L'Ordre des Chevaliers Divins

Les rebelles sont devenus plus puissants et plus influents qu’ils ne l’ont jamais été. Nous avons étouffé de nombreuses colonies rebelles, annihilé de nombreux mouvements de résistance de ces hérétiques grâce à notre rapidité et à notre force de frappe. Nos ennemis sont perdus, ils n’ont ni foi, ni religion !

Leur temps est maintenant révolu ! Nous, seigneurs de guerre venus de toutes les contrées, nous nous sommes regroupés pour former l’Ordre des Chevaliers Divins ; nos armées servent Dieu. Nous luttons contre l’hérétique. Nous sommes plus puissants, plus avancés et plus rapides que lui. Nous sommes entraînés à tous types de terrain, nos soldats sont plus forts et plus compétents. Quelque soit la situation, nous réussirons !

Les forces rebelles doivent se tairent, l’hérétique doit mourir ! Il en est ainsi, c’est la volonté du Divin. Nous avons entraîné nos troupes, nous avons apporté nos armes, dans une lutte qui sera sans pitié, pour un combat ultime entre notre vénérable alliance et les misérables vermines qui peuplent cette planète.

Faisons taire une fois pour toute les rebelles et les hérétiques. Massacrons-les jusqu’aux derniers !

Une armée d’innombrables et de redoutables guerriers est réunie sous la bannière de Dieu. A ceux dont les intentions sont qualifiées comme mauvaises, sauront bientôt ce qui les attendra ; ils ne subiront que feux et massacres. Personne n’a d’intérêt à se mettre en travers de notre chemin, quelque soit les batailles à livrer ! Il n’y aura qu’un seul vainqueur dans cette campagne…


L’Origine de sa création par SopraluK (général en chef) :

C’est en l’an de grâce 1094 que le Seigneur Sopraluk naquit. Son père était un seigneur français qui possédait des terres au Sud-Ouest de la France, près de Carcassonne. Sa mère était en revanche une étrangère, d’origine espagnole. Dès son plus jeune âge, Sopraluk apprit à parler deux langues, l’espagnol en plus du français. Puis, son père voulut faire de lui un homme éduqué et intelligent. Très tôt, il fut pris en charge par le père Boromio (un très vieux moine qui avait aussi éduqué son père). Son éducation, accès surtout sur la religion, lui permit d’acquérir une nouvelle langue, le latin. Au fur et à mesure des années, le père Boromio, fit de lui un garçon doué ; il connaissait le calcul, pouvait lire le latin, savait parfaitement l’Histoire de France et de ses rois, etc. Mais en 1109, Boromio mourut et l’apprentissage de Sopraluk ne fut pas totalement complet.
Ce fut à partir de cette année que son père le prit sous son aile. Avec lui, son entraînement militaire commençait. Sopraluk apprit à se battre à l’épée et au bouclier. Il commençait aussi à manier le cheval. Peu à peu, il acquerrait une certaine dextérité au combat et devint un très bon combattant. Puis, Sopraluk aida son père dans ces guerres contre ses ennemis qui étaient souvent des seigneurs voisins. Ce dernier lui apprit l’art de la guerre et lui enseigna sa stratégie tandis que lui participait aux batailles. Sopraluk devint très rapidement un homme charismatique auprès des soldats de son père.
En 1119, des rebelles, approchèrent de la seigneurie et assiégèrent le château des Sopraluk. Ils étaient plus nombreux mais malgré cela, les assiégés tenaient bon. Mais pendant le combat, sur les murs, le père de Sopraluk fut transpercé par une flèche. Touché gravement, il mourut quelques minutes après. Avec lui, s’éteint tout espoir de vaincre et le fils dut fuir en abandonnant le château à ses ennemis.
Tout seul, avec une poignée d’hommes, tous de bons combattants, Sopraluk regagna leur confiance et réunit une nouvelle armée. En 1120, ils reprirent la seigneurie familiale malgré leur infériorité. Très vite, Sopraluk agrandit ses terres par les combats et remportait de très nombreuses batailles même s’il eut aussi son lot de défaite. Il se promit de venger son père, coûte que coûte. Aucun rebelle qu’il croisait ne lui résistait. Sa réputation grandit au sein du Royaume de France et de nombreux seigneurs autrefois des ennemis, s’allièrent à lui.
Cinq années plus tard, en l’an 1125, Sopraluk fondit une famille auquel il ne prêta malheureusement pas une très grande importance. Puis le Roi le manda, il avait besoin d’hommes au nord pour combattre les anglais et il réunissait les seigneurs volontaires. Sopraluk partit donc, avec une bonne armée et prit part à de nombreuses batailles. Lors d’un combat, au milieu du massacre, Sopraluk chargea avec ses cavaliers, taillant ainsi la mêlée. Mais il fut blessé par une mystérieuse arme, qui lui laissa de nombreuses séquelles sur le bras droit. Il apprit par la suite qu’il s’agissait d’un fléau, une arme utilisée surtout en Flandre et dans le Saint Empire Romain Germanique. C’est ainsi que Sopraluk s’entraîna jusqu’à manier parfaitement ce qui lui avait autrefois causé tant de souffrance.
En 1131, il revint de cette campagne au Nord, fier et heureux de rentrer enfin chez lui en héros. Ses terres étaient restées les mêmes et sa vie n’en fut que plus tranquille. Pendant dix ans, il vécut de chasses, de fêtes et de promenades même s’il devait livrer parfois quelques batailles ici où là. Surtout, Sopraluk put enfin se consacrer à l’éducation de ses enfants. Il fut un temps où ils grandirent et devinrent des hommes. Sopraluk dut leur transmettre tout son savoir de combattant.
Un jour de chasse à la frontière de la seigneurie, des rebelles tuèrent ses fils et leur suite, seul un réussit à s’enfuir et à rejoindre le château. Mais il mourut à cause des trop graves blessures qu’il avait subies. Quand Sopraluk fut informé de ce carnage, sa haine de vengeance fut intenable et il comprit qu’il était temps de venger sa famille de ses bâtards d’hérétiques.
En 1145, il décida de réunir tous les seigneurs qui étaient volontaires pour le suivre au nom de Dieu. Beaucoup le rejoignirent, même son neveu qui était Germain se porta volontaire. Sa cause était juste et son armée fut grande. Sopraluk décida donc de former avec les Neuf Seigneurs qui l’avaient suivi, un Ordre parallèle à celui des teutoniques ; l’Ordre des Chevaliers Divins naquit. Ainsi, et depuis qu’il existe, l’Ordre combat l’hérésie, les païens et les rebelles au nom du Seigneur. De plus en plus, il grandit et gagne en influence sur le monde. Même le Pape a reconnu l’existence de l’Ordre à ce jour, ce qui prouve ainsi sa renommée.

Et voici notre blason, honorez-le car c´est celui de notre Ordre bien aimé qui flotte sur les champs de bataille :

L’Ordre naquit en 1145, la date précise reste encore inconnue à ce jour.
Sa création est l’œuvre de la volonté du Seigneur Sopraluk, qui souhaitait éradiquer les armées rebelles menées par des hérétiques qui sévissaient en France et qui furent responsable de bien des atrocités.
Au départ concentré en France, l’Ordre gagna en puissance à mesure que des seigneurs d’Europe se joignaient à Sir Sopraluk, ce sont neuf seigneurs de guerre qui le suivirent. Venant de toute l’Europe et de plus loin encore, des soldats rejoignirent l’Ordre qui s’agrandit jusqu’à former une véritable armée.

Après quelques années de combats menés dans l’Europe occidental, l’Ordre s’attira une certaine renommée et par ses services rendus auprès de plusieurs souverains d’Europe, le Pape reconnut l’Ordre des Chevaliers Divins, lui fournissant son appui en échange de son indéfectible loyauté.
Mais même aujourd’hui, malgré sa renommée et ses faits d’armes, alors qu’il se dirige en Terre Sainte, l’Ordre reste encore méconnut dans son fonctionnement et sa hiérarchie.


Les Neuf Grands Généraux de l’Ordre :

Le commandant suprême de l’Ordre n’était autre que Sopraluk. Seigneur français né en 1094, il fut le fondateur de l’Ordre et celui qui décida de la politique générale de l’Ordre à ses débuts. Son pouvoir était théoriquement absolu et un seul homme le surpassait en autorité : le Pape.
Les Huit autres Grands Généraux de l’Ordre demeurèrent longtemps inconnus, même pour les membres de l’Ordre. Rares sont ceux qui connaissaient leur identité, et ce afin d’écarter les risques d’assassinats sur les hommes à la tête de l’Ordre.

On sait cependant que presque tous furent européens et catholiques, pour la plupart venant d’Europe de l’Ouest, mais certaines rumeurs laisseraient penser que quelques-uns étaient originaires de terres plus lointaines et adeptes d’autres religions.

Même si à la base, les Neuf Grands Généraux de l’Ordre s’étaient alliés dans le même but, éradiquer les rebelles hérétiques qui semaient le chaos dans le monde, leurs ambitions sur le long terme divergeaient et pouvaient les mener à des conflits d’influence.
Même si leurs querelles n’avait, au commencement, jamais conduit à des affrontements internes, leurs divergences avaient finalement créé une certaine rivalité entre les membres de l’Ordre qui furent fidèles à la vision des choses de tel ou tel Grand Général, et ce, même s’ils ignoraient la véritable identité de leur leader.

*A venir : les Castes au sein de l'Ordre*

Les Castes sont les différentes factions au sein de l’Ordre, menées par les Grands Généraux qui dirigent l’Ordre. Il arrive parfois que certaines soient dirigées par des officiers de rang inférieur mais dont le charisme a attiré bien des fidèles.

Tous les membres de l'Ordre n'adhèrent pas à une Caste et restent neutres, d'autres y sont affiliés mais ne partagent que partiellement leurs convictions.

Bien qu’aucun conflit réel n’ait éclaté entre les Castes et qu’elles opèrent ensemble dans leurs missions sans que leurs divergences d’opinion n’interfèrent, il n’est pas rare de voir des combats éclater entre certains membres de l’Ordre et entre deux batailles, lorsque l’alcool coule à flot dans les tavernes.
Les Castes les plus importantes sont au nombre de sept, chacune suivant sa propre voie et ayant sa propre vision des objectifs de l’Ordre. Certaines sont proches et leurs membres s’entendent relativement bien, mais d’autres sont fondamentalement opposées et les tensions avec d’autres Castes n’en sont que plus grandes.

Ces sept Castes sont les plus puissantes mais il existe d’autres Castes de taille plus modeste. Certains redoutent également que quelques officiers aient formé des Castes secrètes qui recrutent des adeptes afin de nourrir leurs desseins opposés même aux objectifs de l’Ordre.

La Caste des Pénitents :

Les Pénitents sont les membres de l’Ordre les plus fidèles au Pape, ils sont dévoués au Saint Père et ce même lorsqu’ils ne partagent pas son opinion ou n’approuvent pas ses actes.
Les Pénitents n’hésitent pas à recourir à la violence si le Pape l’exige et n’ont que peu de compassion pour les hérétiques et leurs autres ennemis. De par leur affiliation avec le Saint Père, ils n’acceptent que très rarement les soldats non catholiques, si ce n’est jamais.

Leur dévouement au Pape les oblige à être très rigoureux dans la célébration de leurs cultes et on exige d’eux une piété très grande. Leurs critères de sélections sont très strictes, chaque nouveau membre devant prouver sa foi. Pour eux, tous les moyens sont bons et ils emploient guerriers et agents de l’ombre, pourvu qu’ils agissent au service du Saint Père.

Les Pénitents sont assez proches des Paladins catholiques qu’ils respectent énormément malgré leur manque de rigueur imposé dans la pratique de la religion.


La Caste des Paladins :

Ces membres de l’Ordre se distinguent par leur très grande noblesse et leur code de l’honneur très strict.
Il leur est interdit :
- de mettre à mort un adversaire désarmé.
- de maltraiter un ennemi s’étant rendu sans opposer de résistance.
- de causer du tort aux faibles, aux femmes et aux enfants.
- de s’enivrer plus que de raison.
- de manquer de respect à la dépouille d’un allié comme d’un ennemi tombé au combat.
- de manquer de respect à une personne pour ses origines et ses croyances.
Il est toléré de manquer de respect à une personne pour ses capacités martiales, mais celui qui s’y prêtera, devra prouver l’arme à la main la véracité de ses dires dans un duel.
Refuser de porter secours à une personne, quelle que soit sa religion, sa situation, est puni aussi sévèrement que le meurtre d’un innocent : un bannissement à vie de la Caste et il est apposé sur le crâne rasé du fautif une marque au fer rouge pour montrer sa traîtrise.

On suppose que son dirigeant est un noble français du fait de l’extrême respect du code de la chevalerie qui est demandé aux membres de la Caste. Mais les Paladins se distinguent par le fait qu’ils acceptent tout homme, quelque soit leur origine et leurs croyances. C’est ainsi que des catholiques, des musulmans, des orthodoxes et même des païens se côtoient dans cette Caste. Les Paladins ne jugent pas les hommes sur leur origine mais sur leur force et leur noblesse. On peut noter également chez eux un certain orgueil, les Paladins sont très fiers et parfois se montrent condescendants avec les membres des autres Castes de l'Ordre.
Les Paladins refusent catégoriquement d’intégrer dans leurs rangs des assassins ou des espions qu’ils considèrent comme des lâches et jugent leurs méthodes déshonorantes. Ils comptent donc dans leurs rangs essentiellement des guerriers à pied ou des chevaliers.

Cette Caste a beaucoup de fidèles et est assez influente, ses membres s’entendant assez bien avec les Pénitents, sauf évidemment les Paladins non catholiques.


La Caste des Justes :

Cette Caste est la moins importante des cinq Castes les plus Puissantes, mais ses membres sont indispensables au bon fonctionnement de l’Ordre des Chevaliers Divins. Cette Caste est très ouverte, acceptant quiconque souhaite se joindre à elle, quelque soit sa religion ou son origine. C’est pour ça que ses membres sont sommés de faire preuve d’une extrême tolérance.
Les Justes n’ont pas beaucoup de soldats dans leurs rangs, mais c’est cette Caste qui accueille tous les médecins, chirurgiens, scribes, interprètes, diplomates, scientifiques et tout autre homme - ou femme - utile à l’Ordre autrement qu’en brandissant une lame.

Les quelques guerriers qu’ils regroupent sont généralement des volontaires formés rapidement afin de créer de petites unités de défense chargées de garder les convois ou campements de l’Ordre. Mais d’autres sont des soldats d’élites qui font offices de gardes du corps pour les officiers de l’Ordre, quelque soit sa Caste si le besoin s’en fait sentir.
Cependant, les Justes ne consentent à recourir à la violence qu’en dernier recours, ou pour se défendre. Leurs membres pensent que tout conflit peut se résoudre par la diplomatie et si la tolérance est leur plus grande vertu, ils n’admettent cependant pas qu’un des leurs face preuve de mépris envers leur prochain ou qu’il se livre à des actes de violence gratuite. Les Justes sont donc par nature pacifiques et recherches par tous les moyens à éviter les conflits, ce qui expliquent que peu de guerriers les rejoignent.

La tolérance étant le maître mot de la Caste des Justes, ils tolèrent les guerriers comme les hommes de terrains - espions et assassins - et s’efforcent d’entretenir de bonnes relations avec toutes les autres Castes, ce qui peut parfois être difficile étant donné la faible tolérance religieuse de certaines.


La Caste des Affranchis :

Cette Caste émergente gagne rapidement en puissance et pourrait très bien devenir une puissance majeure au sein de l’Ordre. Elle est assez proche des Paladins de par le fait qu’elle ne s’intéresse pas aux origines de ses membres mais uniquement à leurs capacités. Mais là où elle se différencie, c’est qu’elle n’a que faire des principes de noblesse et de chevalerie, ses hommes peuvent choisir leur voie comme ils le souhaitent du moment qu’ils prouvent leur valeur l’arme à la main.
Pour les Affranchis, la conduite générale de l’Ordre tenue par le seigneur Sopraluk et ses Pénitents est ridicule, ce sont leurs principaux opposants. Les Affranchis souhaitent se libérer de l’autorité du Pape et se tailler un état souverain par la force des armes.

Les dirigeants des Affranchis proclament ouvertement que l’Ordre est de taille à gouverner un royaume à lui et qu’il serait stupide d’user d’une puissance militaire aussi formidable dans le seul but de combattre quelques hérétiques. Ils engagent quiconque souhaite les rejoindre et prouve qu’il peut être utile, guerriers et hommes de l’ombre sont tous les bienvenus pour gonfler les rangs des Affranchis.

Leurs méthodes sont brutales et ils sont déterminés à prouver que leur Caste est la plus puissante au sein de l’Ordre. Ils sont relativement isolés, n’étant pas alliés à une autre grande Caste. Les Paladins désapprouvent le peu de noblesse de leurs membres tandis qu’eux ceux-ci ne supportent pas le manque d’agressivité des Justes.


La Caste des Séraphins :

Derrière ce nom pour le moins angélique, se cache en réalité l’une des Castes les plus violentes de l’Ordre, si ce n’est la plus violente. Ses membres sont des catholiques dont la foi dépasse le fanatisme même, ils se distinguent facilement des autres membres de l’Ordre en brandissant des armes sur lesquelles des croix sont sculptées ou même de grands crucifix sur lesquels des lames ont été fixées.

Il est donc évident que les Séraphins refusent catégoriquement de prendre dans leurs rangs un non catholique, et même les catholiques subissent des épreuves très dures avant de pouvoir entrer dans leurs rangs. Assassins et soldats sont les bienvenus dans du moment qu’ils partagent leur fanatisme.
Les Séraphins pourraient sembler assez proches des Pénitents, cependant, les Séraphins ne sont pas toujours en accord avec le Pape qu’ils jugent parfois trop souple. Ils n’hésitent pas à rendre eux-mêmes justice sur leur passage. Des prêtres et des inquisiteurs les accompagnent et de nombreux procès ont lieu sur leur passage ; bien des sorcières et des hérétiques ont été exécutés après qu’ils soient passés dans une région.
Les membres de cette Caste partagent cependant un trait avec les Affranchis, certains d’entre eux pensant que l’Ordre devrait créer un nouvel Etat en Terre Saint, un état catholique évidemment.

Malgré leurs critères de sélections, les Séraphins s’agrandissent assez vite, beaucoup se tournant vers la foi en ces temps troublés et les prêtres des Séraphins sont de fins recruteurs.
Les Séraphins tolèrent les Pénitents mais ressentent une haine farouche à l’égard de la plupart des autres Castes, eux qui acceptent des non catholiques dans leurs rangs.


La Caste des Ombres :

Les informations sur les Ombres sont très peu nombreuses et l’existence de cette Caste est bien souvent remise en question, certains proclamant haut et fort que les Ombres sont uniquement des légendes sorties de l’imagination de quelques gardes se racontant des histoires d’esprits maléfiques lors de leurs tours de garde.

Légende ou pas, cette Caste est sûrement la plus redoutée de l’Ordre des Chevaliers Divins ; même les membres de l’Ordre se méfient de ces hommes. S’ils sont tellement crains, c’est parce que leurs membres sont composés uniquement d’assassins et d’espions, des hommes de l’ombre qui agissent dans le plus grand secret.

Contrairement à la plupart des Castes, ce ne sont pas les membres qui viennent à la rencontre des Ombres afin d’entrer dans leurs rangs, ce sont les instructeurs qui viennent les chercher s’ils sentent en eux des recrues potentielles. A partir du moment où un instructeur a repéré une recrue, il la met à l’épreuve régulièrement pour tester ses capacités physiques, intellectuelles et morales. Ces tests sont parfois dangereux et il arrive que les recrues n’y survivent pas.
Catholiques, musulmans, orthodoxes, païens ou même hérétiques, cela n’importe que peu aux Ombres, leurs membres doivent savoir vivre et tuer dans l’ombre, c’est tout ce qui les intéresse.
D’après certaines rumeurs, les Ombres seraient au service du seigneur Sopraluk et espionneraient pour lui au sein même de l’Ordre afin de guetter d’éventuels complots et agiraient en conséquence.

Leurs méthodes de recrutement laissent supposer que le fondateur de la Caste des Ombres est un ancien membre de la Secte des Ashishins qui aurait rejoint l’Ordre, mais cette hypothèse provoque bien des polémiques car cela pourrait signifier qu’il y a bien un non catholique dans les rangs des Grands Généraux de l’Ordre, ce qui n’est pas apprécié par tous.
Les motivations des Ombres changent selon ceux qui en parlent. Pour certains, les Ombres seraient des mercenaires qui feraient payer à prix d’or leurs services à l’Ordre, pour d’autres, ce sont des fanatiques ayant embrassé des rites païens interdits, pour d’autres encore ils sont uniquement guidés par leur désir de sang, et enfin selon certains, ce seraient tout à la fois.


La Caste des Argents :

Cette Caste est à la fois la plus ancienne de l’Ordre et la moins fidèle à ce dernier. Elle réunit tous les mercenaires engagés par l’Ordre pour combattre à ses côtés. L’origine de son nom viendrait du fait que lors de la première bataille que mena l’Ordre, le seigneur Sopraluk aurait engagé des mercenaires afin de l’aider à remporter la victoire.
Selon la légende qui est née autour de la Caste des Argents, un seul mercenaire aurait survécu à la bataille et aurait en récompense de sa bravoure, reçu deux dagues en argent. Depuis, le nom des Argents est resté et les mercenaires sont connus sous ce nom dans l’Ordre.
La Caste est dirigée par un certain Caïn, personne n’a jamais vu son visage, mais certains soupçonnent qu’il s’agisse du même mercenaire qui accompagna Sopraluk dans son premier combat.

Malgré que les Argents soient des hommes souvent peu scrupuleux et uniquement attirés par l’or, Caïn les mène d’une main de fer par l’intermédiaire de ses lieutenants. Les Argents sont ainsi forcés d’accomplir leur devoir sur le champ de bataille, sans quoi ils ne reçoivent pas leur solde. Cette sévérité porte ses fruits car très souvent, les mercenaires s’illustrent tout autant que les membres réguliers de l’Ordre au combat.
Cependant, la discipline installée dans les rangs ne peut rien contre la soif de richesse de la plupart des mercenaires et beaucoup d’entre eux désertent après avoir amassé un butin suffisant à leurs yeux. Mais quelques uns finissent par devenir loyaux à l’Ordre, ceux-là rejoignent alors les lieutenants de Caïn ou bien une autre Caste.

Comme les mercenaires sont différents selon les régions parcourues par les armées de l’Ordre, les lieutenants de Caïn sont évidemment forcés de recruter tout homme prêt à se battre contre un certain montant. Des clans sont alors apparus au sein de la Caste, chaque religion ayant le sien. Des tensions peuvent exister entre les clans mais les lieutenants de Caïn sont là pour s’assurer que la discipline règne chez les Argents.
Les Argents sont peu appréciés par les autres Castes, les mercenaires étant bien souvent traités comme de la chaire à canon ou des soldats de seconde zone.

Les Chevaliers de l’Ordre sont divisés en plusieurs armées assignées chacune à une mission précise. A travers l’histoire, plusieurs corps d’armée s’illustrèrent sur le champ de bataille, d’autres furent démantelés une fois leur tâche accomplie.

Première Armée : Il s’agit du tout premier ost levé par le seigneur Sopraluk en France dans le but de mettre un terme aux agissements de nombreux groupes hérétiques et rebelles dans le sud-ouest de la France, la seigneurie de Sopraluk.
Formé en 1145, il regroupa une armée constituée d’une majorité de troupes françaises, issues en grande partie de la paysannerie, mais aussi de mercenaires italiens, espagnols et germains. Quelques nobles se joignirent également à l’Ordre et intégrèrent la Première Armée.
Suite à une victoire éclatante le 27 décembre 1145 qui permit de chasser les rebelles installés dans sa seigneurie, Sopraluk démantela la Première Armée de l’Ordre.
Elle reste un grand symbole historique pour l’Ordre, la toute première force levée pour la cause qui fut victorieuse.


Seconde Armée : Créée suite à la dissolution de la Première Armée de l’Ordre le 27 décembre 1145, elle a pour mission de garder les terres du Seigneur Sopraluk dans le sud-ouest de la France. Cette armée est constituée d’anciens vétérans de la Première Armée qui se sont illustrés pendant sa courte période d’activité mais qui fut riche en combats. La seigneurie est très fortement gardée par ces soldats expérimentés auxquels se sont ajoutés au fil des ans des chevaliers étrangers venus des royaumes limitrophes de la France. Ce corps d’armée compte un millier fantassins polyvalents, une centaine de chevaliers bien entraînés et peut faire appel à des troupes de conscrits en cas de besoin.
Bien que perpétuellement en état stationnaire, la Seconde Armée est très estimée et ses troupes suivent un entraînement rigoureux tout le long de leur service.
En théorie, elle est commandée par le Seigneur Sopraluk mais c’est le régent de la seigneurie de ce dernier qui la dirige durant ses absences qui se font de plus en plus courantes et longues avec le temps.
La Seconde Armée est toujours en activité.


Troisième Armée : Créée suite à la dissolution de la Première Armée de l’Ordre le 27 décembre 1145, elle fut la première force de l’Ordre à agir en dehors des frontières de la seigneurie de Sopraluk.
Tout comme la Seconde Armée, elle est constituée de vétérans de la Première Armée, de mercenaires étrangers, de chevaliers germains, espagnols et de volontaires italiens.
Tout d’abord n’intervenant que dans les duchés voisins de celui du Seigneur Sopraluk toujours pour combattre et réprimer les incursions rebelles, le Roi de France fit appel à la Troisième Armée pour renforcer la région de Paris alors que la garnison était au prise avec les anglais au nord du Royaume.
La Troisième Armée s’illustra en matant une révolte menée dans la capitale même et en ramenant le calme à Paris. Par la suite, la Troisième Armée fut sollicitée par le Roi pour l’aider à combattre les anglais au nord mais Sopraluk refusa, son Ordre étant voué à combattre les ennemis de Dieu et pas ceux de la France.
La Troisième Armée reprit cependant les armes peu après sa victoire à Paris, ne faisant que repousser un assaut des rebelles sur Toulouse et en mettant fin à un conflit qui opposait deux barons français ce qui aurait pu mener à une grave guerre civile.
Depuis, la Troisième Armée est en état stationnaire dans un château le long de la Loire près d’Orléans que le Roi céda à l’Ordre en gage de remerciement pour avoir protégé la capitale.
Les effectifs de la Troisième Armée sont d’environ cinq cents fantassins sous les ordres d’une vingtaine de chevaliers. Seul le château et quelques villages appartenant à l’Ordre, les troupes conscrites ne peuvent donc pas être levées en grande quantité.
Elle fut commandée par Sopraluk en personne durant les combats qu’elle mena, mais suite à sa mise en état stationnaire près d’Orléans, la régence fut transmise à un des officiers de Sopraluk, bien qu’officiellement, la Troisième Armée soit toujours sous le commandement direct du Grand Maître.
La Troisième Armée est toujours en activité.


Quatrième Armée : Créée le 17 janvier 1146, la Quatrième Armée est la première force de l’Ordre à ne pas être sous le commandement du Grand Maître Sopraluk. En effet, la Quatrième Armée est créée pendant que Sopraluk défend Paris avec la Troisième Armée. La Quatrième Armée fut créée pour venir en aide au Pape qui appela tout homme fidèle à Dieu et donc à lui-même pour venir défendre l’Italie et plus précisément la région de Rome sur laquelle des pillards rebelles avaient jeté leur dévolu.
Suite à cet appel à l’aide, Sopraluk ordonna la création de la Quatrième Armée qui fut placée sous le commandement d’un de ses plus fidèles officiers. Composée à l’origine de nombreux conscrits levés en hâte et de membres de la Seconde Armée, ses effectifs gonflèrent durant sa route vers la cité du Pape, de nombreux hommes qu’ils croisèrent sur leur route s’empressant de se joindre à eux.
Ce furent, d’après les récits que les hommes en firent, plus de cinq mille soldats qui déferlèrent en Italie pour arriver au secours du Pape, bien que de nombreux hommes n’aient même pas d’armes pour se battre, beaucoup s’étant joint spontanément à l’Ordre. Le commandant de la Quatrième Armée eu le plus grand mal à maintenir la cohésion dans ses troupes, certains envisageant de profiter d’être en Italie pour s’adonner eux aussi à quelques pillages.
La Quatrième Armée arriva cependant à Rome avant tous les autres seigneurs d’Europe et avec la plus grande force qu’aucun autre n’ait levé. Les rebelles, voyant arriver un tel nombre d’ennemis, se rendirent immédiatement sans combattre.
Le Pape lui aussi fut fort impressionné, c’est à cette occasion qu’il prit connaissance de l’existence de l’Ordre des Chevaliers Divins et qu’il lui donna son appui. En remerciement, le Pape livra aux soldats l’équipement des rebelles auquel fut ajouté les couleurs de l’Ordre, sur lesquelles le Pape avait ajouté la croix d’or du patriarche, symbolisant que l’Ordre disposait de son soutien.
La Quatrième Armée fut en partie dissoute, la plupart des hommes sans entraînement furent renvoyés chez eux, laissant tout de même près de deux milliers de soldats et deux cents chevaliers qui stationnent dans plusieurs garnisons de la région de Rome. La Quatrième Armée est donc devenue une force d’occupation de l’Ordre vouée à protéger le Pape.
La Quatrième Armée compte dans ses rangs un très grand nombre de membres de la Castes des Pénitents et est un peu considérée comme à part dans les troupes de l’Ordre.
La Quatrième Armée est toujours en activité.


Cinquième Armée : Créée le 12 février 1146, elle avait pour but d’accompagner des centaines de pèlerins français, espagnols, italiens, germains et anglais jusqu’en Terre Sainte, de les protéger et d’établir une tête de pont pour l’Ordre en Orient.
La Cinquième Armée avait pour ambition de lever une troupe d’environ une centaine de chevaliers et de cinq milliers de soldats, ce qui aurait fait d’elle la plus grande armée professionnelle jamais levée par l’Ordre à ce moment. Mais le 1 mars 1146, le Pape Eugène III appela à la Croisade.
L’entreprise fut alors jugée trop périlleuse et Sopraluk ne souhaita pas s’engager dans une guerre contre l’Orient alors que l’Ordre était encore si jeune.
La Cinquième Armée fut dissoute avant même d’avoir été totalement formée.

Sixième Armée : Corps expéditionnaire créé le 29 juin 1146. Après la dissolution de la Cinquième Armée, de nombreux soldats se retrouvent désœuvrés et souhaitent aller combattre des infidèles. De plus, à ce moment, des nouvelles de l’est parviennent à Sopraluk, la Pologne est opposée à de violents affrontements internes, la noblesse se déchirant et l’Empire Romain tentant d’en tirer parti. Cela laisse le Royaume vulnérable à des hérétiques et à des rebelles qui y sèment le chaos.
Sopraluk rassemble alors les restes de la Cinquième Armée et part vers la Pologne à la tête de deux milles soldats et d’une centaine de chevaliers. En chemin, le Grand Maître engage de nombreux mercenaires slaves, c’est à cette occasion que la Caste des Argents se forme, visant à maintenir un certain ordre dans les rangs des mercenaires employés par l’Ordre.
Au final, l’armée de l’Ordre double en effectif, la moitié est composée de mercenaires slaves. Arrivée en Pologne, la Sixième Armée est opposée à une vive résistance des polonais qui refusent son aide, une bataille menace même de s’engage entre le Roi de Pologne et Sopraluk, mais finalement, les rebelles lancent un assaut sur Toruń au nord du Royaume.
Le Roi présente ses excuses au Grand Maître et tous deux brisent le siège de Toruń. Sopraluk poursuit seul la répression des incursions rebelles en échange de la promesse du Roi polonais de tout faire pour mettre fin à la guerre civile.
La Sixième Armée achève les mouvements rebelles et hérétiques en Pologne mais doit se rendre à l’évidence et repart en France en laissant derrière elle le Royaume en proie aux mêmes troubles qui le minaient à son arrivée.
La Sixième Armée est dissoute le 14 décembre 1146.


Septième Armée : Corps expéditionnaire créé le 8 septembre 1146 durant l’absence de Sopraluk parti guerroyer en Pologne, au moment où des mouvements rebelles ont lieu au Danemark. L’un des officiers de l’Ordre prend lui-même l’initiative de mener une expédition pour venir en aide au Roi, débordé par la situation.
Mais l’Ordre à ce moment est mis à rude épreuve économiquement, les mercenaires slaves engagés dans le conflit en Pologne coûtent chers et ce sont seulement six cents fantassins et une trentaine de chevaliers qui partent pour le Danemark. La Septième Armée a bien du mal à contenir les révoltes, même aidée par l’armée danoise. Le commandant de la Septième Armée fait alors appel à des centaines de mercenaires Varègues pour prêter main forte à ces hommes.
Mais il n’y a pas d’or pour les payer, alors le commandant leur permet de se livrer à des actes de pillages dans les régions qu’ils libèrent des rebelles. Les Varègues se révèlent être d’une redoutable efficacité et les rebelles danois sont mâtés.
La Septième Armée rentre triomphante au pays, mais apprenant les actes de rapines que son commandant a autorisé, Sopraluk entre dans une colère noire et renvoie son officier.
Cependant, le Grand Maître reste très impressionné par les mercenaires Varègues qui malgré leur petit nombre, purent mettre un terme à la rébellion danoise. La Septième Armée est alors maintenue en fonction et est devenue la première armée de réserve de l’Ordre, restant dans la seigneurie de l’Ordre en France. Elle est connue depuis sous le nom de « Garde Varègue » à l’effigie des célèbres gardes du corps de l’Empereur Byzantin. Pour montrer à quel point Sopraluk estime ces hommes, il leur permit d'avoir leur propre blason, ce qu'ils firent en remplaçant la croix patriarche sur le blason de l'Ordre par un loup ainsi que les bandes bleues sur le coin inférieur gauche par des bandes noires cerclées de bleu pour montrer que malgré leur non attachement à une maison, leur loyauté va à Sopraluk.
La Septième Armée est passée sous les ordres du Connétable Charles de Bretagne dont l’autorité et la force ont réussi à lui faire gagner le respect de ses hommes.
La Septième Armée est toujours en activité.




Huitième Armée : Corps expéditionnaire créé le 28 mars 1147, elle est la première armée à être entrée en action dans plusieurs conflits majeurs et à être appelée à plusieurs reprises sur des terrains différents. Elle est connue également pour ses nombreuses péripéties qu’elle vécut au cours de ses campagnes.
Créée et commandée par Sopraluk afin de mettre un terme aux agissements rebelles en Espagne, la Huitième Armée est à l’origine composée d’un millier de soldats et de quelques trois cents chevaliers. La Huitième Armée arrive à Saragosse et doit faire face à une première attaque rebelle particulièrement féroce que l’armée repousse avec difficulté.
S’enfonçant plus loin dans les terres espagnoles, une nouvelle attaque ennemie force la Huitième Armée à se replier vers le sud en territoire Maure. Là, les effectifs doivent être comblés avec des mercenaires ibères. Puis, alors qu’elle repart vers le nord, l’armée est interceptée par des Maures. Ceux-ci sollicitent Sopraluk pour les aider à mettre un terme aux affrontements opposants catholiques et musulmans dans la région qu’ils traversent.
La Huitième Armée intervient aux côtés des Maures et parvient à rétablir le calme. Repartant vers le nord, elle fait face de nouveaux aux rebelles espagnols. La bataille s’engage et bientôt, les rebelles sont exterminés.
Mais le Roi espagnol au courant de l’aide que l’Ordre a apporté aux Maures, attaque l’armée de l’Ordre qui bat en retraite en territoire Maure. Là, Sopraluk est forcé de descendre vers le sud pour tenter de rejoindre la France par la mer. L’armée doit alors subtiliser des navires aux Maures qui refusent de leur en céder, craignant que dégarnir leur flotte encouragerait les espagnols à attaquer.
Poursuivie par la flotte Maure, l’Ordre est contraint de livrer une bataille navale contre leurs poursuivants mais il parvient miraculeusement à remporter la victoire malgré l’inexpérience de ses soldats en ce qui concerne le combat en mer. La flotte arrive finalement en France.
La Huitième Armée sera également appelée à prendre les armes en septembre 1148 pour repousser un assaut rebelle sur la ville de Dijon puis se verra entraînée jusqu’en Hongrie à la poursuite de l’armée rebelle en déroute dont elle finira par perdre la trace.
Elle interviendra une seconde fois en Espagne pour de nouveau mettre un terme à des conflits opposants chrétiens et musulmans, aucune mésaventure ne les y attendra cependant.
La Huitième Armée est une nouvelle fois mobilisée en avril 1149 pour repousser une flotte pirate au sud de Marseille, étant la seule force de l’Ordre à avoir une quelconque expérience du combat maritime. Mais suite à une tempête, la flotte de l’Ordre s’échouera en Corse où elle devra faire face à l’Evêque de Pise. En charge de la régence de l’île, il reproche lui aussi à la 8ème Armée d’avoir collaboré avec les Maures durant la campagne d’Espagne.
Sopraluk est contraint de combattre l’Evêque zélé et réussit à s’échapper avec les quelques survivants de la Huitième Armée.
Finalement de retour dans son fief, Sopraluk dissout la Huitième Armée trop affaiblie, qui sera considérée comme la plus malchanceuse des forces militaires de l’Ordre.
Ses effectifs varièrent de deux milles hommes à seulement cent vingt-deux survivants qui revinrent en France suite aux combats en Corse.


Neuvième Armée : Corps d’armée qui aura connu le plus de conflits. Créé le 15 octobre 1149 avec les restes de la Huitième Armée et avec de nouvelles recrues attirées par la réputation grandissante de l’Ordre, elle n’avait pas de tâche précise mais était destinée à pouvoir intervenir rapidement sur n’importe quel terrain en Europe.
Ses effectifs ont énormément varié avec le temps. A la base, elle est constituée de quelques deux milles piétons et de quatre cents cavaliers. Elle aura également recours en grande quantité à des agents de terrains qui peuvent s’infiltrer derrière les lignes ennemies pour y faire le plus de dégâts possibles, chose rarement faite auparavant.
La Neuvième Armée commence modestement en matant quelques rebelles français menés par Raymond de Bourget et en capturant l’hérétique germain Dehsastre. Mais elle découvre par ce fait l’existence de Die Koalition der Gerechten, une coalition d’hérétiques.
Suite à cette découverte, la Neuvième Armée part en Pologne sur la trace de cette mystérieuse coalition et l’un de ses agents nommé Grauchy qu’elle capture également.
Dans le même temps, une partie de la Neuvième Armée aide le Saint Empire Romain à se défendre contre les attaques des rebelles avec succès et permet de rendre l’Empire un peu plus sûr quelques temps.
Très peu de temps après, la Neuvième Armée suit la trace d’un autre hérétique, un italien qui tente de franchir les Alpes et de se cacher en France. Les agents de terrains de Sopraluk repèrent l’hérétique et l’abattent avant qu’il ne puisse disparaître dans la nature.
Suite à l’interrogatoire de l’hérétique Grauchy, la traîtrise du baron français Derbroumer apparaît, ce dernier semblant vouloir semer le chaos en Terre Sainte où il a été envoyé dans le cadre de la Seconde Croisade en se faisant passer pour un vrai catholique.
Sopraluk décide alors de prendre part à la Croisade afin d’aller châtier ce traître.
La Neuvième Armée est rejointe par la Dixième Armée créée spécialement pour participer à la Croisade, la Dixième Armée servant d’avant-garde, la Neuvième Armée n’aura pas à subir les mêmes pertes qu’elle.
La Neuvième Armée est toujours en activité, menée par le Seigneur Sopraluk, elle stationne dans le Saint Empire actuellement. Ses troupes sont nombreuses, composées de soldats voulant se joindre à la Croisade et de mercenaires. Ses effectifs se sont élevés à cinq mille fantassins, un millier de cavaliers et trois-cents chevaliers.


Dixième Armée : Créée le 15 juin 1151, la 10ème Armée a pour unique objectif d’aller en Terre Sainte pour accompagner la Neuvième Armée dans sa quête, c’est à dire punir le français Derbroumer pour sa trahison.
Formée à partir de nombreux volontaires voulant participer à la croisade, et de nombreux membres de la Neuvième Armée, elle comptait dans ses rangs plus de quatre mille fantassins, cinq cents cavaliers et d’à peu près deux cents chevaliers chargés de les diriger.
La Dixième Armée fut mise sous le commandement d’Edouard de York, dit le Boiteux, et fut l’avant-garde de la Neuvième Armée.
Elle dut faire face à des embuscades tendues sur sa route par des brigands et dut venir en aide aux pèlerins qui l’accompagnaient, capturés par des rebelles.
La Dixième Armée fut rejointe par la Neuvième Armée pour mener une bataille contre de nombreux hérétiques qui retenaient captif l’un des chevaliers de l’Ordre. L’Ordre remporta une grande victoire mais les deux armées y perdirent de nombreux hommes. La Neuvième Armée compensa ses pertes en prenant des soldats dans la Dixième Armée, rendant cette dernière plus vulnérable.
Arrivée en Hongrie, la Dixième Armée partit seule en avant afin d’assurer un passage sûr à travers le Royaume en proie à la guerre civile. Elle dut faire face à quelques brigands qu’elle repoussa aisément mais se rendit compte que le Royaume était non seulement disputé par deux frères rivaux mais par le dirigeant d’une secte païenne nommé « L’Ordre du Svarog » où appelé « Svarog » tout simplement.
La capitale hongroise étant assiégée, la Dixième Armée prit d’assaut la forteresse de Kastély pour permettre aux armées hongroises de la rejoindre. Les chevaliers de l’Ordre purent faire la connaissance du Roi de Hongrie, Guy, un homme fourbe et cruel mais soutenu par le Pape.
La Neuvième Armée lança une vaste opération en collaboration avec l’armée hongroise dans le but d’écraser toute résistance des Svarogs ainsi que de celle du frère de Guy, Philippe.
Mais les informations sur lesquelles se basaient le Roi hongrois s’avérèrent être fausses, livrées intentionnellement par Véraldus, le chef de « L’Ordre du Svarog ».
S’ensuivit une immense défaite et la Dixième Armée fut presque réduite à néant. De plus, les agents de l’Ordre furent informés que partout en Europe, des attaques étaient menées par Die Koalition des Gerechten contre les places fortes de l’Ordre.
La situation actuelle de la Dixième Armée est très incertaine.

Génial l'historique de l'Ordre, ce que vous avez pu inventer c'est énorme on puorrait faire un bouquin !! Bravo Squall

pas mal de nouveautés depuis la dernière fois ...

Sopraluk et toi vous êtes des génies

C'est sur, sans vous le forum ne survivrait pas

bah tiens pour changer.....grmbl vous etes enervants, vous essayez tout le temps de trouver des trucs pour qu'on vous toruve géniaux mais vous ne faites que vous enfoncer dans la médiocrité la plus ottale...non mais stop la ça va plus.si ça continue je donne pas cher de la pérennité de notre Ordre....

Delpherion a écrit:

bah tiens pour changer.....grmbl vous etes enervants, vous essayez tout le temps de trouver des trucs pour qu'on vous toruve géniaux mais vous ne faites que vous enfoncer dans la médiocrité la plus ottale...non mais stop la ça va plus.si ça continue je donne pas cher de la pérennité de notre Ordre....

Hé oui...mais c'est plus fort que moi de vouloir détruire l'Ordre, mes origines Svarogs surment...

J'aurais bien aimé savoir comment ta fait pour confectionner ce blason.

C'est Sopraluk qu'il l'a fait.

Le-Nain a écrit:

C'est Sopraluk qu'il l'a fait.

Bon ben j'voulais répondre mais j'ai manifestement été devancé.

ok ok, faudra qu'il me donne les détails.

je suis tombé ya quelque temps sur un programme qui permettait de faire des blasons...je vous raconte pas les merveilles que je suis arrivé a faire ^^ mais j'ai perdu l'adresse.....

Citation :

bah tiens pour changer.....grmbl vous êtes énervants, vous essayez tout le temps de trouver des trucs pour qu'on vous trouve géniaux mais vous ne faites que vous enfoncer dans la médiocrité la plus totale...non mais stop la ça va plus. Si ça continue je donne pas cher de la pérennité de notre Ordre....

Désolé Delpherion, encore un truc qui va te mettre les glandes.
Navré que ça te déplaise tant mais moi j'aime bien, ça m'occupe quand j'ai une panne d'inspiration. ^^

La structure de l'Ordre

Le Grand Maître : Le Grand Maître est la figure de proue de l'Ordre, il est l’autorité suprême de l'Ordre même si en théorie, le Pape lui est supérieur.
Il a un rôle de chef militaire et de chef politique, il est le seul à pouvoir décider de l’engagement de l’Ordre dans une campagne militaire, même si le Pape peut largement inciter, voir ordonner, aux chevaliers de l’Ordre de participer à une croisade au nom de Dieu.
Le Grand Maître peut former une armée à tout moment en mobilisant les effectifs stationnaires dans les chapitres de l'Ordre disséminés dans certaines villes en Europe de l'Ouest principalement. En tant que chef militaire, il peut mener ses troupes au combat, il n’a à consulter personne pour prendre ses décisions même s’il a à son service de nombreux conseillers.
Le Grand Maître actuel est le Seigneur Sopraluk, le Fondateur de l’Ordre. La question de son éventuelle succession n’a été que peu abordée jusqu’à présent.


Le Maréchal : Personnage unique dans l’Ordre, il est en quelque sorte le second dans la hiérarchie de l’Ordre, juste derrière le Grand Maître. Le Maréchal a un rôle purement militaire, ayant en charge les forces armées de l’Ordre. Il ne répond de ses actes qu’au Grand Maître.
Etant le chef des Armées, il est responsable de la discipline et de l’entretien des troupes. Lorsque le Grand Maître ne participe pas à une campagne, c’est lui qui en est le commandant.
Il a à sa disposition plusieurs officiers qui sont chargés de le seconder, généralement, des commandants aspirants au rang de connétable.
Il a été convenu qu’à la mort du Grand Maître, il serait chargé de faire annoncer la nouvelle dans tous les chapitres de l’Ordre et de réunir ses plus importants éléments afin de procéder à des discussions visant à l’ascension d’un nouveau Grand Maître. Il serait donc le dirigeant de l’Ordre le temps qu’un nouveau Grand Maître se présente.
Le Maréchal est un ancien connétable qui s’est distingué aux yeux du Grand Maître qui le nomme pour le seconder.


Le Grand Intendant : C’est le troisième dans la hiérarchie de l’Ordre, derrière le Maréchal. Le Grand Intendant a un rôle administratif de première importance dans l’Ordre, c’est pourquoi il arrive qu’il soit tout de même considéré comme étant plus important que le Maréchal.
Il est chargé de régner sur la seigneurie d’origine du Grand Maître Sopraluk, en France. Il est également le trésorier de l’Ordre. Il gère donc toutes les transactions financières de l’Ordre et est le Commandant de la flotte de l’Ordre basée à Marseille, étant donné que beaucoup des échanges commerciaux se font par cette ville.
Il s’occupe également de répartir les troupes dans les chapitres de l’Ordre, selon leurs besoins où les risques pesants sur eux.
En plus des transactions financières, il est responsable de la logistique de l’Ordre. Il doit gérer l’approvisionnement des troupes parties en campagne en vivres et vêtements aux armoiries de l’Ordre. Il peut être chargé d’établir le plan de route d’une armée en campagne afin que l’approvisionnement se déroule sans heurt auprès de la population locale.
Et enfin, il a en charge de maintenir la cohésion entre les chapitres de l’Ordre et il dicte donc la conduite générale que doivent suivre les Intendants.
A cause de ses énormes responsabilités, le Grand Intendant a à son service de nombreux conseillers et auxiliaires chargés de l’assister. Son grade est plus élevé que celui d’un Connétable.


Les Intendants : Il s’agit des chevaliers de l’Ordre chargés de commander les chapitres de l’Ordre. Leur tâche est donc administrative mais aussi militaire car ils peuvent être appelés à mener des actions armées sur leurs terres ou à devoir répondre à l’appel du Grand Maître si ce dernier demande leur appui pour former une nouvelle armée de campagne, ce qui à un schéma féodal classique.
Les intendants sont généralement d’anciens seigneurs terriens qui ont rejoint l’Ordre dans ses premières années et qui sont devenus trop âgés pour mener de longues campagnes. Le grade d’intendant est l’équivalent de celui de commandant.
Les Intendants doivent régulièrement rendre des comptes au Grand Intendant et reçoivent des instructions de lui ou bien du Grand Maître directement. Ils veillent à l’entretien des troupes qui stationnent dans leur chapitre, à leur entraînement et doivent héberger les armées de l’Ordre en campagne qui passeraient par leur chapitre.
Ils ont à leur charge les écuyers de l’Ordre. Ils les engagent et doivent veiller à leur formation dans tous ses aspects.

grmbl.... faudrait leur donner des noms, et les inclure dans la lsite des PNJ ^^
si t'as rien a faire, continue le pot de miel ^^

Les Frères Chevaliers : Les Frères Chevaliers sont le corps principal de l’Armée de l’Ordre : ceux sont les officiers et les soldats qui vont combattre sur le champ de bataille.
Contrairement à l’Ordre du Temple où la distinction entre Frères Sergents (des soldats venant de la paysannerie ou de la bourgeoisie) et les Frères Chevaliers (des soldats venant de la noblesse) est faite, dans l’Ordre des Chevaliers Divins, il suffit d’être promu officier pour devenir chevalier.
Seuls les simples soldats ne sont pas considérés comme des chevaliers, les officiers eux, sont sacrés chevaliers dès le grade de sergent.
Voici les différents grades communs dans l’Ordre :

Sergent : C’est le premier grade accessible à un simple soldat, lui donnant accès alors au titre de chevalier. L’Ordre, ne souhaitant pas donner le rang de chevalier à des mercenaires ou bien à quelques gueux qui ne participeraient qu’à une bataille pour profiter de quelques larcins après le combat, a donc choisi de ne nommer chevalier que les gradés.
Le sergent n’a pas d’énormes responsabilités et il est très rare qu’on le nomme chef de mission à moins que les circonstances l’exigent. Il a surtout pour rôle de maintenir l’ordre et la discipline dans les rangs, par exemple, dans le cadre d’une bataille qui tournerait mal.
Un sergent peut avoir sous ses ordres jusqu’à une centaine d’hommes au maximum et doit seconder un lieutenant. Un sergent doit avoir une très forte autorité sur ses camarades afin que les ordres des officiers supérieurs soient respectés et il doit être capable de montrer l’exemple au combat.

Lieutenant : Second grade accessible, un lieutenant a déjà de plus grandes responsabilités. Selon les circonstances, il peut à lui seul devoir mener des troupes relativement nombreuses, surtout lors d’une bataille rangée où il est généralement assigné à une aile de l’armée.
Les lieutenants ont généralement à mener des missions ou des objectifs de faible importance lorsque de plus hauts officiers sont présents.
Un lieutenant peut commander jusqu’à cinq cent hommes. Un lieutenant peut donc avoir sous ses ordres jusqu’à cinq sergents selon les effectifs de son unité. Il a pour rôle essentiel de faire l’intermédiaire entre les sergents et les officiers plus gradés. Ce grade demande autant d’autorité qu’un sergent mais nécessite également quelques notions de stratégie, un piètre tacticien n’ira jamais plus loin que ce grade s’il n’est pas suffisamment compétent.

Capitaine : Bien que l’Ordre prône l’égalité entre ses membres, rares sont les capitaines qui sont issus du bas peuple. Beaucoup d’excellents lieutenants ne sont pas promus car ce sont les capitaines qui s’occupent de gérer l’ascension hiérarchique des membres de l’Ordre jusqu’au grade de capitaine.
Cette réticence s’explique par le fait que beaucoup de nobles ayant de bonnes aptitudes stratégiques sont directement intégrés à l’Ordre au grade de capitaine et parfois même au grade de commandant. Cela crée donc certaines inégalités au sein de l’Ordre entre officiers selon leurs origines.
Un capitaine a d’importantes responsabilités, on leur confie souvent la plupart des missions de l’Ordre et il n’est pas rare qu’en campagne, certains participent aux conseils tenus par les responsables de la campagne, ce qui parfois inclut le Grand Maître.
Ses effectifs peuvent aller jusqu’à un millier d’hommes, parfois le double dans certains cas exceptionnels, ce qui met donc sous leurs ordres deux lieutenants et donc indirectement une dizaine de sergents.
Un capitaine élabore la stratégie à adopter durant une mission, confie leurs objectifs à ses sous-officiers et sur le champ de bataille. Ils doivent veiller au bon déroulement des opérations.
Il devient difficile de progresser dans la hiérarchie à partir de ce grade. Il faut pour cela acquérir une certaine renommée auprès de ses troupes et de ses officiers, car c’est aux connétables qu’il revient de décider des promotions à partir du grade de capitaine.
Un capitaine voulant passer commandant devra donc nouer des relations au sein de l’Ordre, réussir à entrer dans les bonnes grâces d’un supérieur ou bien devenir particulièrement célèbre auprès de ses troupes pour se faire remarquer.

Commandant : Un commandant est un haut gradé de l’armée de l’Ordre. Il n’est pas rare que l’un d’entre eux mène un Corps d’Armée en campagne, il a même l’autorité nécessaire à la création d’une armée de campagne.
Un commandant n’est donc pas limité dans le nombre de troupes qu’il peut avoir sous ses ordres, mais en général, il aura environ quatre capitaines à son service. Un commandant est apte à prendre bons nombres de décisions stratégiques mais ne peut prendre des décisions politiques qu’en des cas d’extrême force majeure c’est-à-dire, lorsqu’il ne peut en référer à une autorité supérieure.
Ses pouvoirs sont très variables selon les situations. S’il est le meneur d’une Armée de Campagne, il a donc toute autorité sur ses troupes, mais ne peut modifier les objectifs de la campagne qu’avec l’accord du Grand Maître ou du Maréchal. S’il est placé sous l’autorité d’un supérieur, un connétable, le Maréchal ou même directement sous le Grand Maître, il sera en général chargé de diriger une partie de l’armée de campagne et souvent, il mènera l’avant-garde de l’armée.
Un commandant peut demander à être nommé Intendant d’un chapitre de l’Ordre déjà existant, ou bien à en former un avec l’accord du Grand Maître.

Connétable : Plus haut échelon de la hiérarchie militaire de l’Ordre avant Maréchal, l ’Ordre ne compte que très peu de connétables dans ses rangs. Ce sont des commandants qui se sont particulièrement illustrés auprès du Grand Maître, c’est en effet lui qui les choisit directement. Un connétable peut avoir des fonctions militaires ou politiques, ou peut même cumuler les deux à la fois. Il peut mener une armée en campagne ou bien être dans l’entourage du Grand Maître comme conseiller.
Généralement, un connétable dirigera donc une armée de campagne ou secondera le Grand Maître ou le Maréchal si l’un de ces derniers mène la campagne. Il peut également être chargé de gouverner un chapitre pendant un temps. Alors, un intendant devra prendre sa place après un an sinon, le connétable sera lui-même nommé Intendant. Rares sont ceux qui le souhaiteraient étant donné que cela équivaudrait à une rétrogradation.
Les connétables sont très respectés au sein de l’Ordre car ils ont su prouver leur valeur à de nombreuses reprises, que ce soit au niveau stratégique ou physique.

Ecuyer : Les écuyers sont à part dans la hiérarchie de l’Ordre.
Généralement, ce terme désigne un jeune homme chargé d’assister un chevalier en portant son écu armorié lors des tournois, de s’occuper de l’équipement de leur maître ainsi que de celui de la monture de ce dernier. Ainsi, le jeune homme apprenait le rôle de chevalier pour un jour en devenir un lui-même. Cette fonction existe dans l’Ordre, les chevaliers à partir du grade de lieutenant peuvent prendre sous leur tutelle un jeune garçon qu’ils doivent alors former comme chevalier, en échange de quoi, le jeune homme s’occupe de l’équipement de son maître et peut l’accompagner sur le champ de bataille s’il est jugé apte de se battre.

Cependant, il existe une autre sorte d’écuyers, appelés familièrement « Ecuyers de Chapitres ». Voyant les limites du recrutement de l’Ordre, principalement des hommes de modestes origines, beaucoup sans expérience ou bien des mercenaires, le Grand Maître Sopraluk décida de créer ce rang afin d’assurer la pérennité de l’Ordre.
Les écuyers de Chapitres sont de très jeunes gens que l’Ordre prend sous sa protection afin d’en faire de futurs chevaliers qui défendront ses couleurs une fois adultes. Il n’est nullement nécessaire d’appartenir à la noblesse pour être écuyer, au contraire, la plupart sont d’origines très modestes, orphelins pour beaucoup d’entre eux, la guerre ayant emporté leurs familles. D’autres sont des fils de chevaliers de l’Ordre placés dans les chapitres afin qu’ils suivent la même voie que leurs pères et d’autres enfin, sont des enfants dont les parents ont souhaité un meilleur avenir que la paysannerie.
Les écuyers de Chapitres vivent donc dans les chapitres de l’Ordre disséminés partout en Europe. Ce sont les Intendants qui sont chargés de les former, mais ils laissent bien sûr cela à leurs officiers. Ce sont de véritables académies militaires que l’Ordre a donc créés, les écuyers y recevant une instruction très poussée pour ceux dont les capacités sont repérées par leurs instructeurs.
Les écuyers forment donc l’avenir de l’Ordre, ce qui prouve bien qu’il a l’intention de se pérenniser.

Squall tu travailles trop, mais je sens que c'est génial, je lirai tous ce chef-d'oeuvre en rentrant des cours.

Très très instrucif.

Très beau travail, je pensais aussi que ce serait marrant de faire monter en grade certain PNJ.

arf il nous reste encore du chemin !!!!! la plupart de nous ne sont que sergent, et le resteront encore un bon bout de temps....

Moi j'aurais hâte d'être connetable

je t'aurai bientôt rejoin au titre lieutenant