Le mercenaire et le chevalier

Voila j'ai retrouvé un peu de motivation et j'ai décidé de finir une bonne fois pour toute l'histoire de Peter .Voici la première partie du récit .


rappel :Peter a quitté l'ordre car il ne pouvait plus supporter de ne pas pouvoir vanger sa famille massacré par des félons.Il a décidé de chatier tout les féolon et de récuperer son fief ,au passage il a enrolé un mercenaire du Valdemar Dent-Bleu


Le feu, le sang ,la peur, le fer.

Tel furent quelques unes des choses parmi tant d’autres que ressentirent ce jour là les habitant de Görlitz ,petit village sans interêt des marches orientales de la Saxe.
Ils survinrent au matin ,alors que les habitants allaient au champs pour la moisson. 100 hommes de guerres ,hirsutes et hurlants tels des barbares des temps anciens .Les moissoneurs furent fauché par des haches et des flèches. Tandis que dans le village tout le monde rassemblait des affaires avant de s’enfuir pour des cachettes en forêt talonés par les pillards.
En ces temps troublés ,tout village devait être prêt a affronter ,de quelque manière que se soit ,l’arrivée de brigands chez eux.
Mais ,alors qu’il arrivaient en lisière de la forêt , les paysans épouvantés virent pointer entre les arbres une ligne de cavaliers couvert de fourrure et fer tel de grands chef saxons d’avant la conquète de Charles le Grand .
Mais les paysans ,tout saxons qu’ils étaient ignoraient tout du premier Empereur ,comme de leurs ancêtre païens ,et il allaient le rester car ils furent piétinés et sabrés par les cavaliers qui rejoignirent leurs compagnons pour ravager le village.
Des toits de chaumes brûlèrent ,des cris de filles violée se firent entendre ,des hurlement de villageois retardatairs ,carbonisés vif dans leurs propres foyers.
Partout dans le village et les environs se ne furent plus que pillages, meurtres et viol.

Tels étaient les lois de la guerre.

Tels étaient les seules lois que Valdemar Dents Bleues respectaient.




Les mercenaires les appliquaient toujours avec autant de zèle en fin d’après midi .Valdemar après avoir eût son soûl de pillage ,coordonnait les efforts de ses brigands .4 autres villages étaient en feu plus loin .

-« fichtre ! s’exclama le Suédois goguenard, voilà un moment que je n’avaient aussi bien combattu et ripailler ,voici un spectacle qui devra beaucoup moins plaire à votre ennemi qu’à moi. Si j’était lui j’accourais au plus vite avant de ne plus avoir aucune pucelle sur mes terres pour m’amuser .Et il éclata d’un rire gras.

-Waldhufen n’est pas loin ,il ne devrait plus tarder répondit sombrement l’autre.

-<<Dessa Germaner har faktiskt ingen humor>> dit Valdemar dans sa langue.

-Je ne sais si cela est vrai ,mais en tout cas je crains que le moment ne soit pas choisit pour de l’humour.

-Comme il plaira à monseigneur Peter acheva Valdemar dans une caricature de parler servil –noble .



Une colonne de fumée commençaient à s’élever au loin ,vers le nord-ouest .Bientôt se distinguèrent des bannières ,parmi lesquelles prédominaient le chevron de gueules sur argent des Waldhufen.

Valdemar distingua 700 hommes dont peut être une centaine de chevaliers.Les nobles de ces terres étaient riches et on le voyait en distinguant haubert de facture précise ,grand heaume de fer ,et tuniques bariolés de divers emblêmes. Derrières les hautains chevaliers venaient au petit trot gueux et sergents .Waldhufen devait avoir rassemblé en hâte les hommes présents à l'intérieurs et autours des château sur la route et les avaient fait venir à marche forcée .Voila qui était bon ,les troupes de l'ennemi ne seraient plus de première fraîcheurs une fois au combat.

Celles-ci ,après avoir repéré les forces de Peter, commençaient à s'aligner en position de combat.La force ennemie progressait à présent de façon uniforme et implacable.

Un chevalier s’en détacha et courra au galops vers Valdemar et Peter. Il arrêta son cheval à 10 mètre de la ligne de cavaliers dont Valdemar et Peter faisait partie et prononça d’une forte voix de hérault.
-« moi ,Heinrich de Cornbourg parle au nom de monseigneur Ulrich de Waldhufen ,celui-ci malgrés la fureur que lui inspire le massacre injustifié de ses sujets est prêt à régler ce litige à l’amiable . C’est pourquoi il vous fait une génér…

-Hahahaha !s’est toujours pareil avec ses gras de nobles et pourtant j’en rit à chaque fois plus ! s’exclama Valdemar .

-… C’est pourquoi il vous fait une généreuse proposition : rentrez immédiatement vos armes et vos brigands et il vous garantit la vie sauve ,vous serez aussi libre de garder les fruits de vos maraudages. Allons ! Y’a t-il parmi vous un chef qui puissent représenter votre armées ?

-Ecoute moi Heinrich ,lui cria Peter ,car je me souviens bien toi et de ton arrogance du temps ou tu dînait encor aux côtés de tes vrais seigneurs, dit à ce félon de Waldhufen que Peter von soukhen ,8 ème baron légitime de ces terres par la grâce de Dieu et du Kaiser ,à une autres proposition à lui faire. Qu’il dépose lui même armes et bannières ,lui ainsi que tout ses vassaux et peut être que son suzerrain daignera le prendre en pitié. Qu’il mette ses épées au service du chatiment des félons qui se promènent depuis trop longtemps. Et si il ne me croit pas ,présente lui ceci ,c’est une franchise de l’empereur Frederic I qui me garantit le contrôle de la barronie et le droit de combattre touts opposants. »

Là –dessus , Peter jetta un rouleau de parchemin au pieds de la monture du chevalier .Il regarda un instant le rouleau ,puis son interlocuteur comme si il n’en croyait pas ses yeux et enfin se rembrunit ,daigna descendre de son paleffroi pour ramasser le parchemin .Et retourna vers sa propre armée qui entre-temps s’était avancée jusqu'à Görlitz.

Depuis la colline où il se trouvait ,Valdemar vit Cornbourg parler au seigneur Ulrich de Waldhufen . A un moment il y eût une vive agitation parmis les chevaliers qui le suivaient , une dispute entre le seigneurs et l’un d’entre eux , puis un jeune chevalier quitta l’armée ennemie et voulu se diriger vers la colline. Mais il n’en eût pas le temps car Ulrich avait entre-temps saisi sa lance la planta dans le dos du chevalier.






Un silence de mort s’abattit sur l’armée ennemie ,puis peu à peu des injectives furent lancées et les 300 hommes de Waldhufen se mirent en ordre de bataille .



-Ma foi ,j’ai bien peur que monter sur vos grands chevaux ne vous aura servit à rien « tout puissant baron « dit Valdemar à Peter.

-J’ai bien peur que si justement ,ma maison à toujours été plus populaires que celle de Waldhufen et après l’incident que nous avons vu ,leurs troupes se battront certes ,mais avec peu d’entrain ,de plus nos hommes dispersés dans les villages ont eût le temps de nous rejoindre.
Chevaliers !hurla Peter ,A LA BATAILLE !

Là dessus fourure et artifices de pauvres brigands disparurent des cavaliers pour laisser place à la maille et aux tuniques au couleurs des maisons fidèles. Et d’un mouvement ,100 chevaliers dégainèrent les épées .Et derrière eux apparurent sergents et paysans.


-Pour Dieu et le Reich ! hurla de nouveau Peter en levant la sienne.
-Pour Dieu et le Reich ! répondirent des centaines de voix autours.
-Pour l’honneur et la gloire !
-Pour le baron Peter et son armée !

Et l’ost s’ébranla.

YEAH!!!!!!!

Je vais me lire ça tout de suite moi !

( le grand retour de Pete dans l'Ordre ?! )


EDIT : oh yeaaaaaaaaaah!...j'ai tout lu. La suite ?

POUR LE REIIIICH!!!!

A la tête de leur armée , Valdemar et Peter dévalèrent la colline sus à l’ennemi .La poussière se souleva autours des sabots des destriers et les pieds des hommes d’armes .Déjà ,les razzieurs resté en bas combattait l’infanterie ennemie tout en se repliant jusqu'à rejoindre leurs compagnons .Quand l’armée de Peter fut totalement rassemblée ,les félon suspendirent leur assaut .
A une trentaine de mètres l’une de l’autre , les deux armées s’observèrent .
Il y eût un instant de flottement ,comme lorsque anciens amis et alliés se préparaient à tuer leurs frères ,à s’enduir du sang de ceux avec qui il discutait aimablement.
Puis se fût la première flèche ,le premier tué ,une grande clameur s’éleva et sans avoir bien compris comment ,tout les hommes se retrouvèrent à se battre entre eux.

Les paysans et les sergents se combattaient à pied avec gourdins et poignards tandis que les chevaliers et écuyer fendaient la mêlée pour se combattre entre nobles, brandissant leur épée de grand prix et leurs écus blasonnés de leurs armoiries.
Un homme d’arme transperça le coup d’un destrier de sa vouge, le chevalier tomba, vit sa dernière heure arriver en même temps que la vouge se levant, et fût inondé du sang du fantassin décapité par un autre cavalier.

Un autre chevalier, jeune et fougueux, faisait merveille de sa lame et tranchait gorge et poitrail avec une facilité qui donnait l’impression d’assister à des balais, il hurla de joie après avoir abattu un haut baron et se tût lorsqu’un carreau transperça son haubert et se ficha dans son cœur.

Moins élégantes étaientt les manières guerrières de Valdemar, qui lui n’avait jamais connu de maître d’arme et avait tout appris sur-le-champ de bataille. Il balançait coup de hache et de poing sur ceux qui avaient le malheur de s’opposer à lui. Un sergent à cheval arriva par derrière et tenta de l’étrangler de ses seules mains, il hurla de douleur lorsque le Suédois lui arracha un doigt avec ses seules dents et se tût lorsque la hache lui perça sa tête dénudée qui explosa dans une gerbe de sang et de cervelle. Un homme d’armes armé d’une guisarme lui balança un coup et la pointe se ficha dans la hanche de Valdemar qui fût tirés en bas de sa monture tout en criant des jurons en Varègue. Une fois a terre il fit un croc-jambe a son ennemi et se leva en ramassant la guisarme et donna des coups violents et répétés à l’homme à terre en criant <<salaud ! salaud ! >>.
Il regarda aux alentours et reconnu difficilement un Peter rouge de sang qui surgit à sa gauche.

« Il faut donner le signal, nos hommes faiblissent ! «

-Je sais ! Carlsen ! Carlsen où est-tu bougre de crétin ! ?

Mais son homme était immobile, couché sur sa monture, trente mètres plus loin, une lance plantée dans le dos. En jurant dans leurs langues respectives le Germain et le Suédois foncèrent à sa rencontre distribuant coup de hache et de masse d’arme à gauche et à droite. Arrivé à la hauteur de la monture du moribond, Peter se saisit d’une lance empanachée d’un drapeau colorée tombée à terre et la leva bien haute en la remuant.


Dans le village de Görlitz derrière le champ de bataille, un guetteur qui se cachait depuis au moins une heure dans le clocher de l’église, vit la bannière et saisit le cor qu’il portait à la ceinture. Il souffla une note grave et forte qu’entendirent tous les hommes de Valdemar qui s’étaient caché dans les caves et les maisons du village peu avant l’arrivée de l’armée ennemie.
Les mercenaires ne portait qu’un mélange hétéroclite de pièce d’armure et d’armes ramassées sur les champs de bataille, dans une autre situation, personne ne se serait aventuré à dire qu’ils avaient fier allure, mais pour les hommes de Waldhufen se fût une vision de châtiment divin.
Ludwig n’était qu’un pauvre laboureur qui dût combattre avec sa fourche contre des gens qu’il connaissais bien, des amis. Son cœur était serré par le doute depuis qu’il avait reconnu le fils du baron Soukhen. Comme beaucoup de pauvres hères ,il était des plus supersticieux et pour lui rien n’était moins normal que de combattre ses seigneurs ,qui de plus avaient toujours été bons ,et surtout quand le seigneur était un Chevalier Teutonique ,un homme d’honneur qui avait voué sa vie à Dieu. Lorsque des hommes armés surgirent dans son dos ,ses dernières réserve l’abandonnèrent et il décida de quitter ce combat en courant et retourner à sa place dans son champs ,se ne serait pas lui qui s’opposerait à se qu’il prennait pour la volonté du Seigneur.
Bien d’autres hommes eurent des pensée semblable et se fût une débandade générale sur l’arrière des seigneurs félons. Conformément aux instructions de Peter , les mercenaires se contentèrent de passer à travers la masse de fuyard pour aller affronter ceux qui continuaient à combattre.
Ils n’y eût bientôt plus la moindre organisation chez les Waldhufen, bien qu’ils étaient supérieurs en nombre leurs troupes se débandèrent et s’enfuirent en tout sens. Ca et là ,un seigneur réussissait à rassembler quelque hommes autours de lui mais ils finissaient toujours par être massacrés par les troupes de Peter qui progressaient et tuaient à présent de façon organisée et mécanique.
Une flèche se planta dans le cheval de Peter qui s’effondra ,ce dernier se releva et contempla son destrier qui agonisait .Il n’avait pas de nom ,trop de chevaaux étaient mort sous Peter et le fait de leur en donner un rendait toujours leurs disparitions plus douloureuses. Néanmoins celui-ci suivait son maitre depuis qu’il était entré dans l’Ordre Divins et une grande tristesse assaillit Peter .La flèche étaient plantée dans le ventre et tout hommes de guerre aguerrit savait se que cela signifiait : une mort lente ,douloureuse et puante.
Peter sortit son poignard et passa sa lame sous la gorge de sa monture. Celle-ci remua d’abbord puis s’immobilisa ,comme un homme exténué qui décidait de se coucher pour dormir.
Il contempla le cadavre quelques instants ,puis tourna la tête lorsqu’il entendit sur sa droite un bruit de galop se rapprochant et des vociférations . Il reconnu Ulrich de Waldhufen qui se précipitait vers lui en brandissant une épée poissante de sang .Un chevalier tenta de l’arrêter et son sang gicla lorsque sa gorge fût tranchée d’un coup rapide. Peter se précipita vers un mort et en saisit l’épée à deux mains .
Il la brandit en signe de défi à Waldhufen et celui –ci accélera . Ils hurlèrent tout les deux en levant leurs épées respectives .Dans la visière de son heaume ,Peter vit l’épée se précipiter vers lui ,alors il balança son estramaçon de toute ses forces contre le poitrail du cheval de son ennemi.
L’épée de Waldhufen rencontra l’acier du casque avec force et Peter fût projeté en arrière tandis que le cheval hennissant de douleur se cabra et roula plus loin avec son cavalier .
Le Germain se releva ,enleva son heaume défoncé et se précipita sur Waldhufen écrasé sous le cadavre de sa monture. Celui-ci implora pitié mais Peter n’en avait cure ,il balança son poing ganté de fer contre le visage de son ennemi et il sentit le craquement de ses os. Puis il prit le félon et l’étrangla .Celui-ci se débattit ,ses yeux exprimait la peur de mourir mais les mains de Peter étaient implacable et bientôt il s’immobilisa .



S’était finit.

L’armée ennemie étaient en déroute ,les blessés appelaient à l’aide , les prisonniers imploraient grâce. Et les hommes de Peter se rassemblèrent autours de lui.


« Compagnons ! vous avez bien combattu aujourd’hui et mon cœur se remplit de joie de savoir que vous m’êtes bel et bien resté fidèles .Remercions Dieu de nous avoir accordé la victoire et Saint George d’avoir fait triompher nos épée .Mais ne vous faite pas d’illusion ,bien d’autres combat comme celui-ci auront lieu et seul la bataille finale sera une vraie victoire . »

Un chevalier leva son épée :

« -Gloire au Baron Peter !Hip hip hip !
-HOURRAAAAAA !hurlèrent des centaines de voix !
-Victoire !
-Noël !
-Pour Dieu ! «



Et tandis que l’armée partait dans une explosion de joie ,Peter s’éloigna ,réfléchissant déjà à la campagne qu’il devrait mener.

Noël?!

DES CADEAUX ! YOUPi!

je sors...


Suite ?

ceci était la première partie des trois partie : 1 L'arrivée ,1 la campagne ,3 la bataille pour le castel et la mort de Peter





et stop les "suite ? " on dirait que je suis en train d'écrire un récit cochon sur le 15 -18

sérieux , j'ai vu quatre membre passer sur le forum sans faire le moindre post ni ici ni ailleur





mais que se passe t-il ?

Révision pour rattrapage (qui auront lieu du 2 au 4 pour ma part) + retour de vacances.

Néanmoins, il est vrai qu'un commentaire s'impose : Bon récit, bien écrit, très prenant, et surtout qui me fait regretter que tu n'es pas pu être plus présent sur le forum l'année (scolaire) passé. Qu'en sera-t-il de cette année ?

j'ai rajouter un paragraphe et j'ai fait quelques modification


dès samedi je me met aux prochains chapitres

je relirai ça plus tard.

c'est à partir d'où le paragraphe rajouté ?!

au moment de l'arrivée de l'armée ennemie