classics preux chevaliers-sans peur-tombeur de ses dames-téméraire-invicible-doué dans tout ce qu'il entreprend.

En généralement, en s'y tenant, n'importe qui ayant au moins quelques capacités litteraire peut sortir un texte "au niveau".

(même si, il n'y a pas de niveau. )

peux à peux j'essai de développer un coter schizophrène à Rodrigo, le noble chevalier qui applique le code en dehors de la bataille furieuse , et le fou qui élimine impitoyablement jusqu'au ennemi qui se rende lorsque celui-ci est stimulé par un évènement .

Xamarius a écrit:

peux à peux j'essai de développer un coter schizophrène à Rodrigo, le noble chevalier qui applique le code en dehors de la bataille furieuse , et le fou qui élimine impitoyablement jusqu'au ennemi qui se rende lorsque celui-ci est stimulé par un évènement .

hey ! Pourquoi pas !

Le mec très chevaleresque (pire que ça même) en temps normal....et qui des fois pète un câble est commence à trancher dans le vifs (voir des civil ! )...

ya de l'idée !

J'aime bien aussi l'idée

Je ne doutais pas que cette idée allait plaire à vos esprit légèrements tordu

EDIT : Waha , plus je pense à ce que je pourrais faire avec un perso schizophrène comme pourrait l'être Rodrigo, plus je suis enthousiaste de passé à la prochaine mission !